Un mois de légendes /

bouchon

Alexis termine avec panache ses trois ans d’apprentissage – en faisant péter le bouchon !


le jeudi 31 août par Francis Traunig


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Tradition.

Il existe une tradition, par moi établie.Tout nouvel hôte de la maison passe par la case portrait….

Joel. Suédois. Tadzio a grandi; il a pris des airs de Ryan Gosling.

Wälkomna till oss !


le jeudi 31 août par Gérard Dubois


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Chasse, pêche et tortues

Vu  2 tortues en tentant de  pêcher.


le mercredi 30 août par Nicolas Spuhler


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Glace ou cerveau en dessert?

Don’t be zombies


le mercredi 30 août par Justine Grespan


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Cent trente cinq…

135 jurons

135 euros, pour un stationnement gênant pendant 10 minutes…


le mercredi 30 août par Gérard Dubois


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uppj

Croisé un uppjiste, qui me rappelle le sens profond de cette abréviation: un pigeon par jour.


le mardi 29 août par Nicolas Spuhler


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Bétonville

« L’erreur est urbaine » pouvait-on lire un jour sur une paroi du métro


le lundi 28 août par Pierre Montant


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Starlettes du dimanche

« Eh, je pose bien! » dixit Malu


le dimanche 27 août par Justine Grespan


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Jusqu’à l’aube…

Lecture nocturne. Ce qu ‘on appelle un page turner…Une Lisbeth Salander qui serait Anglaise, spécialiste des oeuvres d ‘ art , fashion victim et femme ( très ) fatale. Et d ‘une moralité élastique. Premier tome d ‘une trilogie. Demain, j ‘achète la suite…


le dimanche 27 août par Gérard Dubois


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la palme

Beaucoup d’expatriés et de fonctionnaires internationaux vivent et travaillent à Genève. Après fromage, camembert, emmenthal, c’est finally cheese qui remporte la palme.


le vendredi 25 août par Francis Traunig


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Fibre optique.

Contrôle technique.Exploration des nerfs optiques et des maculae par  tomographie à cohérence optique ( OCT ).

RAS.


le jeudi 24 août par Gérard Dubois


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et

Talentueux, voyageur, sympathique et skateboardeur…


le mercredi 23 août par Francis Traunig


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le ravissement

Vous avez des gens que la simple vue d’un appareil photo met en joie. Ici ce passager du métro qui, me voyant passer sur le quai s’est mis à faire de grands gestes :  je l’ai photographié, bien sûr. Ça aura fait deux heureux, sur 1/160e de seconde environ


le mercredi 23 août par Pierre Montant


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Elnaz

Coffee and planning


le mercredi 23 août par Anna Salzmann


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On se rencontrera dans 2 mois

Manon est enceinte. Manon est la première des mes amies à être enceinte. Cela fait un choc. Certes, plus grand pour elle que pour moi. Mais tout de même, cela fait un choc.


le mardi 22 août par Justine Grespan


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Be.

Be young. For ever…


le mardi 22 août par Gérard Dubois


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800 bases et 177 pays

« Les États-Unis disposent du plus grand contingent militaire à l’étranger : près de 200 000 hommes répartis dans 800 bases et 177 pays à travers le monde. Plus que McDonald’s ! La plupart des emplacements sont issus de l’héritage de la Seconde Guerre mondiale. »


le lundi 21 août par Francis Traunig


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UPJ enquête

Profitant des échafaudages de l’immeuble où se situe mon bureau, le voleur s’invite.

Quelques babioles disparaissent ici et là: des stylos, des timbres postes, et … les billets de banque que l’on voit dans le tableau à gauche !

Des billets de 1 ou 100 dollars canadiens ? J’ai un doute. Cette photo sur UPJ prise en 2008 me permet de le lever.

Petite consolation pour ce lupin d’Arsène: retirés de la circulation en 1973, ces billets de 1 dollar canadien valent 1.2995 dollars aujourd’hui chez les collectionneurs…


le lundi 21 août par Michel Bruno


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expo Beaubourg

en allant voir David Hockney


le dimanche 20 août par Pierre Montant


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Trouvez le randonneur!

