Un mois de légendes /

I do not seek, I find

Une ceinture qui pourrait être une bandoulière pour les UPPJistes ?


le lundi 31 août par Michel Bruno


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whose name I have forgotten

Vernissage de Matricule II – Linda Naeff (paix à son âme) au Museum Lagerhaus de Saint-Gall, expo présentée par Isabelle, la fille de Linda et de Madame la conservatrice whose name I have forgotten.


le lundi 31 août par Francis Traunig


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Dimanche

au lit, ou pas loin.


le dimanche 30 août par Nicolas Spuhler


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le café

– C’est ces photos là qu’aujourd’hui on voit plus nulle part que vous faites ? – Ha, mais si vous voulez je vous l’envoie… – Non, laissez-là au cafetier, il me la donnera il me connaît bien. – Aucun problème, bonne journée monsieur !

Je lui ai fait un tirage à l’instant, en rentrant, reste à le laisser au zinc en repassant dans le coin, le WE prochain sûrement.


le dimanche 30 août par Pierre Montant


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la

En bonne compagnie jusqu’au milieu de la nuit.


le samedi 29 août par Francis Traunig


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28/08/2020

Ce matin au petit-déjeuner à 6:00, radio. La nouvelle : port du masque obligatoire dans tout l’espace public, à compter de ce jour.


le vendredi 28 août par Pierre Montant


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J’aurais aimé…

…cotoyer Jacques-Henri Lartigue.


le vendredi 28 août par Gérard Dubois


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ça l’émoustille

L’ami Charly, postier national, voit deux jeunes filles le regarder, ça l’émoustille, fait un tourner sur route et en perd son chapeau.


le vendredi 28 août par Francis Traunig


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Brayan se protege, nos protege. (COVID – 19)

En la inauguración de un nuevo Camino de #MujeresLibresYSeguras nos encontramos al buen B. Sebastián, un amigo que se protege de ésta pandemia.


le jeudi 27 août par Rodrigo Alonso


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Satanas et Diabolo.

Belle et sympathique rencontre de deux motards BMW GS 1250, Satanas et Diabolo.


le mercredi 26 août par Francis Traunig


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sac

Cul de sac pour le gastéropode astronaute.


le lundi 24 août par Francis Traunig


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Eduardo (28 años)

Solicitando ayuda para Eduardo.
Una situación complicada en la Ciudad de México, Eduardo, cumple 28 años, asistido por dos adultos Mayores de 59 y 63 años.
La pandémia complica la situación aquellos que no pueden mejorar su situación.


le lundi 24 août par Rodrigo Alonso


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fédérés

Pas grand chose dans cette image sinon le télescopage entre l’initiative de la droite sur la limitation des flux migratoires et la mise en garde de l’organisation de la santé publique qui culpabilise le citadin et le compare à un virus.

Les cons fédérés par la peur.


le dimanche 23 août par Francis Traunig


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tout n’est pas perdu

« Cela n’atténuera pas la déception de la défaite mais cela fera du bien aux finances. Battu par le Bayern Munich 1/0 ce dimanche en finale de la Ligue des Champions à Lisbonne, le club francilien va toucher un joli chèque. Au total, le PSG devrait ainsi récolter pas moins de 134 millions d’euros selon les estimations du blog spécialisé Swiss Ramble. Finaliste malheureux de la compétition, Paris se trouve au sommet en matière de recettes. » source BFM


le dimanche 23 août par Pierre Montant


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Ian

Un pequeño, que al mundo llegó.


le dimanche 23 août par Rodrigo Alonso


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retour à Paname (déjà)

impossible de les rater quand on a repéré le lieu, le TGV ne passe pas vite à cet endroit, c’est tout près de Paris : sens sud/nord.


le samedi 22 août par Pierre Montant


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silos à blé

…bien sûr que les choses vont changer une fois le démocrate au pouvoir. Alors l’empire américain cessera d’imposer ses lois au reste du monde,  les silos nucléaires seront convertis en silos à blé, on rendra leurs terres et leur dignité aux dépossédés par John Wayne, les cinglés de la NRA rangeront leurs pétoires dans les greniers, sans moufeter, et les noirs pourront enfin respirer.

