j’écoculpabilise.
Que de plastique utilisé pour emballer tous ces poissons arrachés aux mers bientôt stériles.
Poissons livrés par avion, par camion.
Préparés par un salarié sous payé.
Je plaide coupable, je dirais même, j’écoculpabilise.
Voir l'image /
I’m fixing a hole
« I’m fixing a hole where the rain gets in / And stops my mind from wandering / Where it will go » – John Lennon / Paul McCartney
Voir l'image /
Don’t judge each day by the harvest you reap
Don’t judge each day by the harvest you reap but by the seeds that you plant.
Robert Louis Stevenson
Voir l'image /
je t’embarque au ciné !
Sais pas ce qu’ils sont allés voir, nous, on a vu Ceux qui travaillent, de Antoine Russbach avec Olivier Gourmet et c’était pas mal.
Voir l'image /
Walking blues
« Woke this mornin’ feelin’ round for my shoes / But you know by that, I got these old walkin’ blues » – Robert Johnson
Voir l'image /
que relie pourtant la Vie.
Rencontre entre deux femmes de tête qui ont des préoccupations très éloignées l’une de l’autre – que relie pourtant la Vie.
Voir l'image /
Speak to meat eaters
Speak to meat eaters the way you would speak to a wild animal: softly and without any sudden movements.
Voir l'image /
secret
Jacques Kaufmann pour qui la brique n’a plus de secret.
Mur -murs – Au Palais de l’Ariana.
Voir l'image /
Kick him in the balls
Kick him in the balls before he kicks you in yours.
Eugene B. Sledge
Voir l'image /
And I find chopsticks frankly distressing
« And I find chopsticks frankly distressing. Am I alone in thinking it odd that a people ingenious enough to invent paper, gunpowder, kites and any number of other useful objects, and who have a noble history extending back 3,000 years haven’t yet worked out that a pair of knitting needles is no way to capture food? » – Bill Bryson
Voir l'image /
There’s something about arriving in new cities
There’s something about arriving in new cities, wandering empty streets with no destination. I will never lose the love for the arriving, but I’m born to leave.
Charlotte Eriksson
Voir l'image /
Sometimes, we are like that sneeze
« Sometimes, we are like that sneeze who abandons those who need us the most » – Nitya Prakash
Voir l'image /
I’m sexy and I know it
Girl look at that body
I work out
When I walk in the spot, this is what I see
Everybody stops and they staring at me
I got passion in my pants
And I ain’t afraid to show it (show it, show it, show it)
I’m sexy and I know it
I’m sexy and I know it
When I’m at the mall, security just can’t fight ’em off
When I’m at the beach, I’m in a speedo trying to tan my cheeks
This is how I roll, come on ladies it’s time to go
We headed to the bar, baby don’t be nervous
No shoes, no shirt, and I still get serviced
Girl look at that body
Song by LMFAO
Voir l'image /
Your choice
« Your choice between sunrise or sunset depends on your attitude » – Ibn Jeem
Voir l'image /
The Centaurides
The Centaurides or centauresses are female centaurs.
The father of the race of centaurs was Centaurus, himself the offspring of Ixion who had made love to Hera, or more precisely, a cloud made by a jealous Zeus to resemble Hera. The centaurs were believed to live in the forests of Thessaly, beyond the laws of man.
Wikipedia
Voir l'image /
il pleut (à Jussieu)
rime facile, mais pour la pluie, plus difficile : il y a si longtemps qu’on ne l’avait pas vue, même à Paris
Voir l'image /
I just wanted to hold you in my arms
You set my soul alight
I want to satisfy the undisclosed desires in your heart
(87ème concert de Muse)
Voir l'image /
Sous-marin suisse
Musée d’Onsernone à Loco : sous-marin fabriqué par les contrebandiers suisses et saisi en novembre 1948 par les garde-côtes italiens dans le lac de Lugano. Il servait au transport de centaines de kilos de cigarettes
Voir l'image /
There is nothing more beautiful
There is nothing more beautiful than someone who goes out of their way to make life beautiful for others.
Mandy Hale
Voir l'image /
les suivants
Chère Greta,
Je n’aurais jamais imaginé vous écrire une lettre un jour. Vous et moi appartenons à des mondes si différents. Vous êtes une jeune fille du 21e siècle, je suis un homme du 20e. Vous êtes remplie de l’espoir de ceux qui pensent qu’ils peuvent changer le monde, je suis le spectateur mélancolique et velléitaire de sa déréliction.