Col de Sanetsch


le dimanche 20 août par Justine Grespan


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Pêche

Finalement les pâtes aux écrevisses attendront un peu, on a relâché la bête et ses petites copines.


le dimanche 20 août par Nicolas Spuhler


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Mouche

Spirituellement on peut être comme une abeille qui vole de fleur en fleur. Ou comme une mouche parfois sur une rose, parfois sur une…


le dimanche 20 août par John Grinling


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J’ai vingt-sept chambres

Monsieur Akhihito utilise son caddy comme escabeau, un peu pour me rapprocher des nuages me confie-t-il, en gardant l’œil collé au viseur d’un Fuji XT1. Moi aussi, moi aussi, je suis Fuji que je lui lance, semi-exalté. Il descend de son piédestal, agile, intéressé. On se serre la main. Je vous ai déjà photographié trois fois, perché sur votre caddy, vous vous souvenez de moi ?

Et la conversation s’embraye, lubrifiée par la passion de la photographie. J’ai vingt-sept chambres, travaille au huit-dix inches. Linhof, Deardorff , etc… et possède  à peu près un demi-millier d’appareil photo en tout genre. Là dans mon chariot j’en ai six…

Moi deux dans mon sac, mais je ne le lui dit pas.

 


le samedi 19 août par Francis Traunig


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La nuit je mens

Alain Bashung, the one and only


le vendredi 18 août par Michel Bruno


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Six Mille Quatre Cents.

6400 ISO. Le poids d ‘une insomnie.

N’importe quoi !…


le vendredi 18 août par Gérard Dubois


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18/08/2017

Fin de semaine dure. La mort de Yann.

La vie du studio. Il est comme cette chemise, trop grand. Pour l’instant. Hier j’ai dansé , il était trop petit.

Demain, je repars 2 jours en vacances.


le vendredi 18 août par Nicolas Spuhler


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Run

J’étais à la recherche d’un point dégagé en hauteur pour réaliser au téléobjectif (matériel honni du street photographer) une vue sur la ville recouverte de nuage, faute de mieux, quand vint le coup de pot : une ado pressée. Clic. Merci l’ado ! En cette presque rentrée pluvieuse, on n’avait pas envie de se casser la nénette…


le vendredi 18 août par Pierre Montant


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The Offspring

Punk is not dead!

En tout cas, on a bien chanté à tue-tête.


le jeudi 17 août par Justine Grespan


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Illumination

Francis à l’événement qu’il décrit sombrement dans sa photo d’aujourd’hui


le jeudi 17 août par John Grinling


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L’arrivée du train en gare de Montélimar

Le passage plutôt : ce fut sans arrêt.


le jeudi 17 août par Pierre Montant


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Bachar el Assad

La lumière du soir enveloppe le Bateau Genève, lieu d’accueil, de soutien et de réinsertion socio-professionnelle pour les personnes en situation de précarité. Le bateau, à quai, peut être loué pour des soirées. Ce soir c’est MONADA AFTERWORK & ART SHOW qui convie un gratin de bobos à faire la bringue.


On a le plaisir de te convier à une soirée Monada créative avec un défilé d’oeuvres d’art.
Viens profiter du cadre enchanteur qu’offre le bateau de Genève sur le lac et sa belle rade.

DJ MASTERBASS & SPECIAL GUEST RODRIGUE SOULGROOVE FROM PARIS — ALL STYLE MUSIC
BURGERS & FINGER FOOD

Le défilé aura lieu vers 19h30 avec les artistes suivants:

Nicolas Righetti — nicolasrighetti.com
Gregoire Murith — gregoiremurith.com
Auriane Margueron — auriane-artiste-peintre.ch
Pietro Maffei — visual-lab.ch
Marianne Rubio — mariannerubio.com
Emila — instagram.com/emila_artemila

en collaboration avec artplace.co

Le fameux Dj Masterbass prendra les platines pour ton plus grand plaisir ensemble avec Dj Rodrigue Soulgroove special guest de Paris. L’entrée est gratuite. Viens tôt car la capacité est limitée. Pour information le bateau de Genève reste en permanance (….) à quai.

Le team Monada et les artistes se réjouissent de t’accueillir!