A moins que…

Ps : l’un et l’autre ne portent hopefully pas une cravate de même couleur


le samedi 22 août par Francis Traunig


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Au Gallia

…Bar-tabac comme on n ‘en fait plus.


le samedi 22 août par Gérard Dubois


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les engoncés du préjugé

C’est un fils de pute. Et quelle pute, Natacha. Elle disait haut et fort et sans complexe : Mes pipes devraient être remboursées par la sécurité sociale, je donne du bonheur à mes clients, ils repartent de chez moi guillerets et le sourire aux lèvres. Puis elle est tombée malade, un cancer, mais ça ne l’empêchait pas de circuler dans le quartier arrimée à son déambulateur et de tambouriner sa bonne humeur.

Quelle personnalité Natacha. Fière de son fils, fière de ses seins, fière de son métier.

J’emmerde les puritains, qu’ils viennent se faire foutre, ça leur fera peut-être du bien…

Et lui, fils de Natacha, rebelle comme elle, continue à bucheronner les engoncés du préjugé.


le vendredi 21 août par Francis Traunig


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de son

A la première bouchée de son dessert, elle ferme les yeux et je la vois déguster. Puis tire une bouffée sur sa clope…


le jeudi 20 août par Francis Traunig


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Le

Le repos du guerrier.


le mercredi 19 août par Francis Traunig


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sémillante

Carton qui annonce La folle vie de la femme qui dort exposition de peinture de la sémillante septuagénaire Marie-José Broggi.

Vernissage 1er septembre 2020 – Espace Mora-Mora – rue Louis-de-Monfalcon 6 – Carouge

Konselediz !


le mardi 18 août par Francis Traunig


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The wall

Paredes en la Alcaldía Iztapalapa que son el lienzo de nuestros muralistas, para exponer sus ideas.


le lundi 17 août par Rodrigo Alonso


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Paco  » El Chivo » Gutierrez, baron…

…ou troisième couteau.


le dimanche 16 août par Gérard Dubois


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s’habituer

Le port du masque est à présent obligatoire à Bruxelles. Non seulement dans les magasins, les cinémas et les théâtres. Non seulement dans les transports en commun, les rues commerçantes ou sur les places fréquentées du centre-ville. Mais dans l’ensemble des 19 communes de la capitale, des impasses de la rue de Flandres aux prairies du plateau Avijl en passant par le Rouge-Cloître.

« Cela a le mérite d’être clair » pour reprendre les termes d’une élue qu’on ne contredira pas. Qu’il soit en revanche permis de ne pas partager son enthousiasme au motif que ce soit « la même chose pour tout le monde« . Non, décidément, il ne me prend pas l’envie d’applaudir à l’idée que nous n’aurons plus le droit de nous promener, de nous rendre au travail, d’aller faire nos courses ou de flâner avec des amis sans avoir le bas du visage masqué, quelle que soit l’affluence sur les trottoirs, l’heure du jour ou de la nuit et les moyens de transport envisagés. L’idée me glace que des actes aussi simples, naturels et nécessaires que s’embrasser, manger, boire, fumer ou chanter viennent d’être taxés d’illégalité sur la voie publique sans susciter d’autre réaction qu’un silence hébété.

Jardins, résidences secondaires… Mais qu’en est-il des autres ?

On m’objectera peut-être que c’est une question de bon sens, de proportionnalité et qu’il faut compter sur les forces de l’ordre pour une appréciation souple de la norme. Mais l’ordre qui vient de nous être intimé est d’une clarté limpide dans son dispositif ; il ne souffre guère d’exceptions que celles, très restreintes, qu’il énumère. Or, quoi qu’en pensent nos dirigeants, ce n’est pas la même chose pour tout le monde.

