Un mois de légendes /

dada

Tentative de prise en main d’un nouvel appareil. L’af, les isos, tous ces boutons partout. Un rien dépité, je me rappelle  des paroles de Markus Fuchs, commentant une de ses grandes victoires avec son cheval: au début, ce n’était pas facile. On ne s’entendait pas. J’ai du le comprendre, m’adapter; et maintenant on s’entend à merveille. Petite leçon d’humilité, c’est le grand cavalier qui s’adapte au jeune cheval. Pas le choix, d’ailleurs.

Pour ce coup-ci, je vais faire passer la photo pour une tentative d’approche dadaïste, ce sera parfait.

(En fait les isos étaient bloqués sur 200, du coup 3 sec de pause, boum; y a un bouton faut appuyer dessus ou dessous ou à côté pour débloquer les isos, même si l’écran te dit que, débloqués, les isos pourraient monter à 12’800. Tu vois comment ?)  Nouvel appareil, quoi,


le mardi 31 janvier par Nicolas Spuhler


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En attendant

En attendant le tram, elle répétait son numéro de cirque.


le mardi 31 janvier par Justine Grespan


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Zermatt

Zermatt : ouverture sur le monde.


le mardi 31 janvier par Francis Traunig


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30/01/2017

quand on a rien ,  on a Rien!


le lundi 30 janvier par Catherine Claude


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Zermatt

Zermatt, capitale de la tonte.


le lundi 30 janvier par Francis Traunig


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a voté

primaire sauces


le dimanche 29 janvier par Pierre Montant


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LIMITE

Au Café de la LIMITE, populaire, bon,  copieux pas cher et sympa.


le samedi 28 janvier par Francis Traunig


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Pinocchio se noie…

QUAE SUNT CAESARIS, CAESARI…

Ce titre, véritable mot d ‘auteur m’ a été donné il y a quelques temps par un tout petit garçon, âgé tout au plus de cinq ans, qui un même jour de tempête, au même endroit s ‘ écria :  » Regarde maman, Pinocchio se noie !  »

Ce fut mon sourire du jour. Merci à cet anonyme génie…


le vendredi 27 janvier par Gérard Dubois


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le renard assis

Et plus tard, l’homme debout qui va vers la transcendance. C’est ainsi que me décrit une dame, d’un air très sérieux, un long tableau bleu pâle avec une ligne blanche sur le côté. J’ai souri à sa plaisanterie, avant de me rendre compte que ça n’en était pas une.

http://www.artgeneve.ch/sites/artgeneve.ch/landing.html


le vendredi 27 janvier par Nicolas Spuhler


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Calaferte

Ce soir Virginie Despentes  lit Calaferte sur fond musical de Zëro. C’est hélas Zëro qui renvoya Despentes et Calaferte dans le magasin des accessoires – et nous enchanter.


le vendredi 27 janvier par Francis Traunig


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Néons et féminisme

La sobriété des locaux du BAC.

Nouvelle exposition de Angela Marzullo.


le jeudi 26 janvier par Justine Grespan


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SECURITAS

ART GENEVE – formidable entremêlement entre les classiques : un joli dessin au crayon de Picasso sur une feuille bloc note A4 à 220’000 francs et les contemporains : trois phoques en peluche posés au sol, sur lesquels un SECURITAS me demande gentiment de ne pas marcher.

Voilà que la banque suisse, l’UBS, s’invite à ce grand raout en rabatteuse pour ses clients fortunés déçus par la performance du marché des actions.

Monde toc et creux irrigué par du champagne et quelques amis, par bonheur, retrouvés…


le mercredi 25 janvier par Francis Traunig


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En éventail.

Après trois jours à Lyon, je retrouve le sud. Il doit y avoir dix-sept degrés de différence…


le mardi 24 janvier par Gérard Dubois


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Je ne crains plus personne

Des fois j’aimerais bien être un garçon, ça a l’air vachement plus drôle d’être un garçon, même juste pour aller aux toilettes.


le mardi 24 janvier par Justine Grespan


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Survivre

«En 2017, il n’y aura plus de trou de la Sécu», avait-on entendu dire en septembre 2016.


le lundi 23 janvier par Justine Grespan


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le bon air

Un de plus

https://www.airparif.asso.fr/indices/resultats-jour-citeair#jour


le lundi 23 janvier par Pierre Montant


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Sebastiào fait du vélo…

En 86, Libération missionne Salgado pour couvrir le tour de France, aux côtés des cyclistes mais aussi des spectateurs.Dans cette série inhabituelle, le photographe brésilien ne délaisse pas son obsession pour l ‘ Homme et son environnement. Les photographies de Salgado peignent un portrait de la France et de ses habitants et surprennent par leur sincérité.

