Un mois de légendes /

pour

Entrainement de soufflé de bougies pour demain premier avril. Il y en aura 94 sur le gâteau.


le dimanche 31 mars par Francis Traunig


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I know now, Lord

I know now, Lord, why you utter no answer.

You are yourself the answer. Before your face questions die away. What other answer would suffice?

C.S. Lewis


le dimanche 31 mars par Joyce Zurub


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treize décembre 1926.

Le fils fait partie d’un club Harley où seuls sont admis les pompiers ou ex-pompiers.

Le père lui, est du treize décembre 1926. Il a  92 ans.

Père et fils portent des jeans de même marque.


le samedi 30 mars par Francis Traunig


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don’t miss le train, miss !

Pas sûr de moi sur la légende, anglais approximatif oblige.


le samedi 30 mars par Pierre Montant


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Au royaume des aveugles…

…les borgnes sont Rois.


le samedi 30 mars par Gérard Dubois


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Stone walls do not a prison make

Stone walls do not a prison make,
Nor iron bars a cage;
Minds innocent and quiet take
That for an hermitage;
If I have freedom in my love
And in my soul am free,
Angels alone, that soar above,
Enjoy such liberty.

Richard Lovelace


le samedi 30 mars par Joyce Zurub


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m’agace

-Tu as vu ma nouvelle étiquetteuse ?

-Oh, parfait pour ma photo du jour. Tu peux poser avec? Oh pis avec Malou, tiens.

-Attends j’écris un truc…


le vendredi 29 mars par Nicolas Spuhler


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Pas très loin de là,

La moto prolonge le sentiment de puissance. Il ne faut qu’un tout petit effort, qui est l’action du poignet sur la poignée des gaz pour convoquer le tonnerre dans les pots d’échappement. C’est le grand rut mécanisé, cigare au bec, sorti tout droit de son étui pour faire la parade aux minettes.

Pas très loin de là, dans la rade, les cygnes font pareil, mais plus simplement.


le vendredi 29 mars par Francis Traunig


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You are a ghost

You are a ghost. Filled with stardust, wearing the bones as the shield and the skin as the cape. Fighting every day and opening up for the new wounds in the hustle of hiding the old scars.

Akshay Vasu


le vendredi 29 mars par Joyce Zurub


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In your light

In your light I learn how to love. In your beauty, how to make poems.

You dance inside my chest where no-one sees you, but sometimes I do, and that sight becomes this art.

Rumi


le jeudi 28 mars par Joyce Zurub


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La

La fleur de l’âge.


le mercredi 27 mars par Francis Traunig


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Music

Music goes in my ears, is filtered through my heart, and comes out through my feet.

El Flaco Dany Garcia


le mercredi 27 mars par Joyce Zurub


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Et soudain

passe un nuage


le mardi 26 mars par Nicolas Spuhler


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Words are a pretext

Words are a pretext. It is the inner bond that draws one person to another, not words.

Rumi


le mardi 26 mars par Joyce Zurub


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80%

C’est la chaleur que nous perdrions la tête à l’air


le mardi 26 mars par Michel Bruno


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5.70 euros

Laitue Iceberg – 1.50 euros

Pain 400 gr. – 0.67 euros

Pavé tournedos 2x – 5.70 euros

Rapé parmigiano- -1.43 euros

Spaghetti intégral – 1.16 euros

TOTAL ALIMENTAIRE -10.46 euros


le lundi 25 mars par Francis Traunig


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Fabien

J-L G. a dit un jour que la télévision « produit de l’oubli et le cinéma des souvenirs ». Parmi mes souvenirs de cinéma, il y a cette scène d’un film en noir et blanc, sans doute, dont le titre m’échappe complètement, au cours duquel un homme assis dans la cabine d’un train d’autrefois fait face à un autre, et je crois qu’à ce moment-là de la scène, cet homme qui porte un chapeau regarde le paysage à travers le carreau. Il se fait une réflexion, à part lui, dont nous-autres les spectateurs sommes directement les témoins. Cette réflexion, à propos de son vis-à-vis, dit : « Cela ne fait pas dix minutes que je le connais et je voudrais (ou pourrais) déjà être son ami. » Je ne sais plus s’il dit « voudrais » ou « pourrais ». Peu importe, au fond. Cette séquence m’est revenue car elle correspond à l’effet exact que le contact de Fabien, il y a trois semaines environ, puis deux ou trois autres fois ensuite lorsque j’ai eu l’occasion de le revoir, a produit sur moi. La première rencontre, je l’ai racontée ailleurs, il y a trois semaines, sur facebook – ce n’est pas très glam, FB, je sais… C’eut été mieux de consigner cela sur un cahier au papier vélin à fort grammage, mais on a les supports qu’on peut. Mais je m’égare.