Ce n’est pas que je n’aie jamais voulu m’engager moi-même. Au contraire, je l’ai fait à plusieurs reprises – et je compte bien le faire encore. Mais c’est que mon engagement à moi était un engagement sans effet. C’était celui d’un homme qui a sans doute passé trop de temps à lire, et qui imaginait qu’un combat, quel qu’il soit, a quelque chose de romantique – d’irrésistiblement érotique, même.
Je dois bien l’avouer, chère Greta : mes combats étaient des combats de rêveur, de bourgeois qui s’imaginait qu’il pourrait faire la révolution depuis son salon ou une terrasse de café. Le vôtre, par contraste, ne doit rien au livre ou au rêve. Il est un combat brutal et beau, avec des forces infiniment supérieures en nombre et en pouvoir – des forces qui vous ont vue entrer en scène en ricanant, puis en tentant aussitôt de vous oublier. Ce n’est que lorsque vous êtes revenue, puis revenue encore, jusqu’à occuper la totalité de l’espace qu’ils considéraient leur appartenir en propre, celui des médias, qu’ils se sont inquiétés.
Ils ne vous ont jamais prise au sérieux, pas plus que les dizaines, les centaines de milliers de camarades qui vous ont rejoint tout autour de la planète. Mais tant que vous demeuriez une curiosité, ils pouvaient vous considérer comme telle, avec tout le paternalisme répugnant de ceux qui se sentent au-dessus de tout. Puis, à un moment donné, ils se sont rendu compte de l’avance que vous aviez prise sur eux – de tout ce que vous représentiez, et qu’ils vomissent : le courage, la probité, l’intensité, la joie. Alors, ils ont commencé à libérer leur haine.
Ils vous ont accablée d’insultes, chère Greta. Ils ont raillé votre physique, votre condition mentale. Ils ont moqué votre savoir, dont, soudain, ils faisaient semblant de prétendre qu’il ne recouvrait qu’une partie du problème. En somme, ils ont fait ce qu’ils font toujours : tenter de vous faire passer pour une demi-débile, une naïve en peu demeurée, un attrape-nigaud pour adolescents aux hormones en pagaille. C’était laid. C’était moche. C’était bête. Et, surtout, c’était méchant.
Vous avez pris un bateau à voile qu’on vous prêtait plutôt que l’avion afin de vous rendre aux Etats-Unis pour défendre la cause qui est la vôtre, parce que telle était votre conviction – et même cela vous a valu les railleries et les insultes des malins, des instruits, de ceux qui savent mieux. Vous ne semblez pas en avoir été trop affectée. Tant mieux.
Sachez-le, chère Greta, le spectacle de votre droiture, de votre indifférence, me fait un immense bien.
C’est un spectacle qui, pour une fois, ne réclame aucun commentaire, aucune critique – ni, non plus, aucune adhésion ou aucune foi. Vous n’êtes pas une sainte, une martyre ou une héroïne. Vous ne nous sauverez pas – et, du reste, telle n’est pas votre prétention. Nous ne nous sauverons que nous-mêmes, si nous nous décidons, de la même manière que vous ne réclamez d’être fidèle qu’à vos choix, qu’à votre désir.
Non, chère Greta, le spectacle de votre indifférence signifie autre chose. C’est un spectacle qui veut dire : il y a quelque chose de possible, ici, maintenant, en dehors des salons et des terrasses de café. En dehors aussi des parlements et des officines de presse. Il y a quelque chose de possible, pour autant que nous apprenions à réagir aux discours et aux menaces de ceux qui sont au pouvoir avec la même indifférence que celle que vous manifestez à leur égard. Ceux qui menacent parce qu’ils ont le pouvoir sont sans importance, car, ce pouvoir, ils peuvent le perdre. D’ailleurs, ils l’ont déjà perdu – et ils le savent.
Très cordialement à vous,
Laurent de Sutter
https://www.rtbf.be/lapremiere/article/detail_laurent-de-sutter-chere-greta-thunberg-il-y-a-quelque-chose-de-possible?id=10320375
Voir l'image /
We all know Hide and Seek
« After all, we all know Hide and Seek can be a scary game, especially when we don’t want to be found » – Callie Hunter
Voir l'image /
A life vest
A life vest is located in a pouch under your seat or between the armrests. When instructed to do so, open the plastic pouch and remove the vest. Slip it over your head. Pass the straps around your waist and adjust at the front. To inflate the vest, pull firmly on the red cord, only when leaving the aircraft. If you need to refill the vest, blow into the mouthpieces. Use the whistle and light to attract attention.
