Un mois de légendes /

la statue s’amuse

Avec Hervé Bégou http://www.collectifregardscroises.org/#!galerie-herve-begou/c1kgd  

le samedi 30 avril par Pierre Montant


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Le choc des Titans

Cette soirée est une conjonction de prétextes Prétexte de se réunir pour éviter de dire, à chaque fois qu’on se croise par hasard dans la rue, il faudrait qu’on se voie à l’occasion. Prétexte de pendre la crémaillère. Pendre la crémaillère c’est faire savoir aux amis... à la famille : que la maison est finie, meublée, propre et qu’on va pouvoir faire la fête ensemble. Mais c’est aussi faire savoir à la maison qui nous abrite que de nouveaux locataires l’habitent. Les murs vont pouvoir ouvrir leurs oreilles et écouter de nouvelles histoires, et les portes danser sur leurs gonds (…) parce qu’une maison c’est vivant, c’est comme un cœur, un poumon, un ventre... Prétexte de partager, tout autant le désarroi dans lequel nous plonge le monde comme il va.... que de savourer ce qu’il nous offre... Est-ce que ça a un sens de faire la fête... en toute bonne conscience... pendant que d’autres sont face à des barbelés ? Mais faire la fête n’empêche pourtant pas d’agir, ni de cesser de s’interroger. Et je sais que parmi vous beaucoup s’engagent, à leur manière. Par le politique, le social, le culturel et.... par la fraternité ? J’espère ne pas plomber la soirée. Conjonctions de prétextes... Prétexte de me replonger dans un texte de Bouvier qui reprend un texte qui raconte - je ne l’ai pas retrouvé ce texte, je cite de mémoire, sans en rajouter - texte qui raconte, donc, comment en Amazonie les pirogues d’une expédition d’ethnologues sont prises dans des rapides. Le guide qui est aussi traducteur se noie. Et les voilà échoués sur une grève Ils sont aussitôt encerclés par des sauvages - c’est comme ça qu’on disait il y a encore un demi-siècle- aujourd’hui on dirait : des gens peu vêtus. Ils bandent leurs arcs. Les ethnologues sont désemparés. Comment s’entendre puisqu’on ne peut pas parler ? Au bout d’un moment, un des désemparés sort un... – là, j’ai un blanc je ne me souviens plus de ce que disait le texte – ou un gramophone ou un cassettophone .... et fait sortir du Mozart de la machine. Les gens peu vêtus posent leurs arcs et écoutent....  L’un d’eux sort une petite flûte et joue... Et pourtant nous ne sommes ni pris dans des rapides, ni échoués sur une grève, ni, pour certains d’entre nous, peu vêtus, mais cette anecdote est belle. Elle dit comme la musique rassemble. (…)

le samedi 30 avril par Francis Traunig


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Les Parques – Lachésis tire le fil du destin…

Clotho l'enroule, Atropos le coupe

le vendredi 29 avril par John Grinling


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« La flûte des vertèbres »

Sous le regard attendri de sa maman, Jean-Luc plane au milieu d'un public clairsemé mais attentif en déclamant du Maïakovski :   En un toast à vous toutes qui m’avez plu et me plaisez, icônes bien gardées au creux de l’âme, comme une coupe je soulève mon crâne plein à ras bord de poésie. De plus en plus je me demande s’il ne serait pas mieux que je me mette d’une balle un point final. Aujourd’hui à tout hasard je donne un concert d’adieu Mémoire ! Rassemble dans ma salle cérébrale les files infinies des femmes chères.

le jeudi 28 avril par Francis Traunig


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Rêver peut-être

Au théâtre de Cartigny, très belle pièce. (pas mal cet obturateur électronique 100% silencieux)

le jeudi 28 avril par Nicolas Spuhler


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Ras Hailu perd ses mèches

Seul artiste dans le monde dédié tout entier au Banana Art: "Dans vos boites de couleur, vous avez du noir et du blanc. Moi je trouve 25 sortes de blanc et 19 nuances et matières de noir dans les feuilles de bananes dont je fais mes tableaux"

le mercredi 27 avril par John Grinling


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Je cherche un Bodyguard

…Pour quand mon employeur (Standard & Poors) va abaisser la notation de crédit de mon pays, la France

le mercredi 27 avril par Michel Bruno


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check liste voyage!