Galerie photo cinéma de l ‘ Institut Lumière, Lyon.

Jusqu’ au 16 avril…


le dimanche 22 janvier par Gérard Dubois


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jus des braves

Préparation du jus des braves

curcuma , gingembre , citron….


le dimanche 22 janvier par Catherine Claude


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Petite ceinture

Balade sur le parcours des rails abandonnées autour de Paris, le terrain parfait pour la nature qui reprend sa place là ou l’humain ne vient plus et bien sûr pour les tagueurs. A mi chemin entre urbain et nature.


le dimanche 22 janvier par Juliette Salzmann


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Manif.

Lyon, place de l ‘ Opéra. Des Américaines n ‘aiment pas leur nouveau président et nous l ‘expliquent à grands cris féministes.


le samedi 21 janvier par Gérard Dubois


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canari jaune

L’Amérique mondialise son indignation. Soon we will tous speak english, sorry american. And this will help us de nous comprendre better. Tout le monde connait Goggle, l’ordinateur à la pomme et Hollywood. On défend déjà tous un peu la cause. We all love les séries américaines, specially Homeland. Nous sommes tous fucking indignés by the canari jaune qui sort de sa golden cage and wants to give back la dignité au peuple alors que lui il grab les chattes en faisant bruit du cochon. On comprend déjà le mot solde en english, c’est Sale. On sait que bite en anglais veut pas dire la même chose qu’en français. L’Empire étend son aile, nous envoie son cinéma, nous infeste de ses mensonges, des ses casquettes de baise-ball. C’est vrai que si on parlait tous la même langue ça serait peut-être plus simple de nous comprendre, et de mieux obéir.


le samedi 21 janvier par Francis Traunig


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Calvino

Le centre funéraire de Montoie est une usine. Se succèdent les adieux avec l’allure de trains qui entrent en gare pour repartir aussitôt, une fois les passagers descendus, remplacés par ceux qui montent. Une cohorte bruyante d’Africains à la vestimentaire chamarrée quitte les lieux. Une femme pleure avec sous le bras une photo en couleur du défunt. Elle est soutenue par deux matrones dont l’une rit avec sa voisine pendant que l’autre console la pleureuse.

Voilà qui aurait plu à Charles-Henri.

Pendant ce temps, en petits groupes qui s’agrègent sur les escaliers, les vieilles connaissances meublent les silences de souvenirs, de réflexions molles sur le temps qui passe.

Voilà qu’apparaît la nouvelle pimpante et flamboyante  directrice du Musée de l’Elysée, (musée de la photographie fondé en 1985 par Charles-Henri qui se repose 50 mètres plus loin pour toujours). Comme des mouches sur du miel, les quelques-uns présents, embrassent la jeune femme, et j’en ferai bien de même, mais une africaine rembranesque, enveloppée dans de la zibeline synthétique lance un regard amusé au groupe d’hommes (habillés tout en noir) qui entoure la jeune successeur (successerice, eresses ?) du défunt à qui nous venons dire au revoir.

Vais vers elle.

-Madame, on dirait que votre manteau est en neige, on dirait de la zibeline – il vous va bien.  Lui dis-je avec une arrière-pensée et la main sur l’étui de mon appareil photo. Mais la décence me modère. Elle sort d’un enterrement, moi j’y vais, n’exagérons pas. Et vais m’asseoir.

Peu de photographes, beaucoup de têtes grises, et me passe la main dans les cheveux. Mais où sont donc tous ceux à qui Favrod a donné sa confiance, ses murs et la renommée du musée ?

Voilà le pasteur, cet intermédiaire patenté entre le visible et l’invisible, qui va badigeonner l’assemblée de sa liturgie. Je parie qu’il y aura dans son speech les mots :  joie, éternité, pour toujours, et c’est le cas. Mais sa voix porte, elle est forte, elle fait tenir les mots debout. C’est déjà pas mal. Je cherche les amis, peu, vois Luc, cherche Maxime, considère ma voisine, qui est-t-elle donc qui chante à mes côtés ? Tiens Ferla, l’homme de radio, il a bien vieilli, rend un bel hommage, cite Calvino, ça me le rend encore plus sympathique, irai le lui dire.

Puis les offrandes, n’oubliez pas, c’est pour soutenir – j’ai déjà oublié quoi. Les saluts à la famille, s’il vous plaît ne serrer pas les mains, puis la verrée au théâtre de Vidy.