Je me trouvais donc au croisement de la rue Marcadet et de la rue Eugène Carrière dans le 18e arrondissement ce matin-là, baignant dans la lumière rasante, orangée, celle qui vous rend aussi fébrile, quand vous êtes photographe, que le braque posté au détour du sentier à l’instant où le lapin détale par la gauche, pendant la balade. J’étais posté là, la truffe humide, attendant que quelque chose se produise, mais rien n’arrivant, j’allais tourner les talons, et Fabien est apparu avec un sourire inouï sur le pas de la porte de son bar-resto. Soit pile où je me trouvais. Je l’ai donc photographié, illico, sans lui demander son avis, rien. Trois fois. Imperturbable, Fabien est resté souriant, je l’ai remercié je crois, en tout cas dis bonjour, et suis parti sans demander mon reste, comme un voleur.

Lesté de scrupules assez rapidement, peut-être cinq minutes plus tard, je me suis dit in petto qu’il était hors de question de ne pas retourner au bar de ce monsieur – qui non seulement s’était laissé photographié sans moufter, trois fois, mais l’avait très bien pris. Trop rare pour ne pas être pris en considération. J’ai réalisé deux tirages de son portrait avec ma Canon et les lui ai apporté trois ou quatre jours après. Ça tombait de plus parfaitement, le Brio (c’est le nom du bar restaurant) étant sur le chemin du burlingue. C’est à ce moment-là que Fabien m’a appris qu’il pratiquait un art martial, et qu’il était le fils d’un designer très connu, Marc Held, non seulement designer, mais aussi fabuleux photographe. Fabuleux : je pèse mes mots, j’ai pu admirer le travail dans un livre préfacé par Agnès Varda. Voilà, s’il faut retenir deux choses de cela : allez au Brio, si vous êtes à Paris ou y venez. Je n’ai jamais eu un accueil pareil dans aucun autre patelin. Et voyez le travail de Marc Held. En tout cas moi j’y retourne.

C’est fait, et voilà la photo du jour.


le lundi 25 mars par Pierre Montant


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lundi

Ciel de Magritte en ouvrant les volets


le lundi 25 mars par Nicolas Spuhler


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Show me a smile

Show me a smile, and I’ll show you one back.

Vanilla Ice


le lundi 25 mars par Joyce Zurub


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Tempête

Suppe des Seins

Sinne, Körper, Licht verschwimmen,
werden fliessend eins,
lösen sich zu neuen Formen.
Sturm.


le dimanche 24 mars par Basil Huwyler


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?

Est-ce qu’on peut tout se dire entre amis ?

L’amitié est-elle la garante du respect de l’opinion de chacun ?


le dimanche 24 mars par Francis Traunig


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Endless ocean

Endless ocean, blue water, dreamy sky,

Tranquil beach, love in the air, mind fly high.

Debasish Mridh


le dimanche 24 mars par Joyce Zurub


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#noname 37

Paris, Paris, Paris….


le samedi 23 mars par Pascal Kempenar


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Je sais bien que

Dans le dernier supplément Magazine du Monde, Alexandria Ocasio-Cortez, la redoutable et récemment élue membre au congrès américain fait la une avec un beau portrait. Elle s’engage avec intelligence, pugnacité dans le combat, des femmes et des hommes, contre le pervers de service, Trump. Elle fédère les femmes, lasses de la domination masculine dont Donald en est la représentation hypertrophiée.

