Un mois de légendes /

#noname 2235

En sortant de la salle de cinéma, après avoir vu le dernier film de Ken Loach. Dernière photographie de la journée.


le dimanche 26 novembre par Pascal Kempenar


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« Charentaises »

French fashion


le vendredi 24 novembre par Pascal Kempenar


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Le poids de l’Histoire, le choc des images

A Bangkok, James Nachweis expose 20 ans de guerre et de conflits dans le monde. Avec une conviction: Il n’y a pas que des rimes dans l’Histoire. Des répétitions  sans fins aussi. Et un espoir: que les images soient gravées dans notre mémoire collective et nous aident à ne pas commettre les mêmes impairs…

Cette tour du World Trade center, je l’ai vu tomber sur moi au ralenti. C’est comme ça que j’ai pu la photographier. Une fois la photo dans la boite, le film s’est remis à défiler normalement, et j’ai eu une seconde pour me mettre à l’abri.


le vendredi 24 novembre par Michel Bruno


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How do you like your eggs ?

Sunny side up !..


le mardi 21 novembre par Gérard Dubois


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Sauf que demain c’est maintenant !

Sauf que demain c’est maintenant !


le lundi 20 novembre par Francis Traunig


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 » Comme à l’automne…

…les bandits jaunes qui font aux arbres des hold-up mordorés. »


le dimanche 19 novembre par Gérard Dubois


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#noname 2228

« Balayer devant sa porte », sur la route direction Carcassonne.


le samedi 18 novembre par Pascal Kempenar


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Yola, Ana, Jan y Celsa.

Al fondo Santiago.


le vendredi 17 novembre par Rodrigo Alonso


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Et alors,

Et alors,

N’a pas sa langue dans la poche.

Sur-motorisé.

Empathique.

Limpide comme une eau de source.

Fécond.

Ancré.

Curieux.

Qualités en lasagne…

Végétarien.


le jeudi 16 novembre par Francis Traunig


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L’équipe de choc

L’équipe de choc du magasin de mode masculine Père et Fils chez qui, de père en fils, on se fringue depuis 1950.


le mercredi 15 novembre par Francis Traunig


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Artère

À la base je voulais faire une photo de La Jonction


le mercredi 15 novembre par Gabriel Asper


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le noble et sincère credo

Pour Zweifel*, il va de soi d’avoir un comportement durable.

Dans toute la chaîne de création de valeur, les ressources sont utilisées de manière responsable. Zweifel investit en continu dans le développement durable.

Il est permis de douter que le client de Zweifel qui balance dans la Nature son emballage après s’être empiffré, ne partage pas le noble et sincère credo de l’entreprise sur le comportement durable.

*Zweifel en allemand veut dire doute


le mardi 14 novembre par Francis Traunig


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3 mois

sans chocolat pour Abel


le mardi 14 novembre par Nicolas Spuhler


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Tout esprit profond a besoin d’un masque

Friedrich Nietzsche / Par-delà bien et mal, 1886


le lundi 13 novembre par Michel Bruno


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(1914)

Voilà que je tombe sur la stèle funéraire du poète René-Louis Piachaud dans un dépôt de matériaux de construction en liquidation.

Ça doit sans doute ravir l’auteur de Sous un masque d’Ironie (1914), que sous le masque, le destin soit affublé d’un nez de clown.


le lundi 13 novembre par Francis Traunig


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Frappez et on vous ouvrira

C’est du moins ce qu’annonce l’association maçonnique sans but lucratif « Lux in tenebris »


le dimanche 12 novembre par Michel Bruno


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xylogravures

Fabienne expose ses xylogravures dans un lieu de culte mué en lieu de culture, accompagnée par son fidèle garde du corps.


le dimanche 12 novembre par Francis Traunig


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l’oubli que nous serons.

Retrouvaille avec Isabelle G., perdue de vue, que revoilà, écrivain, dramaturge, journaliste, fidèle à elle-même, à conjurer avec toute l’énergie encore disponible : l’oubli que nous serons.


le samedi 11 novembre par Francis Traunig


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親し

親しい友人たちとの夜の日本旅行ほど楽しいものはないだろう。


le vendredi 10 novembre par Francis Traunig


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Auto-portraits

Belle expo photo de la coréenne Ara Ko chez Window 14, aux Eaux-Vives. Jusqu’au 21 décembre


le jeudi 9 novembre par Michel Bruno


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Ne reste

…ici a vécu, dormi pendant cinq ans, accotée aux murs d’une banque, une dame qui a perdu son fils en Irak et qui finira par perdre la raison.

