Un mois de légendes /

Petit Gland

Cascade du petit Gland, pas loin de cul faux, si si c’est vrai.


le samedi 31 juillet par Nicolas Spuhler


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31/07/2021

She is?


le samedi 31 juillet par Rodrigo Alonso


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Prendre ou être ?

Je prends trop de photos pour être photographiée


le vendredi 30 juillet par Michel Bruno


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30/07/2021

Isabel & Dominic.


le vendredi 30 juillet par Rodrigo Alonso


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29/07/2021

Red


le jeudi 29 juillet par Rodrigo Alonso


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28/07/2021

Diana By Chalco (Los Héroes Cupido)


le mercredi 28 juillet par Rodrigo Alonso


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des

Rétrospective des pénétrants portraits de Pieter Hugo à Arles.


le mardi 27 juillet par Francis Traunig


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27/07/2021

Adrileen


le mardi 27 juillet par Rodrigo Alonso


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26/07/2021

Obra plástica del Muralista Armando , apoyado por la compañera Yazmín .


le lundi 26 juillet par Rodrigo Alonso


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Je me souviens…

Je me souviens d’avoir vu Key Largo ( John Huston, 1948 ) à L ‘ Action Christine, à Paris, en 71.J’y découvrais avec enthousiasme ce couple mythique, à la ville comme à l’écran : Lauren Bacall-Humphrey Bogart.Le nom, Key Largo, prit immédiatement place dans  le panthéon personnel de mes rêveries, aux côtés de Samarcande et Maracaïbo, découverts dans des lectures et récits de voyages.Puis un jour, au début des années 80 , je m ‘arrêtai à Key Largo et n ‘y découvrai, déçu,  qu ‘une succession de boutiques et d ‘écoles pour plongeurs et surfeurs .Heureusement il y avait la route des Keys, qui saute d’îlot en îlot, avec d ‘un côté l ‘océan et de l ‘autre le golfe du Mexique qui n ‘ont pas le même bleu et, tout au bout, à Key West, presque à frôler Cuba, la maison d’ Hemingway peuplée des nombreux descendants des chats du vieil Ernest. Hemingway, justement : Bacall et Bogart s ‘étaient rencontrés sur le tournage du Port de l ‘angoisse, tiré d’un de ses textes.Le film est d ‘ Howard Hawks et l ‘on y sent, comme une évidence, la relation puissante qui liait ces deux-là.Et puis il y a Bacall, à la voix rauque, travaillée à la cigarette, qui prononce la plus belle phrase de l ‘histoire du cinéma :  » If you need me, just whistle … »J ‘ai longtemps rêvé, en vain, d ‘entendre cette phrase  et je l ‘ai même prononcée, sans succès : n ‘est pas Bacall qui veut.

Tout cela ne me rajeunit pas.Et sur cette image, qui n ‘a de valeur que d’avoir activé ce muscle cérébral, la mémoire, The Look et Bogey ont subi eux aussi les injures du temps…

Fuck, man !

à qui de droit…


le lundi 26 juillet par Gérard Dubois


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David

Je le réveille en ouvrant les volets. Il râle et se rendort illico…


le samedi 24 juillet par Gérard Dubois


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Boules de Berlin

Votre accent, vous êtes Suiiiiisse ?

Balance rigolard un homme cheveux en batailles avec un panneau PAIX autour du cou. Il me dit faire partie d’un groupe d’opposants à la dictature sanitaire en faction jours et nuits en périphérie d’un immense rond-point à l’entrée de Nantes.

C’est ça, et vous c’est comment ?

J’m’appelle Pierre… la Suisse… vous votez encore en levant la main… vous avez le référendum, la Suisse… une vraie démocratie.

J’apprends que Pierre s’intéresse à l’Histoire, qu’il est gilet-jaune, et déclare avec ferveur s’engager  pour la Liberté, la Paix, la Démocratie.

On vote pas main levée partout, et puis chez nous une fois qu’une décision est prise, même si elle nous plaît pas, même si c’est pas notre avis, on doit la respecter…et ça c’est parfois compliqué à accepter.