En ouvrant le magazine, page trois… le monde m’échappe. Je ne comprends plus. Me reprends. Saint Laurent. Qu’est-ce que Saint vient faire là. Il était Saint, Laurent ? Il aurait aimé cette image ? Au milieu de ma confusion débarque Newton. Helmut. Que je déteste. Misogyne. Bon photographe. Helmut, qui en quelque sorte, aura donné ses lettres de noblesse à la pornographie soft magazine. Doit-on cette image à Helmut qui aura fait une trace dans la neige fraîche du papier glacé ?

Mais en la regardant de plus près, en renvoyant l’émotion à la niche, je découvre tout en bas à gauche : photo retouchée. Je suis un peu rassuré. Je sais bien que les photographies mentent. C’est peut-être une image virtuelle créée informatiquement.

Cette fille sûrement n’existe pas.


le samedi 23 mars par Francis Traunig


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The master of the garden

The master of the garden is the one who waters it, trims the branches, plants the seeds, and pulls the weeds. If you merely stroll through the garden, you are but an acolyte.

Vera Nazarian


le samedi 23 mars par Joyce Zurub


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ça ne peut pas être que du hasard.

Elle nous guette, nous envoie des petits signes. Parfois d’une fenêtre, parfois de manière inopinée par un petit détail ou par un slogan qui nous fait d’abord rire, et plus tard, rire jaune. Et lorsque les signes s’entassent les uns sur les autres, alors là, frisson, ça ne peut pas être que du hasard.


le vendredi 22 mars par Francis Traunig


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Place a beehive on my grave

Place a beehive on my grave
And let the honey soak through.
When I’m dead and gone,
That’s what I want from you.
The streets of heaven are gold and sunny,
But I’ll stick with my plot and a pot of honey.
Place a beehive on my grave
And let the honey soak through.

Sue Monk Kidd


le vendredi 22 mars par Joyce Zurub


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En famille.

Il n’y a pas d’âge pour aimer le rock et le partager avec les passants. En famille.


le jeudi 21 mars par Francis Traunig


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But he who dares not

But he who dares not grasp the thorn,
Should never crave the rose.

Anne Bronte


le jeudi 21 mars par Joyce Zurub


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Things forbidden

Things forbidden have a secret charm.

Tacitus


le mercredi 20 mars par Joyce Zurub


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du photon! c’est ce qu’il nous font

zut j’allais oublier, voici ceci, en extra bonus (l’évocation d’un collectif photo)


le mardi 19 mars par Pierre Montant


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Don’t mind me

Don’t mind me. I just need to take a deep breath and dream of living on my own private island for a few minutes.

Author unknown


le mardi 19 mars par Joyce Zurub


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en

Uetliberg : en goguette sur monoplace.


le lundi 18 mars par Francis Traunig


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It’s raining men

It’s raining men, hallelujah, it’s raining men, amen
I’m gonna go out to run and let myself get
Absolutely soaking wet
It’s raining men, hallelujah
It’s raining men, every specimen
Tall, blonde, dark and lean
Rough and tough and strong and mean…

The Weather Girls


le lundi 18 mars par Joyce Zurub


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à vélo!

Un jour sans, ou avec peu. Juste deux vélo, en passant : clic. En passant à pied. Sur le pont d’Joinville ! (94) Le dimanche, c’est pépère parfois.


le dimanche 17 mars par Pierre Montant


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Grand théâtre

L’Anneau du Nibelung par Richard Wagner ne rend pas très heureux !


le dimanche 17 mars par Catherine Claude


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en

Rapperswil : Couple en chantier.


le dimanche 17 mars par Francis Traunig


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I’m a long way from home

I’m a long way from home and so all alone
Homesick like I never thought I’d be
I’m a long way from home, everything is wrong
Someone please watch over me

Waylon Jennings


le dimanche 17 mars par Joyce Zurub


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Karma

Quand on se coupe accidentellement les veines on volant un coca.


le samedi 16 mars par Basil Huwyler


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dit-il à ses voisins,

C’est fou comme le flocon de neige, solitaire, doux et soyeux quand il flotte dans les airs, peut devenir ravageur quand il se trouve de la compagnie et change de nature. L’union fait la force dit-il à ses voisins, tenons-nous la main et en route pour la mer !


le samedi 16 mars par Francis Traunig


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16/03/2019

00:00:58


le samedi 16 mars par Catherine Claude


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Too often

Too often we underestimate the power of a touch, a smile, a kind word, a listening ear, an honest compliment, or the smallest act of caring, all of which have the potential to turn a life around.