Voir l'image /
We experience ourselves our thoughts
« We experience ourselves our thoughts and feelings as something separate from the rest » – Albert Einstein
Voir l'image /
27 %
Ils ont réussi à séduire 27 % de l’électorat suisse. En étant anti-européens, ils ne pourront hélas jamais espérer briller à l’Eurovision.
Pathétique à faire gerber, l’indigestion de petits-suisses.
Voir l'image /
test…
Tiens, ça commence à en faire beaucoup de ces » test test ».
Prochaine, je viendrai accompagné, pour changer de tête.
Voir l'image /
Some people have compassion
Some people have compassion for even strangers, but not for their own bodies.
Voir l'image /
The Music breathing from her face
« The light of love, the purity of grace,
The mind, the Music breathing from her face,
The heart whose softness harmonised the whole —
And, oh! that eye was in itself a Soul » – George Gordon Byron
Model: @kaotica1
Voir l'image /
Maybe God created the desert
Maybe God created the desert so that man could appreciate the date trees.
Paulo Coelho
Voir l'image /
I flipped him a gesture
« I flipped him a gesture that he wouldn’t need sign language to understand » – Rick Riordan
Voir l'image /
Have a smile for breakfast
Have a smile for breakfast, you’ll be shitting joy by lunch.
Voir l'image /
Relax, Recharge and Reflect
« Relax, Recharge and Reflect. Sometimes it’s OK to do nothing » – Izey Victoria Odiase
Voir l'image /
Alors, l’ouvrir. 24 heures sur 24, online.
Elle me regarde sans me voir, se sachant vue, aussi plate qu’un piège à phéromones sur lequel les macros des passions tristes l’ont couchée. Soldes et rabais au bordel de l’appareil ménager où le client de cette prostitution tarifée se fait vider la bourse une fois introduit le code pin.
Pour un presse-citron électrique.
Je n’invente rien. Pourquoi cette gonzesse alors, et pas un mec, moi par exemple, à coller l’œil contre l’œilleton de ce fake appareil de prise de vue – string de cet obscène racolage.
Resterait l’indifférence.
Mais l’indifférence c’est l’antichambre du crématorium.
Alors, l’ouvrir. 24 heures sur 24, online.
Voir l'image /
Some people’s heads are like their hats
Some people’s heads are like their hats; it appears that just like hanging their hats they hang their heads somewhere and walk without them!
Mehmet Murat ildan
Voir l'image /
Is life not a thousand times too short?
« Is life not a thousand times too short for us to bore ourselves? » – Friedrich Nietzsche
Voir l'image /
Two mysterious people live in my house
Two mysterious people live in my house. « Somebody » and « Nobody. » Somebody did it and nobody knows who.
Unknown author
Voir l'image /
Last winter, next winter
« What good is the warmth of summer, without the cold of winter to give it sweetness » – John Steinbeck
Voir l'image /
Do you know what you get when you try to escape?
Do you know what you get when you try to escape? When you drive for miles in a deserted city or swim for hours in a shoreless sea? You get yourself.
Voir l'image /
Eden
…et ils apparurent, flamboyants, poilus, élégants, rieurs, libres :
Vous faites quoi dans la vie ? Je suis écrivain, j’écris des essais. Ah bon, et madame c’est votre muse ? Pas du tout, une muse c’est passif, ça se laisse regarder… Et vous Madame ? J’ai été séduite par son intelligence, par ses livres, c’est comme ça que je suis arrivée à lui. Et votre magnifique lévrier ? Elle s’appelle Eden. C’est des chiens féroces qui mangent des lapins ? Pas elle, elle est Vegan, comme nous, regardez comme elle se porte bien.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pac%C3%B4me_Thiellement
Voir l'image /
Reydet , au courrier
Je reçois le magnifique opuscule de Pascal Reydet. Il y parle du Livre de l’Intranquillité…
Ce muscle cérébral qu ‘on appelle mémoire me force à chercher dans ma bibliothèque ce vagabondage textuel à travers l ‘oeuvre de Fernando Pessoa…À la première page j’y lis ceci : » La littérature, comme toute forme d ‘art, est l’aveu que la vie ne suffit pas . »
La photographie, donc…
Pascal, cet honnête homme au sens du XVII ième siècle.Argentique et sombre. À l ‘humour subtil…
Pascal, si tu me lis : on se fait une choucroute, bientôt ? Tu sais où…
Clin d ‘oeil.