Modère Sophie pendant que je demande la permission de photographier. Pierre alors dit avoir quelque chose pour nous, se fraye un passage sous la tente  de la permanence, revient  avec des Boules de Berlin qu’il nous offre tout sourire.

Je vais demander à tous de venir pour faire un portrait du groupe !

Mais le groupe regimbe, discussions agitées sur la préparation de la manifestation à venir.

Pierre et un jeune militant sont alors d’accord de poser. Coups de klaxons de soutien du rond-point (genre on a gagné un match) lorsqu’un type par la fenêtre ouverte de sa voiture crie :

Soyez responsables, soyez responsables, vaccinez-vous !

Collabo… abruti…. connard !!!

Hurle Pierre à la voiture qui disparaît.

Nous nous retrouvons avec nos Boules de Berlin et un grand désarroi devant ce saisissant changement d’humeur, pareil d’ailleurs aux humeurs de la météo Bretonne.

 

 

 


le samedi 24 juillet par Francis Traunig


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le king

Jardin Zen à Carnac et petit hommage à NF, le king de la pierre erratique.


le vendredi 23 juillet par Francis Traunig


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Un poète

L’ami Benoît passe à la maison; il a besoin d’une photo d’un de ses tableaux qui doit figurer dans le catalogue d’une prochaine expo.Nous trouvons la bonne lumière. Puis ensuite le traitement colorimétrique qui ne trahisse point sa subtile palette.

J’y gagne en échange un délicieux petit format qui trônera à ma tête de lit…


le vendredi 23 juillet par Gérard Dubois


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Octo bis

Toujours dans sa faille l’octopus .


le jeudi 22 juillet par Nicolas Spuhler


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Comment va Jean-Pierre

Au cœur de la mystérieuse forêt du Huelgoat, devant la grotte d’Artus, un couple de motards installe avec application un ourson en peluche sur un bloc de granit. Puis le photographient. J’apprends qu’il s’appelle Jean-Pierre et qu’à chaque halte ils le font poser. Je propose de prolonger ce rituel contemporain devant une majestueuse pierre à cupules qui elle, depuis le temps,  a dû en voir de toutes les couleurs. Nous les croiserons tous les trois, quelques heures plus tard, au village, sur une terrasse de bistrot.

-Comment va Jean-Pierre ?

-Super… on l’a photographié avec le menu.


le jeudi 22 juillet par Francis Traunig


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22/07/2021

En Calle 21 y esquina  calle 4 , en la colonia José López Portillo, Alcaldía Iztapalapa. CDMX.


le jeudi 22 juillet par Rodrigo Alonso


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octo

octopus dans les rochers


le mercredi 21 juillet par Nicolas Spuhler


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un poil

Toujours un poil flippant le cocktail uniforme, bannières, chants virils et marche au pas.


le mardi 20 juillet par Francis Traunig


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Trop…

Trop dur, l’été…


le mardi 20 juillet par Gérard Dubois


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ASCC

Ascc, heu, association socio catalane de Cerbère, pétanque c’est caché ou?

Ah: association sportive et des cheminots de Cerbère!


le lundi 19 juillet par Nicolas Spuhler


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stations d’essence

A Rouen, (où La Pucelle d’Orléans, vendue par les Bourguignons  aux Anglais, a fini sur le bûcher)*, nous retrouvons notre ami sculpteur rencontré deux jours auparavant dans la zone piétonne d’Amiens où avec un doigté éblouissant il sculpta dans le sable une chienne au repos.

-Vous venez d’où ?

-Sa…le…de lage.

-Vous êtes Roumain ?

-Romania !

La délicatesse avec laquelle l’homme s’affairait sur le museau de l’’animal lui valut une pluie d’euros et autant de compliments. Le lendemain, 9 heures du matin, même endroit, même chien, même pose, mais cette fois-ci achevé par l’outil d’un artiste différent.

Mais voilà que pour fêter nos retrouvailles à Rouen, tout près du bûcher, l’artiste me reconnaissant me tourna définitivement le dos.