 

Mon pote Nicolas me convie à cet ART SHOW où le DRESSCODE se doit d’être ARTY & COLORFULL. ART SHOW pendant lequel RODDRIGUE SOULGROOVE de PARIS nous fera bouger les graisses, vibrer les implants mammaires et cliqueter les porte-clefs de nos Cayennes.  Qu’est-ce que je fous là, sinon honorer l’amitié d’un photographe qui aura décidé, ce soir-là, de faire défiler des photographies qui représentent l’image du dictateur Bachar El Assad – dit le bourreau. Photographies qui sont à vendre, comme le sont les peintures, collages et autres babioles proposées ce soir. Une professionnelle fait répéter aux mannequins hommes et femmes les gestes, les pas qu’ils devront faire sur le pont devant un public pour l’instant arrimé au bar. Un jeune homme de belle allure, sec et ténébreux, aborde Nicolas : « Je ne crois pas pouvoir défiler en tenant dans mes mains une photographie représentant Bachar. Tu sais je cherche un emploi, on ne sait jamais, et puis j’ai un ami Syrien, il ne verrait pas ces choses d’un bon œil… ».

Pendant ce temps, appliquée, une splendide donzelle traverse la salle et fait mine de tenir dans ses mains un tableau… qui sait, peut-être une photo.

Ps : Derrière le buisson ardent de mon cynisme point cette question : Jusqu’où aller pour se faire voir ? Ces jeunes gens transformés en lutrin, à leur dépend ou pas,  savent-ils qu’une image c’est aussi du sens ? Un photographe engagé peut-il bâillonner sa conscience juste pour que ses images soient vues par le plus grand nombre ?


le jeudi 17 août par Francis Traunig


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As many a ship sails in the wood

« The Man In The Wilderness »

The Man in the wilderness
He asked of me
How many strawberries grow in the salt sea?
And I answered him, as I thought good
As many a ship sails in the wood

The Man in the wilderness
He asked me, Why
His hare could swim and his pig could fly?
And I answered him, as I thought best
They were both born in a cuckoo’s nest

The Man in the wilderness
Asked me to tell
Tell all the sands in the sea and I counted them well
And with the grain, well, not one more
I answered him, you go make sure

Said with the grain, well, not one more
I answered him, you go make sure
I answered him, you…you go make sure

Anonyme

le mercredi 16 août par Francis Traunig


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Quote

Oh the dreaded unwritten rules of quoting photography.


le mercredi 16 août par Anna Salzmann


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Hippie… Whazza ?

Jeune ado, j’attendais mon tour pour sauter…

en longueur, au Lycée

Un grand gaillard attendait son tour, lui aussi

tout en longueur, ses cheveux

Je lui demandai s’il était hippie.

Très gentiment, il s’était tourné vers moi

Pour me dire que les cheveux longs, les fleurs, les foulards oui… mais l’essentiel était ailleurs.

Il allait me dire où quand on l’appela pour sauter.

Depuis je saute de quête en quête

A la recherche de l’essentiel


le mardi 15 août par Michel Bruno


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La Voie du Vernis…

…est impénétrable.


le mardi 15 août par Gérard Dubois


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Café éthiopien – mode d’emploi

Quand le café éthiopien est préparé selon les usages– certains parlent même de rituel – un certain nombre d’accessoires sont requis :

D’abord de l’herbe coupée que l’on répand sur le sol. En Éthiopie, on peut en acheter dans la rue près des églises. Ici, c’est un morceau de moquette verte posée sur le sol qu’Elizabeth conserve pour cet usage. En effet, le café est offert aux esprits aussi – les Zars en amharique – qui d’habitude vivent dans la nature. On répand donc de l’herbe coupée par terre dans la maison pour qu’ils se sentent ainsi chez eux

Un brasero au charbon de bois sert d’abord à rôtir le café vert dans une petite rôtissoire équipée d’un manche et percée de trous. Puis à faire bouillir l’eau et, enfin, pour alimenter en braise l’encensoir en poterie blanche qui se trouve à côté. On est prudent avec l’encens qu’on achète. On redoute les maléfices

L’objet central est la tablette où sont posées les tasses. Il possède un tiroir pour les ranger. Ce coffret est accompagné d’un petit tabouret pour celle qui prépare le café. L’allure de celle-ci est toujours décente et agréable, la tête couverte du voile qu’on met aussi à l’Eglise. On éloigne les enfants susceptibles de déranger. A propos du nombre de tasses, il en en faut une de plus que le nombre de personnes. C’est comme l’assiette du pauvre, mais elle est ici c’est pour les Zars, les esprits.