check liste voyage
  • es-tu certaine d'avoir besoin de chaque chose !?

le lundi 25 avril par Catherine Claude


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Le respect du Carême

Cette année, l’Église orthodoxe Éthiopienne célèbre Pâques le dimanche 1er mai. Ceux qui se sont conformés au jeune rituel pendant 48 jours déjà portent ce dimanche des Rameaux un diadème d'herbe. Pendant le Carême de la semaine qui vient, le Vendredi Saint, il n'y aura ni nourriture ni boisson jusqu'au lendemain.

le dimanche 24 avril par John Grinling


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maraîcher

Sans lui, pas de beaux légumes frais dans l'assiette!

le dimanche 24 avril par Catherine Claude


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Neocomien

Membre de la société d'étudiants "Neocomia Neocomensis"  

le samedi 23 avril par Michel Bruno


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Panthéon d’explications

Chacun cherche à expliquer les choses qu'il ne comprend pas comme il peut. L'inconnu, le doute, le questionnement, la peur rendent l'homme créatif, au point d'inventer des histoires farfelues de milliers de pages pour raconter la vie de personnages à têtes d'éléphant ou d'un mec qui change l'eau en vin. D'autres se croient plus rationnels en créant des machines ultra complexes pour observer des cellules, des atomes ou comprendre le fonctionnement de l'ADN. Mais la secte de l'utra-rationnalisme n'est-elle pas un système de croyance comme les autres?

le samedi 23 avril par Juliette Salzmann


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Nike ta mère !

JOIN THE FREE REVOLUTION   Qu’un enfoiré ose penser un slogan aussi merdique est une chose mais qu’un responsable marketing l’avalise et nous pollue l’espace public avec, ça c’est à gerber. La vraie révolution ça serait d’arrêter d’acheter des merdes produites par des gens sous-payés. La vraie révolution ça serait de ne plus mettre les pieds chez les commerçants qui nous prennent pour des attardés mentaux, ni chez ceux qui nous tutoient d’entrée de jeu et nous prennent pour des potes, ni chez ceux qui écrivent à longueur d’année SALE sur leurs vitrines, ni chez ceux qui ont des sourires commerciaux à la mort-moi-le-nœud. Ni chez ceux, d’ailleurs, qui nous offrent 30% de matos en plus gratuitement.   ACHETEZ MOINS, ACHETEZ MIEUX ! Et qu’ils gaugent dans leurs invendus, tous ces trous du cul !

le vendredi 22 avril par Francis Traunig


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La gueule du monstre

Dur retour dans la gueule du monstre urbain après le calme et et l'air pur des montagnes. Kathmandu parait bruyante, sale et hostile.

le vendredi 22 avril par Juliette Salzmann


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SOCOTRA, THE ISLAND OF DJINNS

Le film, dont le récit se déroule dans ce territoire du bout du monde, connu dans l’antiquité pour abriter les phénix et les Rocs (oiseaux fabuleux de la mythologie arabe), relate l’un des voyages du fils du dernier sultan de l’île, en route avec sa caravane de chameaux vers les villages de l’intérieur. Autour du feu, les nomades se racontent les histoires plus ou moins légendaires, qui se transmettent de génération en génération...   https://youtu.be/tt4IOHHyNs0

le jeudi 21 avril par Catherine Claude


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le printemps

sous un cerisier du Japon

le mercredi 20 avril par Pierre Montant


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Allez-y !

http://www.bilan.ch/blogs/etienne-dumont

le mercredi 20 avril par Francis Traunig


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Jeannot et le skate

-Jeannot arrêt le skate , tu abîmes toutes tes chaussures !