*nous touristes, avons remarqués qu’en France,  l’église, le Christ et les monuments aux Morts semblent plus nombreux que les  stations d’essence.


le lundi 19 juillet par Francis Traunig


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Work in progress

www.gerard-dubois.com

 » J’avais envie d’aller me perdre dans Marseille. Dans ses odeurs. Dans les yeux de ses femmes. Je savais que j’y avais toujours rendez-vous avec le bonheur fugace des exilés… »/ Vivre fatigue/Jean-Claude Izzo.


le lundi 19 juillet par Gérard Dubois


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19/07/2021

La banda sobre ruedas.


le lundi 19 juillet par Rodrigo Alonso


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un boulanger enfreint la consigne

Dans le musée des Beaux Arts d’Amiens, nous découvrons une histoire carabinée  :

Loefric, gouverneur de Coventry, soumet la cité à de lourds impôts. Lady Godiva, sa femme, obtient leur report de son époux à la condition qu’elle chevauche nue dans les rues. Elle y consent et Loefric, pris à son propre piège, ordonne qu’au jour de l’épreuve tous les habitants s’enferment, sous peine de mort. Seul un boulanger enfreint la consigne.

Tableau de Jules Lefebvre – 1890


le dimanche 18 juillet par Francis Traunig


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Amiens

Dans le formidable Musée des Beaux Arts d’Amiens… qui ne sent pas la poussière et la vieille dentelle.


le samedi 17 juillet par Francis Traunig


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Vue

depuis la chambre


le samedi 17 juillet par Nicolas Spuhler


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possible

Le temps béni du tout est possible.


le vendredi 16 juillet par Francis Traunig


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16/07/2021

Mi sobrino y sus múltiples personalidades…


le vendredi 16 juillet par Rodrigo Alonso


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#novax

Spéciale dédicace à Pierre Montant


le mercredi 14 juillet par Pascal Kempenar


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routes

tiens faut que je lise ce livre, routes et déroutes.

Nicolas Bouvier, les plus beaux titres de livres (l’usage du monde, routes et déroutes…)

https://www.editionsmetropolis.com/livre/routes-et-deroutes/


le lundi 12 juillet par Nicolas Spuhler


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« mmm les bons légumes! »

« plutôt mourir »


le dimanche 11 juillet par Pierre Montant


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Bientôt, il tombera à genoux

Pendant les tirs au but, il est resté comme ça, complètement tétanisé. N’a pas bougé un cil, même quand l’Italie marquait ou l’Angleterre ratait sa cible. Au goal libérateur, il est tombé à genoux.


le dimanche 11 juillet par Michel Bruno


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Brice Le Gall

à la fermeture de son expo « Justice et respect, le soulèvement des gilets jaunes », espace Louise Michel, Paris 20e.

https://www.bricelegall.com/


le samedi 10 juillet par Pierre Montant


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10/07/2021

En Belgique la saison des pluies dure six mois et le reste du temps il pleut !

J.B.


le samedi 10 juillet par Francis Traunig


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est purement fortuite

Toute ressemblance avec un zigue nommé M.B. économiste, prof à l’uni, est purement fortuite. Lui s’appelle M.G. et pratique la photo en samouraï et la petite reine en courtisan.


le vendredi 9 juillet par Francis Traunig


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Arti

Arti choc.


le jeudi 8 juillet par Francis Traunig


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#noname 817

Superbe expo « Back to Black » de MYOP


le mercredi 7 juillet par Pascal Kempenar


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Mardi

camp photo sous la pluie.


le mardi 6 juillet par Nicolas Spuhler


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il

…il pleut.


le mardi 6 juillet par Francis Traunig


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Peut-être

…si ça ne tenait qu’à moi.

Mais après ne me souviens plus à quoi il tenait. Peut-être au parasol.


le lundi 5 juillet par Francis Traunig


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Quand…

Quand bruissent les cigales…


le lundi 5 juillet par Gérard Dubois


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Senza dubbio !