Alors à Vidy nous picorons petits fours et cacahouètes, retrouvons de vieux amis, lorsque l’on demande le silence.

-Mesdames, Messieurs, je suis l’ambassadeur d’Algérie, j’ai un message que m’a envoyé le Président Bouteflika ce matin et j’aimerais vous le lire.

Et il lit.

Je suis surpris par la vivacité et les belles tournures de l’hommage du Président algérien alors que son AVC de 2013 a sacrément diminué sa mobilité, son élocution et sa capacité à gouverner.

L’hommage de Bouteflika est applaudi. Et quelques-uns découvrent, stupéfaits, l’activisme de Favrod à l’époque des accords d’Evian. Enchaîne un petit monsieur, à la prose vive et limpide. Un ancien du FLN ((fondé en 1954) il parle d’engagement politique, de combats, de privations. De menaces physiques que Favrod a subies, de la prison que Jean, un Suisse, ici présent à Vidy a dû faire en France parce qu’il avait été un des émissaires du FLN.

Estime en brassées. J’ai envie de dire quelque chose, ça me démange, mais n’en n’ai plus le courage.  Après d’aussi glorieux hommages, mon bafouillis n’en serait que plus insipide.

Juste vite encore te dire, Charles-Henri :

-Tu m’as appris qu’on ne pouvait bien penser aujourd’hui qu’avant d’avoir compris ce qui nous a précédé.


le vendredi 20 janvier par Francis Traunig


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Life right now

Tennis is everything right now 💖


le vendredi 20 janvier par Anna Salzmann


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Versoix

Je ferai un jeux de mots un autre soir.


le mercredi 18 janvier par Nicolas Spuhler


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quel Temps !

Charles-Henri, encore, et Gabriel en chapeau du Temps – alors que dans la pizzeria nous ne quittons pas nos anoraks, notre voisin à notre gauche non plus – quel Temps !


le mardi 17 janvier par Francis Traunig


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Ninja

Déconstruction du Luna Park en pleine bise.


le lundi 16 janvier par Justine Grespan


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Anières

En passant. On s’est croisé avec un arbre, il était poli, plus tout jeune, chauve comme moi, et prenait le soleil sur une colline.

J’ai oublié de le prévenir qu’il risquait de finir sur unephotoparjour.


le lundi 16 janvier par Nicolas Spuhler


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terrain impraticable

images reportées


le lundi 16 janvier par Pierre Montant


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Charles-Henri

Charles-Henri, beaucoup de photographes ont perdu un père. Je me souviens qu’à l’enterrement de notre amie, la photographe, Simone Oppliger, en sortant de l’église, tu t’es allumé un petit cigarillo, tu as regardé le ciel et dit : C’est pendant qu’on est vivant qu’il faut s’aimer.


le lundi 16 janvier par Francis Traunig


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Le coucher

De lune


le dimanche 15 janvier par Nicolas Spuhler


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Anticipation.

Maison Immaculée ( ?!…).

Le nouveau locataire prend possession de ses appartements…


le dimanche 15 janvier par Gérard Dubois


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6 degrés

Coupe des glaces (glacés?)

Deux fous bienheureux parmi d’autres.


le samedi 14 janvier par Justine Grespan


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Champ / Hors champ.

Délimiter un champ c ‘est peut-être construire un hors champ.

Ce meeting aérien – image au demeurant banale pour un oeil habitué au littoral : ciel bleu, mistral, mouettes… – n ‘existe ici et maintenant que par ce qui est  non vu. Je ne parlerai pas de ce non vu , lui aussi terriblement banal. Il n’ est qu’ anecdotique et de peu d ‘intérêt . Mais pour le plaisir je citerai Godard ( Jean-Luc, Suisse ) :  » Il y a le visible et l ‘invisible. Si vous ne filmez que le visible, c ‘est un téléfilm que vous faites. »


le samedi 14 janvier par Gérard Dubois


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Righetti

Nicolas Righetti vernit par moins 3 degrés


le vendredi 13 janvier par Francis Traunig


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Motivée

Une journée normale pour la génération Y.