le mercredi 20 avril par Catherine Claude


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Jour de pluie

Grains de blé bouillis et tasse d'arack

le mercredi 20 avril par John Grinling


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Alex&Mathijs

Rencontrés à 4090 mètres, revus autour d'un pot à 900, Alex et Mathijs sont un couple de hollandais, qui après avoir quitté leur boulot, ont décidé de partir faire de la marche autour du globe. Une de ces belles rencontres du voyage...

le mercredi 20 avril par Juliette Salzmann


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Ji-Parana_Cuiaba_Brazilia_Lisbone_Genève

Un Brésil ô combien changé depuis les voyages  de Jean de Lery, de Levi-Strauss et de René Fuerst notre maître et ami.

le mardi 19 avril par Catherine Claude


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Les guérilleras sont très belles.

Vu North, film tourné au sein du PKK, d’une esthétique lisse et convenue, hélas, qui romantise la légitime révolution Kurde. On applaudit à tout rompre à la fin de la projection, nous tous évidemment convaincus par le combat du peuple Kurde pour l’autodétermination.  Les guérilleras sont très belles, disent des choses philosophiquement denses, les hommes sont propres, tirés à quatre épingles dans leurs uniformes et encensent leurs alter-ego féminins.  Voilà que la caméra, en plan fixe, nous montre des prisonniers du PKK qui se répandent en mea-culpa, et ne souhaitent qu’une chose, rejoindre les rangs kurdes, etc... Alors, Visions du réel ?

le mardi 19 avril par Francis Traunig


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Un peu de Jura

Et boum, le soleil est tombé d'un coup derrière la montagne. Sale histoire.

le lundi 18 avril par Nicolas Spuhler


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Pluies

Le nombre de retraits de permis a augmenté Des hooligan attaquent une réunion d'arbitres Pourquoi faire les 20 kilomètres de Lausanne sur deux jours? Pippa Middleton est arrivée à Zermatt Kevin Romy renonce à l'équipe de Suisse Chaplin  est entré au musée Le lait coule à flot à Neuchâtel Roxette  annule la fin de sa tournée et quitte la scène Eric Stauffer repart en mode combat K'OCL sur la voie d'un renouveau ...sont les quelques nouvelles de la journée, futiles, qui en fine pluie légère, se déposent sur la peau électrique de mon écran. Et qui n'affecteront pas d'un iota ma réalité faite  de véritables gouttes de pluies sur l'herbe.

le lundi 18 avril par Francis Traunig


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Le Châble

Combat des reines

le dimanche 17 avril par Nicolas Spuhler


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gaz & vacarme

Le motard se dit "en colère". Il ne fait pas réellement dans la finesse, l'amateur de cuir gras, de gros cylindre inox et de vroum vroum : mais est-ce vraiment son souci ?

le dimanche 17 avril par Pierre Montant


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La vision du chat

- Il est où le chat ? - Le chat, c'est toi

le dimanche 17 avril par John Grinling


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Jetzt ! sonst is es zu spät.

Il pleut et A. désendigue son imagination pour compléter son dossier de fin d’études dont le thème est la Transparence. -Transparence financière aussi ? - demande-je à A. goguenard. -Non, seulement dans le domaine de l’art. Alors A. enveloppe A., son amie qui se prête au jeu de bonne grâce. -Pas le nez, il faut qu’elle puisse respirer. Quel plus grand bonheur que de faire, de chercher en riant, en se riant du sérieux. Et je repense à ce mot, entendu dans la bouche d’une paysanne, deux heures auparavant : -Jetzt ! sonst is es zu spät.