Certains auront encore le recours de se réfugier chez eux, de mener dans leurs résidences secondaires, dans leurs jardins ou sur leurs balcons, les moments de sociabilité jusqu’ici possibles dans l’espace public. Mais qu’en est-il des autres ? De ceux pour qui la vie sociale se fait essentiellement dans la rue ? Qui n’a remarqué au cours des derniers mois à quel point le masque altère les interactions, empêche la reconnaissance des expressions d’autrui, entrave la parole et décourage l’empathie ? Le masque n’est pas qu’un « petit geste », une mesure sanitaire bénigne dont toute remise en cause relèverait d’un individualisme criminel. Le masque est un mur très concret entre les êtres et je crains qu’il contribue de façon significative à la destruction des liens sociaux dans une société déjà divisée. Je crains qu’il parachève la disqualification, déjà largement entamée par la publicité et l’omniprésence des écrans, de l’espace public comme lieu de fabrication de la communauté. Je crains enfin, qu’il accélère singulièrement l’entreprise de dévalorisation du réel au profit du virtuel à l’œuvre dans nos sociétés, dans la même lignée que l’ensemble des mesures publiques prises pour lutter contre le Covid-19 depuis le mois de mars.

Je ne veux pas dire par là que les pouvoirs publics ont eu tort d’ordonner le confinement. Cette décision semblait la seule possible dans le contexte où elle a été prise. Ni même que le port du masque ne s’impose pas dans certains lieux publics très fréquentés et précisément déterminés. Mais je dis qu’une contamination nouvelle hebdomadaire sur 2000 personnes ne semble pas intrinsèquement de nature à justifier une mesure aussi attentatoire à nos libertés que l’interdiction de sortir à visage découvert, et que la même question de proportionnalité se pose quant à la condamnation de pans entiers de notre économie à une agonie programmée (je pense au secteur de l’événementiel, à l’arrêt, à ceux de l’horeca et de la culture tournant à moitié à vide).

Jusqu’à vivre comme des ombres ?

Il me semble également qu’il doit être permis de s’interroger en commun sur la valeur de la vie humaine, puisque celle-ci nous est présentée comme la finalité de tous les sacrifices consentis. Jusqu’où irons-nous dans la prévention par crainte de la maladie et de la mort ? En toute cohérence avec les mesures actuelles – dont l’aspect le plus effarant est qu’elles ne s’assortissent d’aucune condition de temporalité – ne faut-il pas nous habituer à porter définitivement le masque dans les lieux publics en vue des épidémies futures ? Ne devons-nous pas prendre le pli de communiquer en vidéoconférence avec nos collègues, nos professeurs ou nos élèves, nos parents et nos amis de peur de les contaminer ? Jusqu’où sommes-nous prêts à aller dans l’abdication de nos libertés ? Jusqu’où dégraderons-nous la vie dans ses conditions pour la préserver dans son principe ? La mort est-elle à ce point effrayante que nous ayons à vivre comme des ombres ? Ne pouvons-nous préférer à ce sujet la vision d’Epicure ou de Montaigne à celle des transhumanistes ?

Il me semble simplement que ces questions sont trop graves pour se voir évacuées par des directives sanitaires autoritaires et gravement coercitives au prétexte d’une urgence dont la réalité est de plus en plus contestée au sein du monde scientifique. Il me semble que nos élus ont pris l’habitude depuis la crise du Covid-19 de traiter nos libertés avec une légèreté incompatible avec le mandat dont nous les avons chargés. Il me semble que des mesures dont le coût économique et social s’est déjà révélé si dramatique doivent à présent faire l’objet d’un débat public à défaut de mettre en péril les conditions de l’État de droit.

Je n’invoque pas d’autorité particulière pour m’exprimer de la sorte. Je ne suis ni épidémiologiste, ni statisticien, ni soignant. Je ne suis qu’un citoyen ordinaire. Mais devant l’absence totale de pluralité sur ces questions, que ce soit parmi nos gouvernants ou dans les médias, il me semble que c’est précisément mon devoir de citoyen que de prendre la parole, dans l’espoir que d’autres se reconnaîtront dans le malaise profond qui m’habite aujourd’hui quant à l’évolution de notre démocratie ; dans l’espoir que d’autres, s’il leur faut bien accepter aujourd’hui d’être sans visage, refuseront d’être sans voix.


Nour Aïr est professeur de français dans l’enseignement secondaire à Bruxelles.  


le samedi 15 août par Pierre Montant


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On verra bien.

Sur fond d’avis mortuaire.

Stella Thorimbert, Noah Gabriel Loeffel, Willy Schweizer, Olivier Kolakovic et Charles Haldemann, sont enterrés pour toujours sous une montagne de chanterelles.

Quand on est mort, les spaghettis aux bolets ça doit nous manquer.

On verra bien.

