A VR EXPERIENCE LIKE NO OTHER.

La réalité virtuelle, pouponnière à junkies.

Un an qu’ils avaient disparu.
Et ce matin, première fois que je passe avec un 600mm autour du cou, et hop, les revoilà. Au milieu du champ ou ils se tenaient chaque jour l’année passée. Plaisir du lundi matin.

Le premier geste du street photographer est certainement de choisir une bonne paire de chaussures. Ma journée de baguenaude fut faste, sans que je sache bien si c’est dû à la chance, à mes dispositions du jour ou que sais-je encore. C’est pourtant cette photographie que je retiens de la journée, dans un bar qui est cher à mon cœur, cœur se trouvant parfois bien loin de ma raison. Je disais aujourd’hui à un ami que le cœur était un matériau friable. (Je l’écris pour mieux m’en souvenir), mais là je m’égare… Cette photographie clôt ma journée et j’en suis (modestement) heureux.

Parfois ça va trop vite…

C’est fou comme c’est flou ce beau bleu.

Juste après la sortie du port, juste après cette image, une vedette rapide de la gendarmerie maritime accoste notre embarcation et s’y amarre.Montent à bord quatre costauds en uniforme et un chien renifleur.Le Nez de la maréchaussée , aimable bâtard, plus Rantamplan que Rintintin, adore son job.Tout excité  , il jappe, hume, et saute sur les genoux des passagers, en grande majorité candidats à une classe préparatoire pour entrer en EHPAD…Seuls deux jeunes, sweat à capuche et casquette à l’envers, retiennent l’attention des pandores.En vain…Je demande benoîtement à celui qui semble conduire l’opération ce qu’ils cherchent.Avec un sourire Colgate il me répond :  » Ah ! des tas de choses !…et ajoute :  » Pas de photos, s’il vous plaît… »

L’ aventure, c’est l’aventure.

Il advint qu’un jour, vers midi, comme j’allais à ma pirogue, je fus excessivement surpris en découvrant le vestige humain d’un pied nu parfaitement empreint sur le sable. Je m’arrêtai court, comme frappé de la foudre, ou comme si j’eusse entrevu un fantôme. J’écoutai, je regardai autour de moi, mais je n’entendis rien ni ne vis rien. Je montai sur un tertre pour jeter au loin mes regards, puis je revins sur le rivage et descendis jusqu’à la rive. Elle était solitaire, et je ne pus rencontrer aucun autre vestige que celui-là. J’y retournai encore pour m’assurer s’il n’y en avait pas quelque autre, ou si ce n’était point une illusion ; mais non, le doute n’était point possible : car c’était bien l’empreinte d’un pied, l’orteil, le talon, enfin toutes les parties d’un pied. Comment cela était-il venu là ? je ne le savais ni ne pouvais l’imaginer. Après mille pensées désordonnées, comme un homme confondu, égaré, je m’enfuis à ma forteresse, ne sentant pas, comme on dit, la terre où je marchais. Horriblement épouvanté, je regardais derrière moi tous les deux ou trois pas, me méprenant à chaque arbre, à chaque buisson, et transformant en homme chaque tronc dans l’éloignement. Il n’est pas possible de décrire les formes diverses dont une imagination frappée revêt tous les objets. Combien d’idées extravagantes me vinrent à la tête ! Que d’étranges et d’absurdes bizarreries assaillirent mon esprit durant le chemin !    /   Robinson Crusoe.

Le Destin peut parfois envoyer ses anges botter le cul aux impudents pour leur rappeler que n’est pas vieux qui veut.

encore ma tête, encore un test test.

Au salon d’Artgenève 2023.

T.H. fondateur et directeur du salon parle des temps forts de cette onzième édition : Andreas Gursky, La fondation jean Dubuffet (…) ou encore l’exposition immersive de l’artiste anglais Barry Flanagan avec la mise en scène inédite d’un désert. (…)*

*source Tribune de Genève de ce jour.

Une photo par jour.

Je n’en ferai pas deux.

Vingt-cinq !

Cinquante sept ans entre le noir et blanc et la couleur.

Fastueux et rituel Noël des potes chez Christine et Damien.

Freiburg in Breisgau :

Rencontre d’un (probable) émule du groupe Ramstein promenant sa curry Wurst.

Phil, traite ses clients avec attention, compétence et écoute…

https://hotpoint.ch/

Voilà enfin percé le mystère du recul de la libido consumériste pré-natale : la dé-prime.