le dimanche 17 avril par Francis Traunig


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garimpeiros

2eme jour! Almir me dépose à l'aéroport ...il ne vient pas avec moi et je le comprends, ce qu'il a vu hier lui suffit pour évaluer la gravité de la situation. C'est donc seule que je repars en cessena, porte enlevé, je survole l'amazonie cheveux au vent c'est comme rouler à moto sans casque  sur la 666! mais au bout d'un certain temps , je déchante ... Arrivé à leur hauteur de l'exploitation, les garimpeiros ne se soucient même pas de l'avion et continuent leur sale boulot... 5 lieux sont exploités et l'on devine le village sous les arbres et la route qu'ils ont ouvert dans la forêt ... Je vous invite à voir le film de Daniel Schweizer afin de comprendre comment la Suisse est impliquée dans ces catastrophes écologiques https://www.youtube.com/watch?v=DQfYdcKAbgw  

le dimanche 17 avril par Catherine Claude


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Vivant

Il est possédé par deux passions : le rouge des Ferrari et tout ce qui est en fleur. Longtemps il surchargeait son pare-brise de bouquets colorés en plastique. Avec l'âge, devenu peut-être plus sensible à l'impermanence, il n'orne plus qu'avec du vivant. Vivant évidemment plus rapidement flétri...  

le samedi 16 avril par Francis Traunig


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ouro

Le grand défi à relever pour Almir Narayamoga Paiter Surui est  de défendre son territoire contre les garimpeiros qui font des ravages sur cette terre indigène. L'Etat Féderal est avisé mais ne fait rien ! ...nous sommes partis faire des photos pour appuyer ses requêtes Comment aider Almir  dans cette lourde tâche. ONU ! journalistes! pression internationale! .... Il y a aussi une chose qu'ici nous pouvons faire , c'est demander la tracabilité d'un bijou, actuellement l'on peut en trouver récolté sans mercure

le samedi 16 avril par Catherine Claude


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Annapurna

Se retrouver aux pieds d'un sommet de 8000 mètres ça fait quand même tout drôle. On a beau se retrouver un peu plus près des étoiles, ici, on se sent terrien.

le samedi 16 avril par Juliette Salzmann


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Eva Siegler

Rencontre avec Eva Siegler, lectrice acharnée (15 livres par mois !), blogueuse émérite, grande passionnée de littérature : http://tu-vas-t-abimer-les-yeux.blogspot.fr/

le vendredi 15 avril par Pierre Montant


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visite au grand arbre Kaban

Almir Narayamoga Paiter Surui , veut que l'on rencontre le grand arbre qui symbolise le clan Kaban, c'est aussi une occassion de transmettre la culture orale aux plus jeunes. Le Kaban. L'arbre aux fruits délicieux

le jeudi 14 avril par Catherine Claude


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14/04/2016

Culture festive chez un coiffeur chic où Shlomith expose son monde intérieur sculpté dans du bois. Intense. Raisin, petits-fours, viande séchée, gruyère de choix et brouhaha. On parle de tout, de rien. On s'observe, se renifle, dos tournés aux murs. Dommage.    

le jeudi 14 avril par Francis Traunig


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13/04/2016

to make a choice faire un choix treffen Sie eine Auswahl fare una scelta fazer uma escolha

le mercredi 13 avril par Francis Traunig


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concentration

t'es pas un peu près, là?

le mardi 12 avril par Nicolas Spuhler


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Il fait beau

Bonjour, vous êtes Capitaine ? Cap’tain ! Oui, Capitaine de quoi ? Hungary, Cap’tain Hungary...

le mardi 12 avril par Francis Traunig


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Crevé

Entre la crevaison et celui qui, crevé, rêve d'évasion... A bord du bus qui monte le long de la piste chaotique, nous, des népalais compressés qui ont l'habitude, des sacs de riz, des caisses de Coca-Cola et une chèvre. Tout à coup, on entend un grand PAF et un nuage de poussière nous embaume. On a crevé. Tout le monde s'y met et en 15 minutes, la roue est changée et nous reprenons la route avec les népalais, les sacs de riz, les caisses de Coca-Cola et la chèvre.

le mardi 12 avril par Juliette Salzmann


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drone

le nouveau jouet de Tom ... parfois bloqué à 30m de haut au-dessus de l'eau ....