Ne reste d’elle que les traces de gras de ses vêtements.


le jeudi 9 novembre par Francis Traunig


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J.O.

UACM S.L.T.


le mercredi 8 novembre par Rodrigo Alonso


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what a fucking french touch !

Monsieur Le Président Decoin n’a pas terminé son repas, ça va un peu vite pour lui, surpris par l’arrivée du Lauréat, il ne va pas quand même pas se lever. Attablé à sa gauche, Emmanuel Schmitt, donne une interview, (BFM?) bouche pleine, finit de mâcher sa salade tout en mâchant ses mots : C’est une écriture à la fois poétique et sobre, (Schmitt déglutit) cette année c’est le Goncourt du romanesque.

Être adoubé dans un bistrot pour ses mots, what a fucking french touch !


le mardi 7 novembre par Francis Traunig


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Cinéma de genre…

Cette dame qui marche d’un pas décidé, le soleil dans le dos, m’évoque absurdement un gun fighter ( un bread fighter devrais-je dire ici…) du lointain ouest. L’ouest, le vrai…Rien d’étonnant : j’ai revu hier soir WYATT EARP, avec Kevin Costner dans le rôle titre.Le muscle cérébral, cette chose bizarre , a fait le reste…

J’ai toujours aimé les westerns.


le mardi 7 novembre par Gérard Dubois


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de

Bain de lumière pour l’ami capilliculteur.


le lundi 6 novembre par Francis Traunig


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« Marseille, 7:06 am »

Boitier posé sur le siège passager. Pas le temps aujourd’hui d’arpenter les rues de fadaland.


le lundi 6 novembre par Pascal Kempenar


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El Cholo – Harley Quinn y Floyd Joy Mayweather

Les quelques chances de prendre de l’avance, en image


le lundi 6 novembre par Rodrigo Alonso


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Pin-pon


le samedi 4 novembre par Gérard Dubois


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Los Chivos de la Alcaldía Cuahutemoc

Trabajadores de la recolección de desperdició en la Ciudad de México .


le samedi 4 novembre par Rodrigo Alonso


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Gus & Mindy

Les fêtes mexicaines seront Toujours colorées


le vendredi 3 novembre par Rodrigo Alonso


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Au ciné

 » The old oak « . Et Ken Loach se débrouille toujours de vous laisser les yeux humides…


le vendredi 3 novembre par Gérard Dubois


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Barbier Rorro

le meilleur salon de coiffure de la ville.


le jeudi 2 novembre par Rodrigo Alonso


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Recordando…

Quizás porque mi niñezSigue jugando en tu playaY escondido tras las cañasDuerme mi primer amorLlevo tu luz y tu olorPor dondequiera que vayaY amontonado en tu arenaGuardo amor, juegos y penas
Yo, que en la piel tengo el saborAmargo del llanto eternoQue han vertido en ti cien pueblosDe Algeciras a EstambulPara que pintes de azulSus largas noches de inviernoA fuerza de desventurasTu alma es profunda y oscura
A tus atardeceres rojosSe acostumbraron mis ojosComo el recodo al caminoSoy cantor, soy embusteroMe gusta el juego y el vinoTengo alma de marinero
Qué le voy a hacer, si yoNací en el MediterráneoNací en el Mediterráneo
Y te acercas, y te vasDespués de besar mi aldeaJugando con la mareaTe vas, pensando en volverEres como una mujerPerfumadita de breaQue se añora y que se quiereQue se conoce y se teme
Ay, si un día para mi malViene a buscarme la parcaEmpujad al mar mi barcaCon un levante otoñalY dejad que el temporalDesguace sus alas blancasY a mí enterradme sin dueloEntre la playa y el cielo
En la ladera de un monteMás alto que el horizonteQuiero tener buena vistaMi cuerpo será caminoLe daré verde a los pinosY amarillo a la genista
Cerca del mar, porque yoNací en el MediterráneoNací en el MediterráneoNací en el Mediterráneo

le mercredi 1 novembre par Gérard Dubois


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