En versant le café dans les tasses, la maîtresse de maison n’évite pas les éclaboussures. On dit que les Zars inférieurs y boivent et profitent de se nourrir aussi des pop-corn que la maladresse des convives fait tomber sur le sol.

Cette fois, des pops corn, y’en a pas

La femme fait bouillir l’eau dans le « jabana », la cafetière en terre vernie de noir qu’on voit à l’arrière-plan placée sur un support en paille tressé. Il a son importance : il faut en effet que le café repose après avoir atteint le point d’ébullition.

Mais avant d’en venir là, l’hôtesse aura tout d’abord fait torréfier le café vert sur le brasero dans une petite rôtissoire pourvue d’un manche. Elle conviera les invités à humer l’arôme du café fraîchement rôti. Elle parcourra même les chambres de la maison avec la rôtissoire pour imprégner chaque pièce du fumet.

Elle pilera ensuite les graines de café brunies dans un petit mortier et versera la poudre dans la cafetière avant de la remettre brièvement sur le feu avant de reposer le jabana sur son support.

Elle aura entre-temps sorti quelques braises de la chaufferette pour les placer dans l’encensoir où elle déposera des graine d’encens. La fragrance de cette fumée, rapporte-t-on, plaît aussi aux esprits.

Ainsi, autant que pour faire goûter à ses hôtes la délicatesse de l’arôme du breuvage fortifiant, la cérémonie du café veut aussi plaire aux Zars invisibles qui nous entourent, les amadouer et s’assurer leur bienveillance.


le mardi 15 août par John Grinling


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Crocodile McLeod.

Mon ami Richard McLeod, prêt pour une rando autour de la presqu’île de Giens….


le lundi 14 août par Gérard Dubois


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Les enfants jouent à mini MIGROS

La Migros de Balexert, à Genève, est de loin le plus grand hypermarché Migros de la région romande. Dans le grand hall, un magasin en miniature permet aux enfants de jouer, trente minutes durant, à la Migros : réapprovisionnement des marchandises en toc, chariots pour enfants, caissières, toutes les rôles sont interprétés par les enfants

Cette mise en condition c’est comme le choix de sa banque : c’est pour la vie qu’on est Coop ou Migros


le lundi 14 août par John Grinling


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Un dimanche au cinéma.

QUE DIOS NOS PERDONE…

Un polar espagnol, bien noir.  ! Joder !


le dimanche 13 août par Gérard Dubois


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Raconte toi

Raconte toi une image accrochée au mur

Grand-Papa Léon , les cousines et moi en 65, sur le char de foin tiré par Gamine et Arlette  deux magnifiques chevaux de trait et amies des quatre cent virées de mon enfance, été comme hiver.  Ca sent bon les cerises bigarreaux que l’ont pouvaient attraper à chaque passage grâce au foin accumulé. Au retour  j’avais le droit de monter  sur un cheval… Léon jouait de l’accordéon, il jouait tout le temps et surtout pour ses vaches, il jouait sur sa calèche sur les chemin d’Ajoie, les chevaux connaissaient le parcours et les arrêts des bistrots… C’était l’été du petit maillot de bain au volant qui flottait sur l’eau azur de la piscine, je ne le quittait pas telle une petite fille avec sa robe de princesse.

En superposition aujourd’hui maman  84 ans,  raconte toi !


le samedi 12 août par Catherine Claude


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Les larmes de saint Laurent

Les Perséides ou « Larmes de saint Laurent » sont un essaim de météores (ou pluie d’étoiles filantes) visible dans l’atmosphère terrestre constitué de débris de la comète Swift-Tuttle et dont la taille est comprise entre celle d’un grain de sable et celle d’un petit pois. Bien que les premières traces d’observation datent de l’an 36, ce n’est qu’entre 1864 et 1866 qu’il est établi une relation entre les Perséides et la comète dont la pluie d’étoiles filantes est issue1. Ces météores sont observables lorsque les débris de Swift-Tuttle rencontrent l’atmosphère terrestre, soit à partir du environ jusqu’aux alentours du , avec un maximum habituellement situé entre le 11 et 2. La nuit la plus active de la pluie des Perséides est celle du 12 au de 2 à 5 heures du matin.