le lundi 11 avril par Catherine Claude


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le bout de papier

- mmm ? - 'jour m'sieur, c'est juste le truc là, le bout qui dépasse, j'ai vu une tête c'est amusant:)

le lundi 11 avril par Pierre Montant


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Reste le Pape

Un cinglé entoure le canon d’un fusil d’assaut de bacon et montre à ses followers, sur YouTube, comment il le fait frire, pour le petit-déjeuner, en tirant des rafales sur une cible. Un autre cinglé, qui a fait plusieurs fois faillite, qui érige le fric en valeur suprême, qui veut virer, manu-militari, tous les immigrés mexicains qui n’ont pas de papiers et insulte les journalistes qui lui posent des questions dérangeantes, brigue lui aussi, comme le premier cinglé au bacon, la Présidence des États-Unis. Cruz ou Trump ? Merde, sacré dilemme pour les républicains. Ce n’est pas seulement le bon sens assassiné, c’est notre quotidien pollué, non seulement par Mac Donald, Halloween, les séries américaines mais aussi par leur Barnum électoral nord-américain. Ils font chier le monde entier, les dirigeants américains, à cause, entre autres, du foutoir créé au Moyen-Orient par un autre clown, foutoir qui m’empêche de prendre l’avion sans me faire fouiller, parce que mon petit couteau suisse pourrait être une menace pour la sécurité. La vraie crise c’est qu’on ne sait plus à quel Saint se vouer. Reste le Pape...

le lundi 11 avril par Francis Traunig


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Braverman

Terry A. Braverman rencontré au moment où j'étais obsédé par le proverbe "Si tu as peur ne chante pas. Si tu chantes, n'aies pas peur"

le lundi 11 avril par John Grinling


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Almir Narayamoga Paiter Surui

en pleine séance de travail avec Philippe Echaroux.com résultat à voir sur son site  

le dimanche 10 avril par Catherine Claude


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Aéroport de Genève

C'est marrant comme on a de la peine à se débarrasser de l'odeur des tortillas. Un Mexique édulcoré en réception à Genève. Mais ce n'était pas pour nous.

le dimanche 10 avril par Francis Traunig


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Cliff

en direct de l'île Maurice

le dimanche 10 avril par Nicolas Spuhler


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Beyah

Mapidjikin, Mopiri, Bayah, Almir

le samedi 9 avril par Catherine Claude


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aucun problème

Vous n'êtes pas gêné par l'appareil ? - Non, aucun problème.

le samedi 9 avril par Pierre Montant


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Les fleurs de demain sont dans les semences d’aujourd’hui

Playa del Carmen ! Playa del Carmen ! Entend-t-on tous azimuts. Une des stations balnéaires les plus courues du Mexique, avec de blanches plages immaculées, une mer turquoise, pleine de tortues, de dauphins et de poissons multicolores. Sur le retour, en chemin vers l’aéroport de Cancun, nous décidons, de visu, de nous en  faire une idée. Sommes accueillis par un cumulus ventripotent qui crache ses glaviots sur tout ce qui bouge. Le patelin, côté mexicains n’est pas sans charme, un gros estomac vivant, bruyant, qui aurait avalé une fanfare. Parking, 15 pesos. On s’élance dans la fameuse cinquième avenue de Playa del Carmen, la touristique zone piétonnière. Et là, Eh là ! Hòla ! Mille sollicitations  de gens qui souhaitent célébrer, sous toutes les formes possibles, notre pouvoir d’achat : se faire sucer les pieds par des petits poissons : 25 dollars américains : un massage à l’huile de coco : 35 dollars : un jus d’orange, frais, 4 dollars : une montre suisse : plus chère qu’en Suisse : un tour à l’Xtreme adventure park : 135 dollars : une plongée avec les tortues : 45 dollars, etc…   Sans vouloir pisser contre le vent, nous ne sommes pas très beaux. De la graisse plutôt que de la grâce. De l’accablement aussi, peut-être à mettre, en étant un poil objectif, sur le dos de la redoutable combinaison chaleur/humidité. Forêts de T-shirts recouverts de slogans qui parlent à notre place, défilés de tatouages guerriers, avec quelques exceptions. La plus coquace est sans doute un énorme RICH qu’un muchacho classe s’est fait tatouer sur le cou. Seins, culs, mollets qui ballottent. Amigo, amigo, my friend, offert en gerbe sur le seuil de chaque échoppe.   On revient sur nos pas, proche du parking, pollos rostisados, on s’en paye un, avec du riz, des tortillas et des piments. Un  homme seul, gay, nous souhaite bon appétit. Il est de Guadalajara. Il adore Playa del Carmen. Un endroit magique qui le met en joie, joie soudainement recouverte d’un petit nuage lorsqu’il nous annonce la fin de ses vacances. Il quitte ce paradis mais reviendra, ça c’est sûr.   Nous ? On verra !