Tempus fugit

…rôde dans le quartier.Mon voisin Ferdinand a ce matin la désagréable surprise de trouver six de ses huit poules égorgées et une manquante…que je retrouve au fond du jardin.Ferdi pense qu’il s’agit d’un renard, je penche davantage pour une belette psychopathe. Comme disait le Voleur de Georges Darien :  » Je fais un sale boulot, mais j’ai une excuse : je le fais salement… »

Vers le rouge

Retraite à 60 ans ?

Retraite quel vilain mot.

Retraite ?

Jamais pour le king de la nouille !

Nonagénaire.

Matin et soir, en rentrant « chez moi », je passe à côté de ces alcôves de béton. Elles sont souvent fermées. Derrière cette couverture bleue une grille donnant sur une rampe de parking. Avec une autre couverture ou des cartons ces damnés de la terre parviennent à se protéger de la pluie, et surtout du mauvais mistral. Je m’arrête et engage la conversation, en fait je viens m’enquérir de leur situation et savoir si les flics les tolèrent ici. La police municipale est à 30 mètres. Ils m’expliquent que ça se passe pour l’instant pas trop mal même si il y a quelques jours leurs cartons ont fini à la poubelle. Je n’ai aucunes intentions de les photographier mais j’ai comme d’habitude mon boitier en main, éteint. Alexander, Hongrois, (à gauche sur la photographie) me demande dans un anglais impeccable de le photographier. Je lui demande si il veut un tirage papier, et dans un grand sourire il me tend la main chaleureusement. Son copain d’infortune reste. Je viendrai leur « offrir » les tirages lundi. Offrir n’est pas le bon mot, c’est eux qui m’ont donné  un moment d’Humanité qui réchauffe un cœur meurtri. L’appareil photographique est un formidable outil pour se rencontrer et aller vers l’autre, mon semblable. C’est la seule photographie que j’ai faite ce jour, pas d’envie, pas d’énergie.

« Je n’ai pas les mots, mais c’est immensément grand. Et puis ce qu’on vit, c’est l’essentiel. »À 74 ans, Jean Troillet est une véritable légende de l’alpinisme. Durant sa vie, il a gravit 10 sommets de plus de 8’000 mètres, dont l’Everest qu’il a redescendu en snowboard !Des exploits parmi tant d’autres, qui auraient parfois pu lui être fatals. Source : RTS

Bientôt deux mois que ma coiffeuse préférée s’est cassé le ménisque. Ca va être encore long, très long, m’a t’elle dit ce matin.

Elle parlait de son genou, je pensai à mes cheveux.

Transfer / Tony Gragg au muséee Novecento / Florence.

A Marseille et dans la région, on ne conduit pas, on pilote. Un Marseillais au volant taperait volontiers et frontalement le seul arbre du Sahel, « craint degun ! ». 31000km pour le boulot l’année dernière, en moyenne un accident par jour sur mon trajet. Accident souvent improbable,  juste pour le fun.

Les poseurs en goguette à la Pitti de Florence

Chispas, cuando solo se me ocurre quemar.

Scène digne d’une république bananière au congrès américain lors de l’élection du Speaker de la Chambre.

Yo

https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-b/blog/220817/macron-se-prepare-au-combat-il-commande-des-grenades-lacrymo-pour-4-ans

S. se plie de bonne grâce à la mise au point de la F6-X

Estos son unos amigos .

 » Je suis un cerveau. Le reste de mon corps n’est qu’un simple appendice « / Sherlock Holmes.

Étienne D. est le disque dur qui contient toute la mémoire de la République de Genève (et au-delà).

Reverrons-nous brouter des vaches au bord de la piste de l’aéroport de Genève Cointrin ?

On ne sait jamais !

Ma chir plonge dans les profondeurs de mon oeil et me dit que la chambre est plutôt bonne.Elle sourit lorsque je commente :  » Dommage qu’elle ne soit pas avec vue… »

…de tout cylindre est le point de bissection de l’axe. / Archimède.

M.G. alias M.B. en mega-boule de Noël !

Se han convertido en los nuevos habitantes de mi barrio,
Algunos dicen que son plaga, otros decimos que son seres vivos =)

En las canchas del reclusorio oriente , se junta el Team ovo (RYU)

Un descanso

Accessoire de secours pour guérir des dédoublements de personnalité.

Venta sobre avenida las torres, Iztapalapa , CDMX.

Le 1er janvier, toujours aller voir la Mer….