Leo Buscagli


le samedi 16 mars par Joyce Zurub


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Une vague

Une vague de cinq mille personnes a déferlé sur l’asphalte genevois en poussant une immense clameur.

Les flics ouvraient la marche et les balayeuses la fermait.

On peut ouvrir sa gueule ici, s’indigner, le faire savoir mais pas sans la sécurité.


le vendredi 15 mars par Francis Traunig


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Family

Family is a unique gift that needs to be appreciated and treasured, even when they’re driving you crazy. As much as they make you mad, interrupt you, annoy you, curse at you, try to control you, these are the people who know you the best and who love you.

Jenna Morasca


le vendredi 15 mars par Joyce Zurub


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Sara Engel

sculpteur, 85 ans , se rend à la poste et me demande si elle est dans le bon tram

-mon frère est connu, moi moins , il a vendu une sculpture au président

-je n’ai plus d’amis ils sont tous morts de la fumée

-nos amis  sont parfois nos pires ennemis

-les fumeurs sont plus sympas


le jeudi 14 mars par Catherine Claude


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Biopole

https://www.biopole.ch/fr/news/biopole-launches-the-digital-health-hub/


le jeudi 14 mars par Nicolas Spuhler


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He’s smiling

He’s smiling and I am melting.

Unknown author


le jeudi 14 mars par Joyce Zurub


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couette

Jour sans lumières à rester planqué sous la couette ou calfeutré dans son antre à jouer au bilboquet avec ses projets.


le jeudi 14 mars par Francis Traunig


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Here we go again

I wake up every morning. I open my eyes and think: here we go again.

Andy Warhol


le mercredi 13 mars par Joyce Zurub


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Friends stand by each other

Friends stand by each other through thick and thin, every time you need me I will always be there for you.

Unknown author


le mardi 12 mars par Joyce Zurub


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Earrings are like orgasms

-« Earrings are like orgasms. You can never have too many ».

-« I never thought about it quite that way ».

-« Well, you’re a man ».  She gave his knee a friendly pat.

Nora Roberts


le lundi 11 mars par Joyce Zurub


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waouh

ou l’effet par l’onomatopée que m’a fait la vue soudaine de cette jeune beauté, à cet endroit.


le dimanche 10 mars par Pierre Montant


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sables africains

Tiens, j’ai parlé de toi hier soir avec ma femme, et te voilà…

…me dit Roland croisé par hasard en bord de route.

Ça faisait des années que nous ne nous étions plus revus. Après avoir écumé les sables africains en rallye. Il y a 36 ans.


le dimanche 10 mars par Francis Traunig


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When ideas evaporate

When ideas evaporate, when shapes fade and forms lose their integrity, our imagination can create an outlandish setting and convert everything into a hazy, misty Turner landscape.

Erik Pevernagie


le dimanche 10 mars par Joyce Zurub


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mon voisin

c’est mon réveille-matin,

petit bonheur visuel

en m’étirant comme un chat dans mon lit


le samedi 9 mars par Catherine Claude


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Style

Style is a way to say who you are without having to speak.

Rachel Zoe


le samedi 9 mars par Joyce Zurub


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(sans le vouloir évidemment)

… à la seconde d’après, Mimi, surprise de voir Viviane brandir un couteau de cuisine recule et pousse un cri.  Viviane se retourne et entaille, (sans le vouloir évidemment) le bras de M. qui hurle. V. décontenancée perd alors l’équilibre, glisse sur le sol de la cuisine, et tombe de tout son poids sur le couteau qu’elle venait de lâcher. Gabegie totale. Sanglante. Je suis tétanisé d’avoir provoqué cette boucherie en voulant photographier Viviane toujours prompte à la déconnade.

Mais ce n’est pas arrivé, heureusement, mais ça aurait pu.