Voir l'image /
The voice of the sea
The voice of the sea is seductive; never ceasing, whispering, clamoring, murmuring, inviting the soul to wander for a spell in abysses of solitude; to lose itself in mazes of inward contemplation. The voice of the sea speaks to the soul. The touch of the sea is sensuous, enfolding the body in its soft, close embrace.
Kate Chopin
Voir l'image /
The trouble is not that I am single
« The trouble is not that I am single and likely to stay single, but that I am lonely and likely to stay lonely » – Charlotte Brontë
Voir l'image /
13/09/2019
quelques trains ce matin, zéro métro où je me trouvais. Grève généralisée de la RATP contre la réforme des retraites du gouvernement Philippe.
Voir l'image /
the big red
El antiguamente conocido como el Volcán del Yuhualixqui o para algunos otros autores reconocido como Yehualichan, sin mas ni mas el antes volcán hoy se ve y conoce como una simple montaña que lleva el apellido de aquel que pudo pagarle, « Alvarado »
Voir l'image /
Leica Q
L’ami : Je vais vendre mon Leica Q
Moi : Pour le remplacer par quoi ?
Lui : Par ça !
…et sort de sa poche cette chose qui sert à parler avec d’autres, à distance, et me montre sur l’écran de la chose qui sert à parler à distance une série d’images à couper le souffle, et je mesure les siècles qui me séparent du téléphone en bakélite.
Voir l'image /
There’s man all over for you
There’s man all over for you, blaming on his boots the fault of his feet.
Voir l'image /
I feel sorry for people who don’t drink
« I feel sorry for people who don’t drink. When they wake up in the morning that’s as good as they’re going to feel all day » – Frank Sinatra
Voir l'image /
Rudy chez Harry
Où l ‘on voit l ‘ami Rudy, niçois, découvrir sur l ‘horizon de cette orageuse image, prise à Nice, un bateau qui pour beaucoup passe inaperçu…
Voir l'image /
Finally the fourth ape!
Finally the fourth ape!
He is the sum of the first three: He sees nobody, hears nobody and speaks to nobody.
Voir l'image /
Costume noir, cravate noire, chemise blanche.
J’ai travaillé comme greffier au tribunal toute ma vie. J’ai 89 ans. Mon père m’a emmené chez le tailleur quand j’avais 14 ans. Il m’a acheté un costume noir, une cravate noire et une chemise blanche. Depuis, j’ai toujours aimé m’habiller…
Voir l'image /
To come to nothing through something
« To come to nothing through something is the way to outside from both sides » – Dejan Stojanovic
Voir l'image /
Blooming and withering
Blooming and withering both are inevitable. Let’s stay graceful in the process.
Nitya Prakash
Voir l'image /
11/09/2019
J’ai appris la mort de Robert Frank, à 94 ans. Un très bel hommage dans le journal Libération daté de ce jour.
Voir l'image /
(en dehors de toute référence de temps et d’espace)
…et si dans chaque semence de la courge nichait un inframonde d’univers contenant des milliards de galaxies, dont la nôtre, la voie lactée (en dehors de toute référence de temps et d’espace), inframonde qu’un marmiton s’apprêterait à faire voler en éclat pour en faire de la soupe.
Voir l'image /
Buster Keaton à l’ilôt 13
https://www.preenbulle.ch/40/CINEMOBILE
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Mécano_de_la_«_General_»
Voir l'image /
I travel not to go anywhere
« I travel not to go anywhere, but to go. I travel for travel’s sake. The great affair is to move » – Robert Louis Stevenson
Voir l'image /
09/09/2019
Pentax K3 poussé à l’iso 4000, ce qui est ambitieux pour un modeste apsc de 2013. Traduction, pour les non-initiés : le réglage de l’exposition n’était pas le plus adapté, avec un temps de pose au 1/160e en mode TAV. Voilà ce qui arrive le matin quand on a la moitié de la tête encore dans le creux du polochon : on n’est pas très attentif à tout.
Voir l'image /
sans doute.
Le flash intégré manquant sur mon GRIII eut été le bienvenu pour figer l’extraordinaire énergie de Nala.
Sa grand-mère, d’après le fier et sympathique maître du Boxer, a été championne du monde.
Une grand-mère félin, sans doute.
Voir l'image /
Feu Câline
Pendant 18 ans, elle nous a réveillés à 6h. Elle a miaulé, ou plutôt grincé, pour du jambon ou qu’importe d’autre à manger. Elle nous a griffés, mordus, feulés. Mais son mauvais caractère va nous manquer.