le vendredi 13 janvier par Justine Grespan


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Humidity

Humidity, blu-tack’s nemesis


le vendredi 13 janvier par Anna Salzmann


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La Maison

de l’araignée


le jeudi 12 janvier par Nicolas Spuhler


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Wells, Fargo & Company…

En 1850, la première ligne de transport par diligence obtenait le contrat de la livraison du courrier entre San Antonio et Fort Bliss. La compagnie acceptait aussi de transporter des passagers. Le voyage de San Antonio à El Paso del Norte (aujourd’hui El Paso, Texas) coûtait 125$ pour un aller simple et ce, à une époque où on pouvait acheter une once d’or pour 7$. Cette route représentait cependant une grande aventure. Entre janvier 1852 et avril 1853 les diligences qui empruntaient cette route ont été attaquées à cinq reprises par les Indiens.


le jeudi 12 janvier par Gérard Dubois


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prochainement

Stakhanoviste debout tous les matins juste après 5 heures, ouvre sa boutique à 6, a travaillé 50 ans, sait faire plusieurs choses en même temps : bercer sa petite fille, faire les comptes, raconter une blague tout en faisant chauffer sa machine à café et servir son client en sifflant comme un merle.

-J’aimerais bien passer à autre chose, prochainement…


le jeudi 12 janvier par Francis Traunig


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pipi, pipi…

Dans le tram pour récupérer ma moto prise par les neiges de la veille.

Assis en face de moi, encombré de sacs, un homme massif coiffé d’un bonnet de ski à pompon, marmonne  pipi, pipi et se penche sur mon livre.

Je lève les yeux, cherche son regard, qu’il détourne. Replonge dans mon livre.

Pipi, pipi…

Tout à coup, l’homme pris de spasmes et secoué de borborygmes se lâche en flatulences nauséabondes.

Pipi, pipi… et agite le pompon de son bonnet.

Me voilà déconcentré. Ferme le livre. Monsieur tout va bien ?

Pipi…

Répète-t-il.

Je descends au suivant. Et me rends compte que la vie en communauté dans les transports publics est parfois difficile.


le mercredi 11 janvier par Francis Traunig


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Geneva Lux

J’aurais bien aimé un peu de présence humaine dans ce passage mais il faut croire qu’il faisait trop froid pour que les gens prennent un détour lumineux.


le mercredi 11 janvier par Justine Grespan


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workshop bis

2e jour de cours, portraits, lumières, essayez, continuez, refaites, travaillez quoi.


le mercredi 11 janvier par Nicolas Spuhler


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Il a neigé une pomme.

Il a neigé une pomme.


le mardi 10 janvier par Francis Traunig


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À vau-l’eau.

Fine pluie glacée. Je suis vaguement grippé. Je ne sors pas.L’image du jour part à vau-l’eau…


le mardi 10 janvier par Gérard Dubois


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Won’t be doing this again..

We googled ear candling afterwards, and lets just say we won’t be doing this again!


le mardi 10 janvier par Anna Salzmann


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Arbre à chaussures

Je me demande toujours si le propriétaire est reparti pieds nus?


le mardi 10 janvier par Justine Grespan


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Des annemassiennes

L’odeur si particulière des frontières…


le lundi 9 janvier par Juliette Salzmann


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Pigeons vandales

Même les pigeons chient sur les frontaliers.


le lundi 9 janvier par Justine Grespan


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une expo qui démarre fort

http://www.collectifregardscroises.org/single-post/2016/12/23/Exposition-collectif-regards-croises-carrefour-des-Associations-Parisiennes


le lundi 9 janvier par Pierre Montant


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Daguerréotype

Ou un miroir en campagne. Plus très frais.


le dimanche 8 janvier par Nicolas Spuhler


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00h10

Suite. (Plus tard je passe la main.)


le samedi 7 janvier par Nicolas Spuhler


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heureusement

Dix heures trente de chemin de fer, sept changements, mais heureusement que dans les gares on a de quoi s’occuper…


le samedi 7 janvier par Francis Traunig


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Génération Y

Toujours sur leurs smartphones ces jeunes…


le samedi 7 janvier par Juliette Salzmann


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quel courage… si petite

Une boucle est bouclée! il y a 16 ans , j’arpentais les plages du sud afin de trouver et définir les tortues qui venaient pondre sur certaines plages. Un programme de protection des tortues marines prenait naissance. Tour de garde toutes les deux heures dans la nuit , sans lampe de poche, le vent dans les palmiers , le boucan des vagues rendait l’atmosphère lugubre. Nous avons construit des noeuseries , informer les pêcheurs … A présent ce n’est pas les oeufs que je collecte, mais pour la première fois je peux voir les naissances et  je participe à la remise en libereté de ces touchantes petites créatures.

cadeau de la nature pour cette dernière soirée !

merci la vie


le samedi 7 janvier par Catherine Claude


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It is hot!