Comme le dit mon pote Sarcloret, on peut pas toujours déconner, ça pourrait mal tourner.


le vendredi 8 mars par Francis Traunig


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From the moment you came

From the moment you came into this world, a ladder was placed in front of you that you might transcend it.

From earth, you became plant, from plant you became animal.

Afterwards you became a human being, endowed with knowledge, intellect and faith.

Rumi


le vendredi 8 mars par Joyce Zurub


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Déguisé en grenouille

J’explique à une amie qu’on distingue une grenouille d’un crapaud par sa laideur
…soudain la rue est pleine de crapauds…


le jeudi 7 mars par Basil Huwyler


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balance

des blancs


le jeudi 7 mars par Nicolas Spuhler


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la chanteuse

La rencontre de la chanteuse et du galeriste, deux figures locales, au vernissage de Keith Donovan, l’homme qui met en musique les couleurs.


le jeudi 7 mars par Francis Traunig


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Thriller…

…by Tina.


le jeudi 7 mars par Gérard Dubois


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Love is a fruit

Love is a fruit in season at all times and within the reach of every hand.

Mother Teresa


le jeudi 7 mars par Joyce Zurub


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Cycle

Dans un récipient fermé, un cycle de vie peut se former avec seulement un peu de lumière et d’eau…
et l’être humain… ben


le mercredi 6 mars par Basil Huwyler


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Je suis alors renvoyé

Complotisme ? Fake news ? Manipulations ?

En cherchant sur le web des parallèles entre les gestuelles des grands populistes, leur charisme et la manière dont ils occupent la scène, je tombe, via : http://cercle.jean.moulin.over-blog.com/ sur une rubrique ou Donald est accusé d’avoir plagié un discours d’Adolf. De là, je suis alors renvoyé vers : https://fr.khabarpress.com/ et me demande si ces sources de plagiat sont fiables.

Extrait du discours de Hitler du 30 janvier 1939

En ce qui concerne la question juive, je dois dire la chose suivante : c’est un spectacle honteux que de voir la façon dont le monde démocratique dans son ensemble suinte de sympathie pour le pauvre peuple juif souffrant, mais demeure sans cœur et inflexible lorsqu’il s’agit de les aider – ce qui est certainement, d’après son point de vue un devoir patent. Les prétextes avancés pour ne pas les aider parlent en fait en notre faveur à nous Allemands et Italiens.

Extrait du discours de Trump du 04 avril 2016

En ce qui concerne les musulmans, je dois dire la chose suivante : c’est un spectacle honteux que de voir la façon dont les démocrates dans leur ensemble suintent de sympathie pour les musulmans, mais demeure sans cœur et inflexible lorsqu’il s’agit de les accueillir chez eux – ce qui est certainement, d’après son point de vue un devoir patent. Les prétextes avancés pour ne pas les aider parlent en fait en notre faveur à nous Républicains.

Ce qui est sûr, sans équivoque, et est en passe d’être révélé par le procureur Mueller, c’est la dimension mafieuse de la Trump Organisation et de son parrain.


le mercredi 6 mars par Francis Traunig


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You can

You can attract others’ attention with your style; you can teach with your style; you can give hope to others with your style; you can start a revolution with your style; style is a great power!

Mehmet Murat ildan


le mercredi 6 mars par Joyce Zurub


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Tisseron et Plossu

Bien sûr ce ne sont ni Bernard Plossu, ni Serge Tisseron, sur cette photo (avant-dernière de la journée). Mais hier soir, j’ai éprouvé une joie intense en lisant le texte ci-dessous, déniché par un autre Bernard, M. Jolivalt. Il fallait le partager sur Une photo par jour.

Manifeste pour une École inférieure de la Photographie

L’École inférieure de la Photographie se fixe pour objectif d’encourager et valoriser les pratiques réputées inférieures de la photographie.

L’École inférieure de la Photographie soutient en effet qu’une photographie est d’abord un objet émouvant et à ce titre susceptible de nous mouvoir. C’est pourquoi elle porte le même intérêt aux images réalisées avec des appareils perfectionnés et à celles qui sont faites avec des appareils sur lesquels aucun réglage n’est possible, comme les appareils jetables en plastique ou les instamatics.