Sources : Wiki


le samedi 12 août par Francis Traunig


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DS, déesse…

 » Vénus, une belle et bonne dame, était la déesse de l ‘amour ; Junon, une terrible mégère, la déesse du mariage, et toujours elles furent ennemies mortelles. »  Jonathan Swift.


le samedi 12 août par Gérard Dubois


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Mes deux vieux potes.

Mes deux vieux potes.


le vendredi 11 août par Francis Traunig


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être déconcerté

se promener longtemps le long d’un chemin, ne croiser personne, n’entendre que le bruit du vent, on ne savait plus la chose possible par les temps qui courent. Un plaisir…


le vendredi 11 août par Pierre Montant


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Jean aux platines

Fierté de voir son frère aux platines de l’Usine


le vendredi 11 août par Justine Grespan


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Le 8 est l’infini

Ce sont des enchaînements illogiques qui signalent l’irruption de l’oubli. On projette quelque chose et en sommes incapables par l’effet de l’oubli.

Exemple: C’était aujourd’hui l’enterrement de Hugo, un copain de collège qui sur le tard avait repris un bistrot, « Le Café de la République » du côté de Conches. S’y retrouvaient les gens du voisinage et quelques-uns de ses nombreux amis.

Je me réjouissais des photos. Ça m’a pris dans l’Eglise, juste une vue du cercueil, discretos pendant l’homélie. Je cherche mon appareil photo… la fourre est vide. Je ne l’ai pas pris

Une image va me manquer. Lors de la mise en terre, le groupe se presse autour de la tombe sous quelques gouttes de pluie. La voix forte et claire du prêtre confie Hugo à la terre et son esprit à Dieu. Capter la poésie et la grisaille du moment et les parapluies ouverts ici et là.

Le corps revient à l’argile dont il est fait. Et rendre à Dieu ce qui rassemble, comme les retrouvailles Café de la République

Au lieu des précieuses photos qui disent le moment, l’oubli de mon appareil – resté sur le siège de l’auto, c’est un comble – me confronte à un trou


le vendredi 11 août par John Grinling


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l’exemple

chez Georges Blanc, à Bourg-en Bresse


le jeudi 10 août par Nicolas Spuhler


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communion

Pas eu le temps de photographier. Salle de bain, vite, viens, une image…

La Femme Sainte accepte. Dépose immédiatement l’ouvrage auquel elle est attelée,  est à la fois trépied, compatissante, au service de la Création, encourageante.

Il n’y a que ses cheveux qui se rebellent, font un doigt d’honneur devant l’objectif et floutent ce beau moment de communion.


le jeudi 10 août par Francis Traunig


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ça

A cœur ouvert, ça change la Vie.


le mercredi 9 août par Francis Traunig


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A perfect day

A beautiful day of skiing in the sun and never ending laughter with friends


le mercredi 9 août par Anna Salzmann


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Screen grab

So, I can’t seem to remember where this day went, and somehow I realised the following day that I had not taken a photo.
So I searched my phone and the only ‘photo’ I had of this day was a screen grab of some interesting dogs doing interesting things.
I think this sums up quite well just how my day went.


le mardi 8 août par Anna Salzmann


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dents de la lavande

et engin de rêve de l’enfance du photographe


le mardi 8 août par Pierre Montant


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c’est

« La photographie c’est le clitoris de la mémoire. »

Francis Traunig


le mardi 8 août par Francis Traunig


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dix mille

IBERIA, souvenir de vacances d’un des plus mauvais petit-déjeuner à plus de dix mille mètres…


le lundi 7 août par Francis Traunig


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Valdrôme

Valdrôme est un village de la Drôme (26) de 150 âmes environ qui a donné son nom à une station de loisirs de moyenne montagne, où se pratique VTT, « Devalkart », randonnée, et même l’observation des étoiles…
La station surplombe le village. Elle culmine à 1700 mètres, la route pour s’y rendre peut évoquer un petit Ventoux, avec une pente et des lacets raides assez éprouvants pour le mollet du cycliste.
Les promoteurs publics et du privé qui voulurent en 1984 y créer une station de ski n’avaient semble-t-il pas bien mesuré qu’à 1700 mètres max, l’enneigement serait minime, et de courte durée.
Le climat étant au réchauffement, la neige s’y est faite si rare que la partie ski a fermé, laissant le lieu aux randonneurs et autres amateurs de kart sans moteur.
Les tire-fesses ont fermé, un seul reste en fonction pour hisser au sommet les véhicules à pédales destinés au dévalement de la piste.
La vue de l’équipement d’acier, poteaux et roulettes de type Pomalgalski abandonnés sur ces pentes, câbles répandus au sol dans l’attente de leur démantèlement fiche un peu le blues. Industrie touristique mise à mal par sa contribution au dérèglement global, serait-ci ici pour sa part, minime, il y a quelque chose d’une ironie triste dans le loisir des hommes…