le samedi 9 avril par Francis Traunig


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Cahier ouvert

Moi quand j'étais petite, je voulais devenir vendeuse de luges. Et elle?

le samedi 9 avril par Juliette Salzmann


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Beaumont

Abbaye de Pomier

le samedi 9 avril par Nicolas Spuhler


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Kabena

Kabena est en souci Un goupe de jeunes, dont son fils, sont partis dans l'Acre pour rencontrer les Achanikas et ils ne sont toujours pas de retour. Ici il y a des satelites pour les télévisions , mais pas de réseau pour les smartphones.  

le vendredi 8 avril par Catherine Claude


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7 pm

Ca ne  se voit pas tout de suite mais c'est une pré-répète de théâtre ou une assemblée générale peut être  

le vendredi 8 avril par Nicolas Spuhler


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Raeggae bidon – je le déteste – c’est Yoyo

Suis complètement taborgniau, taguenet au maximum

le vendredi 8 avril par John Grinling


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Nemma et le géant

Nemma du clan Kaban dans le Mato Gosso à qui l'on ne peut donner d'âge,tout le monde l'ignore, bien qu'il aie un papier officiel et les indiens en rient... Il nous emmène en forêt, à l'opposé des déforesteurs pour nous montrer comment soigner nos piqûres multiples , il donne une racine à certains d'entre nous dont il faut  mâcher l'écorce pour soigner les maux de ventre...

le jeudi 7 avril par Catherine Claude


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Père et fils

Émerveillement des découvertes et tendre complicité dans l'exploration  de l’infra monde marin. C'est les enfants, souvent,  qui donnent  aux parents la chance de grandir. Et de leurs rappeler qu'ils ne sont que de grands enfants ridés qui jouent aux adultes.  

le jeudi 7 avril par Francis Traunig


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Itabira, légende vivante

Itabira ! (à gauche) est une légende vivante L'indien des premiers contacts, l'indien Paiter des premières fois dans toutes les histoires. A 16 ans il accompagnait les gens de la funasa pour contacter les indiens isolés du Rondônia, comme les Zorrõ, les Cinta Larga, les Uru-eu-wau-wau. Certains blancs n'en sortaient pas vivants, lui avait pris la fuite. Aujourd'hui, il a affaire aux déforesteurs, que l'on entend près de son village qui provoquent des  scissions au sein de sa propre famille, dans ce même village.   10°48'44.05"S  61°24'26.76"O


le mercredi 6 avril par Catherine Claude


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Kabena

Kabena .. ma princesse! Nous sommes partis au Mato Grosso, arrêt à Rondolina avant de rejoindre l'aideïa Apoena d' Itabira, chef du clan Kaban. Ici,  l'hostilité est très forte envers les indiens à cause de la présence des déforesteurs. Kabena fait des achats pour ses enfants qui habitent l'aldeïa. Riz , poulets, biscuits, tongs .... m&m smarties,  toute la saloperie industriel se retrouve dans ces magasins du bout du monde. Comment leur parler de l'aspartame du glutamate et des additifs !?   10°50'32.79"S   61°27'34.72"O

le mardi 5 avril par Catherine Claude


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L’arrivée

(ça devrait être noté Paris dans les coordonnées GPS) (Si je faisais mon boulot)

le lundi 4 avril par Nicolas Spuhler


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« Au fond, UPPJ est ce qu’un homme peut rêver de mieux : le compagnonnage…