L’École inférieure de la Photographie bannit formellement l’usage de toute lumière artificielle organisée et agencée spécialement dans le but de la prise de vue.

L’École inférieure de la Photographie, parce qu’elle est inférieure, tient dans la plus haute estime toutes les activités réputées elles aussi « inférieures ». Elle valorise le jeu, traditionnellement réservé aux enfants, et le soin qu’une tradition machiste réserve aux femmes. L’Ecole inférieure de la Photographie défend que la photographie est d’abord un jeu et que l’on prend soin du monde et de soi en photographiant. La photographie pense et panse, celui qui la fait et celui qui la regarde. Sa posture est celle de l’empathie. Même quand la situation est désespérée, l’Ecole inférieure de la Photographie rend hommage à la beauté du monde parce que l’Ecole inférieure de la Photographie fait confiance à la beauté.

Dans le même ordre d’idée, l’Ecole inférieure de la Photographie est persuadée que les êtres réputés inférieurs font souvent les meilleures photographies et propose que tous les enfants en âge de cinq ans puissent disposer d’un appareil. Ils nous étonneront ! Elle défend évidemment avec la même énergie la photographie faite par les enfants, les machines, les artistes, les fous, les exclus et les marginaux de toutes sortes.

L’École inférieure de la Photographie fait passer avant toutes choses l’accompagnement du monde par ses images. On photographie par bonheur, indignation, souci de témoigner, de communiquer ou de dialoguer, toujours pour accompagner le mouvement du monde.

L’École inférieure de la Photographie, parce qu’elle est inférieure, ignore les distinctions subtiles des esprits qui se jugent supérieurs. Elle refuse la distinction entre l’image animée et l’image fixe, tout comme entre les bonnes et les mauvaises images. Pour elle, il n’y a que des images qui mettent l’esprit en mouvement et des images qui arrêtent le mouvement de l’esprit. Les secondes menacent d’arrêter le mouvement du monde, alors que celles qui mettent en mouvement l’esprit favorisent la reconnaissance et l’accompagnement du monde. L’Ecole inférieure de la Photographie est donc une école du mouvement.

Pour elle, une photographie réussie est une photographie qui met en route. Cela n’a rien à voir avec le fait que l’image bouge ou non. L’important, c’est le mouvement de l’esprit qui la regarde. C’est pourquoi l’Ecole inférieure de la Photographie reconnaît comme chef de file tous les marcheurs, les voyageurs qui pensent, écrivent et rêvent en marchant.

L’École inférieure de la Photographie, parce qu’elle est inférieure, fait évidemment passer la sensation qui relèverait du cerveau dit « inférieur » avant l’idée et le concept qui relèveraient du cerveau dit « supérieur ». L’Ecole inférieure de la Photographie est résolument reptilienne. L’Ecole inférieure de la Photographie se gausse donc de l’art qui se prend pour un aigle.

L’École inférieure de la Photographie, parce qu’elle est inférieure, a de la peine à comprendre la distinction entre différents genres d’images. Pour elle, les images n’ont pas de genre, elles sont toutes hermaphrodites.

L’École inférieure de la Photographie, parce qu’elle est inférieure, est très naïve. Elle pense qu’il n’y a pas de photographies « riches » et de photographies « pauvres ». L’Ecole inférieure de la Photographie, parce qu’elle est inférieure, soutient avec la même énergie tous les formats, y compris les tout petits, et tous les supports, y compris le papier journal.

L’École inférieure de la Photographie, parce qu’elle est inférieure, pense que tout le monde peut faire un jour une très grande, une immense photographie. L’artiste est celui qui se revendique tel et qui en a une reconnaissance sociale. Il peut réaliser un très grand nombre de photographies intéressantes, mais pas forcément une très grande photographie.

L’École inférieure de la Photographie, parce qu’elle est inférieure, n’imposera aucune cotisation élevée à ceux qui veulent en faire partie. Il leur suffit de partager les objectifs et les pratiques de ce manifeste.

Parce que l’École inférieure de la Photographie pense que son heure est venue.

L’École inférieure de la Photographie a été fondée le 10 juin 2011 à La Ciotat, la ville où les Frères Lumière ont inventé le cinéma.

