Un mois de légendes /

Salon du livre (jour 4)

sur les routes du salon


le samedi 31 octobre par Nicolas Spuhler


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A l’enterrement de mon cousin

A l’enterrement de mon cousin X, après les hommages,  je me suis trouvé à côté d’une bernoise de plus de soixante dix ans à picorer des bouts de fromage et autres bricoles, petites consolations agrémentées de Small talks. Et sans vraiment savoir comment, voilà que débarque Ursula Andress dans la conversation.

Les parents d’Ursula tenaient un stand de légumes à Berne. Ils étaient maraichers. Parfois elle et sa sœur devaient donner un coup de main. Les deux sœurs étaient charmantes, etc…

Me raconte la pétillante septuagénaire .

Je les ai bien connues, etc…

Je suis ravi de cette incongrue rencontre avec Ursula et cherche dans les yeux qui ont vu la Star une trace d’elle. J’enfourne un bout de viande séchée, et la revois sortir de l’eau dans Docteur No en chantonnant under the mango trees avec son accent bernois.

Sur le chemin du retour je me console d’avoir vu les yeux qui ont vu Ursula. Au marché.


le samedi 31 octobre par Francis Traunig


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Confinement, jour 2

Ma petite entreprise…

Chaque année, à la même époque, je ponds un calendrier. L ‘objet est destiné à quelques happy few, amis et proches. Certains l ‘attendent avec impatience ( je me plais à le penser..), d ‘autres, sans doute, doivent se dire in petto :  » Quel plomb, ce type, avec son calendrier !.. » Il n ’empêche, je m ‘obstine à leur prouver à quel point  ils sont chers à mon coeur; ils ignorent combien cela prend de temps à faire ce truc , rien qu’ à sélectionner 13 images ( 12 mois et une photo de couverture…) dans le foutoir jamais classé de mon ordi, 13 images dont je n ‘ai pas honte …, un vrai editing de professionnel de l ‘image !…

Le nouvel opus, pour  oublier la désastreuse 2020 ( une année de merde, avouons-le sans ambages…) et conjurer le sort, sera méditerranéen, souriant et poétique. Rien que ça…

Ce ne sera pas le Pirelli, mais pas le pire à lire.


le samedi 31 octobre par Gérard Dubois


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Ofrenda para los muertos.

Familia Pacheco Amaya.


le samedi 31 octobre par Rodrigo Alonso


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parapluie

L’homme au parapluie. Inabordable. Refuse tout contact. Depuis des années. Toujours là, toujours chargé, toujours avec son parapluie. Je ne sais pas d’où il vient, où il dort, comment il survit. Il accepte parfois une pièce, marmonne un borborygme, parfois rien. Puis s’en va, toujours plus courbé, toujours seul.


le vendredi 30 octobre par Francis Traunig


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Confinement, jour 1

La peur de manquer. J ‘ai fait quelques réserves.

À chacun son papier…


le vendredi 30 octobre par Gérard Dubois


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Je suis l’étoile de papa et de maman.

Voilà une vitrine qui reflète bien notre fucking époque :

Les mascarades.

Les mondes binaires. Le Chérubin et le Ninja.

Les visières pour se protéger.

Faire rire en faisant peur.

Le rose pour les petites filles.

Je suis l’étoile de papa et de maman.

Les actions et les rabais sur tout.

Et enfin Halloween, l’agent orange qui désherbe la culture pour mieux faire pousser la sienne.


le mardi 27 octobre par Francis Traunig


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Av. Tláhuac. s/n

Una muestra de lo que puede hacer un cuerpo coordinado.


le lundi 26 octobre par Rodrigo Alonso


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Rigel.

Durazo, esq. Nautla. San Juan Xalpa. Iztapalapa, C.P. 09850 CDMX.


le samedi 24 octobre par Rodrigo Alonso


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Dans les vastes plaines des préjugés

Dans les vastes plaines des préjugés, l’Homme s’acharne à se libérer du sein maternel. C’est pourtant par cette nourriture immémoriale qu’il est devenu ce qu’il est.

Ces tous premier repas, liés à la mamelle, sont probablement pourquoi la cuisine reste le royaume de maman.

Mais comme le trilobite qui cherche à transgresser son milieu pour conquérir des terrains hostiles, l’Homme Moderne, enfin, trouve sa place en cuisine.


le samedi 24 octobre par Francis Traunig


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barbote

Saint Marc, bédéiste de talent, qui barbote dans le monde de la BD bien avant de porter la moustache.


le jeudi 22 octobre par Francis Traunig


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18%

Charte KODAK gris 18% mobile.


le mardi 20 octobre par Francis Traunig


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Ruta Chalco (Estado de México) – Pantitlán (CDMX)

9:30 pm, camino de regreso a casa, en una de las rutas más largas, atravesando dos estados, todos los días transportando a miles de personas, existen horas en que la « sana distancia » es imposible poder guardarla.


le mardi 20 octobre par Rodrigo Alonso


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Courage !

Se retrouver au cœur du labyrinthe plexiglas de la convivialité* vaut mieux que se faire renvoyer à la niche à vingt et une heure.

On pense à vous amis français.

Courage !

*nous ne sommes pas pour autant sortis de l’auberge.


le lundi 19 octobre par Francis Traunig


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Avec ton RX, tu veux te battre contre mon GR ?