Bon appétit !


le samedi 15 août par Francis Traunig


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Des étoiles

et quelques papillons de nuit


le vendredi 14 août par Nicolas Spuhler


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une seule main

Céline, sans doute future gymnaste, nous fait un soleil sur une seule main.


le vendredi 14 août par Francis Traunig


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Interview au marteau de Guillaume Gagnière

https://www.viceversalitterature.ch/book/21165


le jeudi 13 août par Justine Grespan


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Gérard m’a doubler

amusant constat. L’ami Gérard a eu le même (dé)clic pour cet affichage, il m’a même doublé. Osons une interprétation. Ça s’explique par le bécot : le truc qui attire le photographe, c’est séculaire. L’amour, la rue et la photo ? tout comme l’aimant de cuisine et le trombone de bureau. Clic !


le jeudi 13 août par Pierre Montant


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glaviots

…c’est que malgré les pare-avalanches, les vierges, les Dieux, les barrages, les supplications,  les digues, rien n’arrêtera une montagne qui décide de cracher ses glaviots de granits dans la pente.


le jeudi 13 août par Francis Traunig


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Pelos.

Una despuntada al Red.


le mardi 11 août par Rodrigo Alonso


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beaux

La fonte des glaciers met les industriels de l’énergie hydroélectrique dans de beaux draps.


le dimanche 9 août par Francis Traunig


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09/08/2020

à peine 8:00 du matin et déjà le dos trempé.


le dimanche 9 août par Pierre Montant


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Danza de « Los Concheros »

Dan za en honor al Santo San Lorenzo Diácono y Mártir. Nombre del pueblo de San Lorenzo Tezonco. Iztapalapa. CDMX.


le dimanche 9 août par Rodrigo Alonso


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Asesoría a distancia.

Una videollamada con Vero,, COVID – 19 Sana distancia…


le samedi 8 août par Rodrigo Alonso


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(respect ? égard ?)

Ici l’aveu que je ne suis pas un photographe de rue.

Un homme en surpoids affalé contre un mur, jambes écartées, tend mollement un bout de carton sur lequel est écrit J’ai faim. A côté de lui un Milkshake, sans doute offert par un passant généreux. La masse de cet homme obèse rend cette scène grotesque et triste. Je ne sais pas comment réagir. On se regarde, et ses lèvres laissent passer un mot que je ne comprends pas.

Plus tard, plus loin, j’hésite à retourner le voir pour peut-être lui donner une pièce, lui parler.

Mais je suis encore lamentablement déchiré entre mon instinct de photographe qui veut réussir son image et la compassion (respect ? égard ?) que je dois à mon prochain.

J’y vais, on verra bien.

Parti.

Reste le Milkshake entamé.


le vendredi 7 août par Francis Traunig


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La última cita, así se recibe a todo aquel que fallece y es enviado al panteón de SLT, Iztapalapa CDMX:

La entrada del panteón de San Lorenzo, es ilustrado por los muralistas de México, quienes iluminan los muros de nuestro panteón, por ello el homenaje de siempre a nuestros artistas que se mantienen en el anonimato de por vida.


le vendredi 7 août par Rodrigo Alonso


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over

Sunset over Palm Springs.


le jeudi 6 août par Francis Traunig


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La huesuda

La muerte en México ha significado mucho , menos dolor, hoy en estos días pandémicos nos ha demostrado que no es muy divertida como algunos la veíamos, ya no sé cómo terminará esta pandémia.


le mardi 4 août par Rodrigo Alonso


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Sushis

… à volonté….


le mardi 4 août par Nicolas Spuhler


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Strip poker

 » Couvrez ce sein que je saurais voir

Par de pareils objets les âmes sont blessées

Et cela fait venir de coupables pensées… »

Molière, Tartuffe ou l ‘imposteur ( 1664 )


le mardi 4 août par Gérard Dubois


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19 heures 40

Il était prévu que SpaceX amerrisse aujourd’hui à 19 heures 40 dans le golfe du Mexique, et la voilà tombée dans notre jardin.


le lundi 3 août par Francis Traunig


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pleine

Mini-champion en pleine action.


le dimanche 2 août par Francis Traunig


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Avē, August !

juillet, out


le samedi 1 août par Pierre Montant


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