"Au fond, UPPJ est ce qu’un homme peut rêver de mieux : le compagnonnage avec son précieux ordinateur, un verre sur le coin de la table, et le temps d’être qui l’on est vraiment..." - 13 février de cette année

le dimanche 3 avril par John Grinling


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Bonheur de photographe

Arrêter sa voiture pour courir vers des fleurs

le dimanche 3 avril par Michel Bruno


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Ravitaillement

Marathon de Paris

le dimanche 3 avril par Pierre Montant


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Perpeira

-Eh Perpeira tu n'es pas à la messe? -Naon (petit rire) é uma  fotografia! Perpeira! l'ancien chaman le "pagé" le "wawa" , bouffé par les évangelistes installés sur cette terre indigène qui lui font croire que sa pratique est un péché. De lui , on dit qu'il a perdu ses pouvoirs parce qu'il a renoncé pour un autre dieu. Toutefois, il a gardé toute la connaissance des plantes médicinales et des insectes. C'est un bonheur de parcourir la forêt en sa compagnie. Il apporte toujours un complément d'information quand les indiens nous parlent de la cosmographie, des esprits ou de l'histoire du peuple Paiter. ...plus tard je verrai cette même flèche dans les mains d'un blanc, elle  partira pour Genève.  

le dimanche 3 avril par Catherine Claude


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Chocol-Haa

Appris aujourd'hui que Chocol-Haa, devenu chocolat, voulait dire "eau sale" chez les Mayas. Qu'à l’époque pré-hispanique on échangeait quatre fèves de chocolat contre un lapin et qu'un esclave en valait mille. Que le chocolat a 2600 ans, n'en déplaise aux Suisses (et un peu aux Belges) qui s'en arrogent la paternité.

le dimanche 3 avril par Francis Traunig


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Et dire que je l’ai prise pour Roza

Alors qu'elle s'appelle Liya

le samedi 2 avril par John Grinling


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Agamenon

Agamenon porteur  de la cuture et des traditions , j'aime ses chants , il a la voix de son père. et son père me manque, jusqu'aux larmes. Dans la culture Surui le chant c'est la mémoire de chacun, soi et de chaque être , quel qu'il soit.. y compris les élémentaux , l'esprit du  vent, de la lune, de la pluie pour la deuxieme fois chez les Surui, je vis un moment ou l'esprit du vent se manifeste

le samedi 2 avril par Catherine Claude


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Site Maya de Tulum

Dans cet affrontement entre l’Amérique et l’Occident, entre les dieux et l’or, on aperçoit bien où est le civilisé, où le barbare. Malgré les sacrifices sanglants, malgré l’anthropophagie rituelle, malgré la structure tyrannique de cette théocratie, il n’y a pas de doute que ce sont les Aztèques-comme les Mayas, ou les Tarasques- qui détiennent la civilisation.(…)   J.M.G. Le Clézio - Le rêve mexicain

le samedi 2 avril par Francis Traunig


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TER, transport express régional

Un train qui paraît hors d'âge, de type omnibus ralliant Montélimar à Valence - et d'autres petites villes du sud - , d'une grande photogénie. Brève correspondance pour le passager à destination de Paris faisant escale à la gare high-tech de Valence TGV.

le vendredi 1 avril par Pierre Montant


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Bipolaire

Se font face, la violence la plus crasse et la plus grande douceur, la harpe et la trompette, le mystique démesuré, l'intangible, les légendes et le matérialisme pragmatique nord américain, le chant des oiseaux et la musique d’ascenseur, l'enfer touristique et l'immémorial paradis, la grâce et les casquettes de baseball, la gentillesse et l'arrogance, le fric et le don : le Mexique est résolument bipolaire...      

le vendredi 1 avril par Francis Traunig


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