Photographes, nous devenons de vrais enc…. de mouches.


le lundi 19 octobre par Michel Bruno


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lux

Fiat lux et facta est lux.


le dimanche 18 octobre par Francis Traunig


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Parce que

Dans le tombereau à compost quelques kilos de viandes honteusement abandonnées.

Parce que le douanier rôde et que l’amende est sévère.


le vendredi 16 octobre par Francis Traunig


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mais une fois par an seulement

Nous sommes à Appenzell, un des derniers cantons avec celui de Glaris, où le peuple vote à main levée pour élire ses représentants, une fois par an, sur la place publique.

Appenzell où, à midi sonnante, tous les commerces ferment boutique car c’est l’heure de la soupe. Mais les étals restent devant les magasins, le fleuriste ne rentrent pas ses plantes, ni l’épicier ses légumes…

Appenzell où on sort masqué, mais une fois par an seulement :


le jeudi 15 octobre par Francis Traunig


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My sweet Lady Jane

When I see you again
Your servant am I
And will humbly remain

(Rolling Stones, 1966)


le mercredi 14 octobre par Michel Bruno


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des prés

Champignon à pompon des prés.


le mercredi 14 octobre par Francis Traunig


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des bois

Champignon à pompon des bois.


le mardi 13 octobre par Francis Traunig


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Mélanie

Chanteuse pop de jodel, belle âme et généreuse

https://www.oeschs-die-dritten.ch/fr/


le mardi 13 octobre par Nicolas Spuhler


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Sortir du cadre et y entrer

Bonheur du photographe


le lundi 12 octobre par Michel Bruno


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tout près du

Et Dieu laissa tomber sa fourchette lorsqu’il apprit que le Diable se cachait dans les détails, au bord du Léman, tout près du siège de Nestlé.


le lundi 12 octobre par Francis Traunig


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El grito

Descontextualizada.


le lundi 12 octobre par Rodrigo Alonso


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…mais

…mais dans ce cas, surveille la surcharge sur les chevilles. Elles risquent d’enfler.


le samedi 10 octobre par Francis Traunig


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Tes pensées, je les faisais miennes

Bientôt, l’heure de l’immortel Bashung


le samedi 10 octobre par Michel Bruno


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IL FAUT SAVOIR RAISON GARDER

Guy Parlemin, vigneron et ministre de l’économie, ne veut pas de l’initiative du GSSA (Groupement suisse sans armée) qui a déposé 104 784 signatures à la chancellerie fédérale, à Berne, pour limiter le commerce des armes de guerre.

Parlemin n’en veut pas parce que cette initiative risque d’impacter l’économie Suisse…blabla…d’ailleurs la Suisse interdit les armes atomiques, les armes à sous-munitions, blabla. Et clôt l’argumentaire par son sempiternel :  IL FAUT SAVOIR RAISON GARDER.

Ps : J’ai l’impression que Guy va avoir besoin d’un remontant, il a une petite mine.


le vendredi 9 octobre par Francis Traunig


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On a marché…, on marche…

…sur la tête.


le jeudi 8 octobre par Gérard Dubois


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Le bonheur.

-Vous êtes Punk ?

-Ouais.

-Mais ça existe encore les Punks ?

-Ben ouais, regarde-moi !

-J’ai eu des potes Punks. Y a longtemps. Pirate… Tu connaissais Pirate ?

-Ouais. Tout le monde le connaissait Pirate. C’était un dur au cœur tendre. Il est mort.

-Et toi ? c’est comment ton nom ?

-Bob, si tu connaissais Pirate, t’as connu son pote Plastique ?

-Ouais, je l’ai photographié y a plus de vingt ans. L’ai plus jamais revu.

-Y s’est tiré en Bretagne.

-Et toi, tu fais quoi là ?

-Je sors de cabane, les flics m’ont jeté. C’est dur. Y a plus de squat… mais j’essaye de regarder  en arrière depuis où je suis, et tu sais quoi, tout ce chemin derrière moi, tu sais comment ça s’appelle ?

-… ?

-Le bonheur.


le jeudi 8 octobre par Francis Traunig


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Vous n’auriez pas 100 millions ?

Nous permettons à Genève de briller la nuit. Et le jour aussi! Ainsi, tout resplendit!

La start-up « Victoria Group » cherche 100 millions de capital.

Si vous avez des idées…


le mercredi 7 octobre par Michel Bruno


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à

Hommage flou à René Magritte.


le dimanche 4 octobre par Francis Traunig


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Bien que.

L’art difficile du portrait.

Pour aimer les autres il faut commencer par s’aimer soi-même.

Bien que.


le samedi 3 octobre par Francis Traunig


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Mais peu auront

Les artistes Tito Honegger et Jacques Jouet vernissent leurs œuvres dans la galerie de la librairie Arabe d’Alain Bitar.

On a été prié, avant d’entrer, de suspendre ses comètes au porte-manteau. Mais peu auront prêté attention à cette injonction.


le vendredi 2 octobre par Francis Traunig


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Holly Spirit On A Rainy Day

 » Un Schtroumpf vert, c ‘est la jaunisse. »

Ce qui n ‘a strictement rien à voir…


le vendredi 2 octobre par Gérard Dubois


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