le lundi 7 août par Pierre Montant


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Littéralement

Miraflores ! Littéralement traduit : regarde les fleurs !


le dimanche 6 août par Francis Traunig


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Joutes amicales

Fête de l’étang familiale: 25ème édition


le dimanche 6 août par Justine Grespan


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Super 8.

Dimanche chez ma mère. Attrait irrésistible du grenier. J ‘y retrouve le matériel ciné de mon père : visionneuse, colleuse, projecteur, et sa caméra SANKYO ES-44. Pendant quelques années il filmât tout et n ‘importe quoi : voyages, manifestations familiales : fêtes, mariages, baptêmes…Le tout, d ‘une manière frontale et appliquée. Nette. Un peu trop à mon goût.Il m ‘arrivait de lui piquer son jouet et de filmer les mêmes scènes avec des mouvements de caméra compliqués et sophistiqués, bougés , flous mais  » artistiques « .Sachant par avance que mon génie disparaîtrait au montage.

Très vite il s ‘impatientait et retrouvant pour l ‘occasion son accent lyonnais ( je l ‘appelais le » Gone-with the wind « , ce qui avait l ‘art de l ‘agacer…), il me criait :  » Eh, Godard, pose cette caméra , ça suffit tes âneries !… »

On est souvent crétin quand on a dix-sept ans.


le dimanche 6 août par Gérard Dubois


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Amour boueux

Fête de l’étang familiale: 25ème édition


le samedi 5 août par Justine Grespan


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Max!

Oh I love when friends get new puppies!


le samedi 5 août par Anna Salzmann


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Lima

Plaza de las Armas, au cœur de l’immense  et foisonnante Lima.


le samedi 5 août par Francis Traunig


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la route

mousses, lichens, bois, soleil, 500m de bonheur pour arriver à notre cabane.


le vendredi 4 août par Nicolas Spuhler


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Mythomane.

L ‘affichette dit : CHIEN MÉCHANT…


le vendredi 4 août par Gérard Dubois


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Lacs Jovet

Une « balade » jusqu’aux lacs Jovet


le vendredi 4 août par Justine Grespan


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taxi

Lima la grise. Toujours la brume,  les trois quart de l’année nous dit Zapata, le chauffeur de taxi.


le vendredi 4 août par Francis Traunig


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trumperie.

sur la marchandise


le jeudi 3 août par Pierre Montant


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accélérations

Treize heures de bus pour ces enfants venus à Sucre pour un meeting d’athlétisme. Le prof de gym, Jésus, les laisse attraper des pigeons sur la place du 25 mai pour qu’ils entrainent leurs réflexes et les accélérations.

 Nous leurs offrons vingt glaces… (pour deux euros cinquante) ils sont aux anges !


le mercredi 2 août par Francis Traunig


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Chercher l’âme dans son regard…

… pour y découvrir le langage de ses yeux


le mercredi 2 août par Michel Bruno


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à Arles

à la gare de Lyon


le mardi 1 août par Pierre Montant


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crevette

Après les ravages de la peste bubonique, se répand celle de la peste numérique. Les tous premiers symptômes sont un repli sur soi-même, (qu’on appelle la maladie de la crevette). S’ensuit rapidement une irritabilité chronique, une indifférence à l’autre et une alternance de rires incontrôlés et d’apathie prolongée.

On peut cependant guérir les patients atteints de peste numérique par des cures de réalités.


le mardi 1 août par Francis Traunig


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The right stuff…

Il faisait partie de ce que l ‘ Amérique a pu nous offrir de mieux…

 » Sam Shepard est un chaman, un chaman du Nouveau Monde. Sam est aussi américain que le peyotl, les champignons sacrés, le Rock and Roll… »( Jack Gelber ).


le mardi 1 août par Gérard Dubois


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