Incontestablement ! Unzweifelhaft ! Unquestionably ! Senza dubbio ! Indiscutiblemente !


le dimanche 4 juillet par Francis Traunig


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María

Borda y teje para continuar en este mundo.


le samedi 3 juillet par Rodrigo Alonso


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au coeur

Collision d’univers au cœur du monde des montagnes neuchâteloises.


le vendredi 2 juillet par Francis Traunig


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sécurité incendie

Au fond c’est une fresque qui dit : « Sauvons l’hôpital public ». C’est comme le climat, tâchons d’y croire encore. La lumière est belle sur ce mur d’immeuble et il y a un truc sur « la résistance lesbienne » au premier plan auquel je ne comprends rien, mais enfin ça me plait, il doit y avoir photo. J’en prends une, deux, puis trois. Mais voilà qu’apparaît soudain un type de la sécurité incendie, du bâtiment sur le côté, en uniforme, tout vêtu de noir et de rouge. Qui se met à m’invectiver. – Je vous ai vu ! Vous photographiez sans demander la permission ! Il faut demander la permission ! en criant. Mes yeux ébahis, et mon buste pivotent vers lui. Un bras m’en tombe, ma parole se libère (mon premier mot de la journée je crois) : – De quoi vous autorisez-vous donc pour me dire ce que je peux, ou ne peux pas photographier dans l’espace public ? Le thaumaturge reste sans voix, fronce un sourcil, lève un index, s’apprête sûrement à hausser le ton, et moi le mien éventuellement. Un homme bien mis, cadre A+ ou AA+, dans ces eaux-là, chaussé d’Oxford pointues en cuir clair, muni d’une petite serviette cuir, s’est tourné en direction de la scène, interloqué. Tenant un casque de vélo d’une main, sa serviette de l’autre, il prend à partie le pandore, contre toute attente, il faut le dire. Se met à lui expliquer que, non, il n’a pas à me dire ça, que, oui, dans l’espace public photographier est permis, sans avoir à demander la permission à quiconque. L’homme en rouge et noir se ravise, baisse d’un ton, le voilà s’en retournant dans l’encoignure du hall. Le cadre, que je remercie m’adresse la parole, il dit en hochant, dépité : « Sécurité incendie, non mais, déjà qu’il reste à sa place… » Les deux femmes vaquant sur l’image ont continué de vaquer.


le vendredi 2 juillet par Pierre Montant


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02/07/2021

La Saris


le vendredi 2 juillet par Rodrigo Alonso


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et bonne santé !

Une décision sans précédent. L’Etat a neuf mois pour prendre des mesures supplémentaires, afin d’atteindre l’objectif de baisse de 40% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030, ordonne le Conseil d’Etat, jeudi 1er juillet.

La plus haute juridiction administrative française, saisie par la commune de Grande-Synthe (Nord), a relevé que les trajectoires actuelles de la France ne lui permettent pas de respecter ses engagements dans le cadre de l’accord de Paris. Elle ordonne donc « au Premier ministre de prendre toutes mesures utiles permettant d’infléchir la courbe des émissions de gaz à effet de serre (…) afin d’assurer sa compatibilité avec les objectifs » de la France d’ici le 31 mars 2022.

L’ancien maire de la ville de Grande-Synthe, le député européen écologiste Damien Carême, avait saisi le Conseil d’Etat en janvier 2019 pour dénoncer l' »inaction climatique » de la France. La requête de Grande-Synthe auprès de la juridiction note que la commune littorale est « particulièrement exposée aux effets du changement climatique », notamment les risques d’inondations.

Le 19 novembre dernier, le Conseil d’Etat avait donné trois mois au gouvernement pour « justifier (…) que son refus de prendre des mesures complémentaires est compatible avec le respect de la trajectoire de réduction choisie pour atteindre les objectifs fixés pour 2030″.


le jeudi 1 juillet par Pierre Montant


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Quarantine day 10

Quarantine day 10/10 in Kingston

last day!


le jeudi 1 juillet par Anna Salzmann


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Nabot ?

-Nabot ? Drôle de nom pour un chien.

-Non, Nappo, comme Napoléon mais avec deux p….


le jeudi 1 juillet par Francis Traunig


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01/07/2021

Brésil, 1963.

© René Fuerst


le jeudi 1 juillet par Aurélien Fontanet


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