Voir l'image /
The average daydream
« The average daydream is about fourteen seconds long and we have about two thousand of them per day » – Jonathan Gottschall
Voir l'image /
Sometimes all you need in your life is
Sometimes all you need in your life is anything strange because strange things can revive your soul just like a cold water freshening your pale face with every splash!
Mehmet Murat ildan
Voir l'image /
Love is that condition
« Love is that condition in which the happiness of another person is essential to your own » – Robert A. Heinlein
Voir l'image /
Oh, I don’t mean you’re handsome
Oh, I don’t mean you’re handsome, not the way people think of handsome. Your face seems kind. But your eyes – they’re beautiful. They’re wild, crazy, like some animal peering out of a forest on fire.
Charles Bukowski
Voir l'image /
harpe
Sublissime spectacle de Yoann Bourgeois au Forum Meyrin.
Minuit. Avec Laure Brisa à la harpe.
Voir l'image /
B-52’s
J’ai entendu Planet claire assez fort, en passant, ça émanait du garage ici présent. Ce monsieur m’a plu, immédiatement : photo.
Voir l'image /
I’m lonely
« I’m lonely. And I’m lonely in some horribly deep way and for a flash of an instant, I can see just how lonely, and how deep this feeling runs » – Augusten Burroughs
Voir l'image /
Don’t test my patience …
Don’t test my patience …… A crack will definitely break your bones.
Rishika Pareek
Voir l'image /
El dragón de tierra.
Los dragones no son solo de oriente, aqui en México, Iztapalapa tambien los hay , una especie en peligro de extinción.
Voir l'image /
Nothing helps a bad mood
« Nothing helps a bad mood like spreading it around » – Bill Watterson
Voir l'image /
And then it happens all at once
And then it happens all at once and unexpectedly. That is how things happen, I suppose. You pack your bags and find yourself walking yourself home.
Shannon L. Alder
Voir l'image /
Enfin
Nach unzähligen Arbeitsstunden halten wir unsere Publikation zur fotografischen Arbeit « Nostalgie » in den Händen.
Voir l'image /
Visa pour l’image
Pas très content de mes prises du jour, et comme j’ai encore le temps aujourd’hui je retourne faire un tour à la gare de Lyon, rapido. Improvisation totale, je ne savais pas bien où aller. Sur le parvis de la gare je tombe nez à nez avec une expo de Visa, le festival international du photojournalisme, qui a lieu à Perpignan en ce moment et où, entre autres grands talents, expose l’ami Cyril Abad. Surprise ! Ce sont les gens assis, de dos. Cette image fait partie d’une série originale, que voilà : https://www.visapourlimage.com/festival/expositions/in-god-we-trust
Voir l'image /
Scratch your flesh
Scratch your flesh raw between your toes, but you won’t find the answer.
Franz Kafka
Voir l'image /
You could have the world in the palm of your hand
You could have the world in the palm of your hand.
Mac Miller
Voir l'image /
adhérer
Cette dame, avec plus de sacs qu’elle ne peut en porter, dans ce lieu lisse où rien ne peut adhérer, semble épuisée par le poids de sa vie.
Voir l'image /
Le fantôme
Parfois, quand je rentre du travail, le fantôme s’assoit dans l’escalier et joue une mélodie lamentable à l’accordéon.
Et comme tout le monde se précipite vers la sortie, la musique se mêle au bruit des chaussures sur les marches et se dissout dans l’écho du passage souterrain.
Voir l'image /
qui va bosser…
La limace prend son pied d’être à la fois mâle et femelle – et évacue du coup le problème de l’écriture inclusive, de l’égalité sociale et de qui garde les mômes et qui va bosser…
Voir l'image /
To excavate is to open a book
To excavate is to open a book written in the language that the centuries have spoken into the earth.
Spyridon Marinatos
Voir l'image /
A time for taking yourself seriously
« There’s a time for taking yourself seriously, it’s just usually never the right time » – Richie Norton
Voir l'image /
Lila.
En los pastos al interior de la amada UACM (Universidad Autónoma de la Ciudad de México)
Voir l'image /
on peut
L’architecte : un artiste qui produit de la pensée dans laquelle on peut circuler, vivre, s’installer.
Voir l'image /
And, in fact, this is the tale that I would love to write
And, in fact, this is the tale that I would love to write: history is such a romantic place, with its jarveys and urchins and side-buttoned boots. If it would just stay still, I think, and settle down. If it would just stop sliding around in my head.
Voir l'image /
It’s a good idea always
It’s a good idea always to do something relaxing prior to making an important decision in your life.
Paulo Coelho
Voir l'image /