No matter how much sunscreen was put on, we all ended up like tomatoes.


le samedi 7 janvier par Anna Salzmann


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Bonne ambiance chez Saskia

comme un air de 31 réussi


le vendredi 6 janvier par Nicolas Spuhler


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intarissable

Raccourci très raccourci :

Avec un sac à dos familial plutôt chargé, le pauvre Louis, n’aura pas vraiment pu profiter de son château. On le déclare aliéné mental, il est interné et le lendemain il meurt au cours d’une balade en bateau avec son médecin.

Mais l’état de Bavière aura restauré mythe et château pour en faire une pompe à fric intarissable.

Et Disney sa promotion for ever.


le vendredi 6 janvier par Francis Traunig


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L ‘amateur de polars.

Le Président :  » Expliquez-nous pourquoi vous avez tué ce malheureux homme-sandwich ?  »

L ‘accusé :  » J’ avais faim. »        ( Brèves de Prétoire ).

« J ‘affirme avec un mortel sérieux que seule la chute du capitalisme peut rendre le roman noir caduc. » ( Jean-Patrick Manchette ).

Les amateurs-dont je suis-peuvent dormir tranquilles…


le vendredi 6 janvier par Gérard Dubois


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06/01/2017

je l’ai cherché ce réglage à la prise de vue, afin d’obtenir cette ambiance.


le vendredi 6 janvier par Catherine Claude


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Plus haut

Pour une plus belle vue de la Plaine de Plainpalais…


le jeudi 5 janvier par Justine Grespan


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Pelles à neige.

Pelles à neige à un euro.

Anorak à quatre euros cinquante.

Lunette de lecture un euro quatre vingt dix.

Woolworth casse la baraque !


le jeudi 5 janvier par Francis Traunig


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Annabelle.

Annabelle est Ecossaise. Elle lit un ouvrage que m’a offert son père. Ouvrage essentiel car totalement inutile.

Quelques exemples:

William Shakespeare invented the word  » assassination « .

Diana, princess of Wales, was the seventh cousin of Humphrey Bogart.

The Queen does not have or need a passport. She also does not need a driver’s licence.

In Liverpool it is illegal for a woman to be topless in public unless she is a clerk in a tropical fish store.

The cake on the front of the Rolling Stones’ Let it Bleed album was baked by Delia Smith…


le mercredi 4 janvier par Gérard Dubois


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Staattsgemäldesammlung

Helmut et Henriette rencontrés à la Neue Pinakothek de Münich.

La main en visière il examine attentivement les œuvres de la Staattsgemäldesammlung et les commente à voix basse à Henriette qui opine du bonnet avant de glisser, gracieuse, vers le tableau suivant.

Je ne peux m’empêcher de les suivre du regard avec insistance, ils le remarquent, je me décide alors de leur demander  de poser. Ce qu’ils acceptent de bon cœur. Mais voilà, la pudeur et la soudaineté de ma demande les figent.

Nous nous mettons alors à converser. Apprenons qu’il est peintre, céramiste et est ravi de cette rencontre et regrette que ça n’arrive pas plus souvent.

-Je vous envoie la photo par internet ?

-Oui, dit, Helmut mais je ne connais pas mon code postal par coeur.

-Tu n’as pas de code postale sur Internet, Helmut, c’est une adresse numérique, ça passe par l’ordinateur.

-Ça fait longtemps que je n’ai plus utilisé d’ordinateur, alors donne la tienne.

Ce qu’Henriette fait et nous nous quittons, ravis.


le mercredi 4 janvier par Francis Traunig


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clope

reprendre Orwell, dans la dèche à Paris et à Londres


le mardi 3 janvier par Pierre Montant


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Glucides

Exposition « Ados à corps perdu » au Musée international de la Croix Rouge


le mardi 3 janvier par Justine Grespan


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La gratteuse du hasard.

 » Lorsque le hasard nous apporte ses faveurs nous le baptisons du nom de Providence. » – Robert Sabatier, Le livre de la déraison souriante.


le mardi 3 janvier par Gérard Dubois


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Paris by night

avec le sourire. Oui, le parisien peut sourire ! la parisienne en l’occurrence…


le lundi 2 janvier par Pierre Montant


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02/01/2017

0° 4’19.88″N   6°36’39.88″E


le lundi 2 janvier par Catherine Claude


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Léon

et Mathis. Plus tard, la tour va presque toucher le plafond. Si, si.


le dimanche 1 janvier par Nicolas Spuhler


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2017

Welcomed the New Year with a good old nap on the beach


le dimanche 1 janvier par Anna Salzmann


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