Serge Tisseron a rédigé ce Manifeste, Bernard Plossu lui a donné son titre.

https://sergetisseron.com/photographie/manifeste-pour-une-ecole-inferieure-de-la-photographie/?fbclid=IwAR1v6GwtK_4-F-Wl4GClYI6Hbc15zlFGFlzSQeTDvRsR4XIn_S747rZA72I


le mardi 5 mars par Pierre Montant


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pissa

Tout n’est pas inflammables blablas.

Parce que des phrases comme : Il a beaucoup plu ou il pissa dans un verre d’eau ont beaucoup de peine à brûler.


le mardi 5 mars par Francis Traunig


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The only prudence in life

The only prudence in life is concentration.

Ralph Waldo Emerson


le mardi 5 mars par Joyce Zurub


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Les yeux tournoyants

Il n’est pas toujours facile de définir quand la journée commence et quand elle se termine.


le lundi 4 mars par Basil Huwyler


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à l’heure du biberon

Pour l’anecdote, il ne fallait pas trop se rater aujourd’hui : parti ce matin en oubliant la batterie de secours, celle utilisée n’affichait plus qu’une barrette à la jauge. Après quelques photos, l’appareil est tombé en panne sèche. D’une certaine façon, je rejoignais la parcimonie de l’utilisateur de film 24 poses, pour qui chaque déclenchement est soupesé avec soin. Mais à l’inverse du zélote de la geste argentique mythifiée, cette relative déconvenue a davantage attisé chez moi l’angoisse de toute solution 24 volts de rechange immédiate qu’un quelconque processus créatif, mais bon. J’ai survécu !


le lundi 4 mars par Pierre Montant


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café

Qui l’eut cru au café de ce matin qu’une rafale de vent, et vlan, pousserait pépé dans le fossé.

Pas de blessé. Circulation bloquée. Juste quelques automobilistes à la bourre qui prennent par les champs et les labourent.

Les cons!


le lundi 4 mars par Francis Traunig


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I really don’t know why

I really don’t know why it is that all of us are so committed to the sea, except I think it’s because in addition to the fact that the sea changes, and the light changes, and ships change, it’s because we all came from the sea. And it is an interesting biological fact that all of us have in our veins the exact same percentage of salt in our blood that exists in the ocean, and, therefore, we have salt in our blood, in our sweat, in our tears. We are tied to the ocean. And when we go back to the sea – whether it is to sail or to watch it – we are going back from whence we came.

John F. Kennedy


le lundi 4 mars par Joyce Zurub


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La Reine

« Maintenant tout le monde saura que j’ai 87 ans au village… »


le dimanche 3 mars par Justine Grespan


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What if

What if she was supposed to be a painter, but no one ever gave her a brush?

Adi Alsaid


le dimanche 3 mars par Joyce Zurub


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John lance son dé.

Photo d’anniversaire ratée mais joie captée.

Floue.

Quelqu’un avec ses mots les entasse se met debout dessus et regarde de haut ceux restés en bas.

Pièges à chenilles sur le tronc des pins.

Retour de l’ami retenu.

Tarte aux épinards.

John lance son dé qui retombe sur la tranche. J’ai toujours voulu le beurre et l’argent du beurre.

Du vin. Du dessert. Une soupière. De la terre, de l’eau et des doutes…

Jacques, lui, ri et jette : La vérité de l’intention c’est l’acte. Puis nous raconte les  élucubrations d’une brique dans un aéroport indien.

Une autre histoire, encore, de tonsure, de révélations, de cellule, d’élévation.

Peut-être.

Brassées de petites joies tressées de petits riens. Nous voilà un jour plus loin.


le samedi 2 mars par Francis Traunig


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When it hurts

When it hurts, don’t be afraid to say ouch!

Mary Buchan


le samedi 2 mars par Joyce Zurub


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Try to keep your soul young

Try to keep your soul young and quivering right up to old age, and to imagine right up to the brink of death that life is only beginning. I think that is the only way to keep adding to one’s talent, to one’s affections, and one’s inner happiness.

George Sand


le vendredi 1 mars par Joyce Zurub


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