Un mois de légendes /

Lost…

Dans la boîte aux lettres ce matin…


le lundi 31 juillet par Gérard Dubois


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sources

A chacun ses sources.


le dimanche 30 juillet par Francis Traunig


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Seconde chance ?…

Le papier qui flotte au vent dit :  » FONCTIONNE « …


le samedi 29 juillet par Gérard Dubois


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Odonata

Spectacle de tribal fusion à Champel s’éveille


le samedi 29 juillet par Justine Grespan


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La poésie est une plante libre:

Elle croit là où on ne la sème pas (Gustave Flaubert)


le vendredi 28 juillet par Michel Bruno


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La crête rituelle

Avant chaque festival, mon frère et ses amis se font une crête. Il a quand même accepté que je lui fasse les finitions.


le vendredi 28 juillet par Justine Grespan


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qualité suisse

La Paz, place Murillo.

Près du palais présidentiel, sont alignés sur le parvis de la cathédrale, une brochette d’officiels face à une fanfare, face à une garde armée et un rang silencieux de manifestants. Je me glisse parmi les manifestants pour avoir une vue d’ensemble et tombe sur un flic, main sur la gachette d’un Sig Sauer. Du matos qualité suisse qui n’aurait sans doute jamais vu le soleil  bolivien si l’initiative de 2009 contre l’exportation des armes (de guerre) aurait abouti.


le vendredi 28 juillet par Francis Traunig


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Doucement

Pour prendre cette photo, j’ai attendu 10 minutes pour que ce couple marche les 100 m qui nous séparait.


le jeudi 27 juillet par Justine Grespan


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Morceau de ciel

« Il suffit d’un grand morceau de ciel, et le calme revient dans les cœurs trop tendus. »
Albert Camus

le jeudi 27 juillet par Patricia Nisenbaum


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Edvard Munch

Tiwanaka et ses 172 têtes anthropomorphes de l’empire Aymara entre 300 et 1150 après JC. Avec en vedette, le cri d’Edvard Munch.


le jeudi 27 juillet par Francis Traunig


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Rome : Rencontre annuelle des Éthiopiens d’Europe

Ethio Norway a gagné cette année le tournoi de foot qui se déroule sur trois jours, avec buvettes, stands et concerts de musique éthiopienne la nuit


le mercredi 26 juillet par John Grinling


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Edging forward

Apparently 2017 will be my toughest year..


le mercredi 26 juillet par Anna Salzmann


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brujas

Mercado de las brujas.


le mercredi 26 juillet par Francis Traunig


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Hokusai 1815

Welcome to Australia Hokusai 🌊


le mardi 25 juillet par Anna Salzmann


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Mario de La Paz

Mario de La Paz !


le mardi 25 juillet par Francis Traunig


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tonneaux

A Copacabana, ancien centre cérémonial Inca, on vénère Notre Dame de Copacabana Sainte Patronne de la Bolivie. Une des particularités de ce lieu de culte qui mêle profane et sacré c’est le baptême des voitures devant l’imposante basilique blanche. Contre une modeste obole, un homme d’église coiffé d’un chapeau de cowboy, bénit, capots ouverts, les moteurs, l’intérieur des véhicules et ses propriétaires. Nous rencontrons EL FELINO devant son van accompagné de ses musiciens. EL FELINO s’appuie sur des béquilles et raconte avoir fait une série de tonneaux à voiture. Il a failli y laisser la jambe. C’est  pour remercier la vierge de s’en être sorti que le groupe de musiciens a fait le voyage depuis le Pérou…


le lundi 24 juillet par Francis Traunig


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la conversation

Allo, Jupiter ? – Oui ? – Je suis dans le métro avec Brigitte, tout va bien ? – Oui oui, pour le moment ça va, on fait aller.


le lundi 24 juillet par Pierre Montant


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« Mignonne allons voir si la rose » Pierre de Ronsard

Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.

Las ! voyez comme en peu d’espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautez laissé cheoir !
Ô vrayment marastre Nature,
Puis qu’une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !

Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vostre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez vostre jeunesse :
Comme à ceste fleur la vieillesse
Fera ternir vostre beauté.


le lundi 24 juillet par Patricia Nisenbaum


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« Night and day » Cole Porter

Night and day, you are the one
Only you beneath the moon, under the sun
Whether near to me or far
It’s no matter darlin’, where you are

I think of you night and day
Night and day, why’s it so
That this longing for you, follows wherever I go
In the roaring traffic’s boom

In the silence of my lonely room
I think of you night and day
Night and day, under the hide of me
There’s an ooh, such a hungry yearning, burning inside of me

And this torment won’t be through
Till you let me spend my life making love to you
Day and Night
Night and Day


le dimanche 23 juillet par Patricia Nisenbaum


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Les grands débats…

Où il est prouvé, si l ‘on s ‘en tient à la pure chronologie UPPJ, que l ‘oeuf vient après la poule…


le dimanche 23 juillet par Gérard Dubois


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vacances

non je rigole, vue du jardin


le samedi 22 juillet par Nicolas Spuhler


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« Demain dès l’aube… » Victor Hugo

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.


le samedi 22 juillet par Patricia Nisenbaum


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Delirium…

Indicible, ineffable…Est-ce l ‘effet de la fatigue, de la chaleur ?…Je vois une main sur sa tête, un visage furieux dans sa queue…


le samedi 22 juillet par Gérard Dubois


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Titicaca

Puno. Lac Titicaca.


le samedi 22 juillet par Francis Traunig


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« Tombe la neige » Salvatore Adamo

Tombe la neige
Tu ne viendras pas ce soir
Tombe la neige
Et mon coeur s’habille de noir
Ce soyeux cortège
Tout en larmes blanches
L’oiseau sur la branche
Pleure le sortilège
Tu ne viendras pas ce soir
Me crie mon désespoir
Mais tombe la neige
Impassible manège
Tombe la neige
Tu ne viendras pas ce soir
Tombe la neige
Tout est blanc de désespoir
Triste certitude
Le froid et l’absence
Cet odieux silence
Blanche solitude
Tu ne viendras pas ce soir
Me crie mon désespoir
Mais tombe la neige
Impassible manège

le vendredi 21 juillet par Patricia Nisenbaum


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Courgette

Exposition sur le film d’animation de Ma vie de Courgette


le vendredi 21 juillet par Justine Grespan


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Moïse.

…Sauvé des eaux. Découvert ce matin nageant désespérément en rond dans la piscine, épuisé, à bout de souffle. Nourri, hydraté, dé-stressé, il repart vaillamment vers de nouvelles aventures…


le vendredi 21 juillet par Gérard Dubois


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Viva la huelga !

Viva la huelga !

Grève  des instituteurs dans tout le Pérou. Ils ne gagnent pas plus de 280 euros par mois et revendiquent un salaire décent. Les aéroports sont bloqués, barricades et pneus enflammés sur les routes principales, à l’entrée des villes…

La lutte pour un salaire minimum décent.


le vendredi 21 juillet par Francis Traunig


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« Famous Blue Raincoat » Leonard Cohen

It’s four in the morning, the end of December
I’m writing you now just to see if you’re better
New York is cold, but I like where I’m living
There’s music on Clinton Street all through the evening
….
And Jane came by with a lock of your hair
She said that you gave it to her
That night that you planned to go clear
Sincerely, L Cohen

le jeudi 20 juillet par Patricia Nisenbaum


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Devotional song to Lord Ganesha

Your life will never make sense until God is in it.

Main purpose of Life is to live it fully with Joy and Celebration.

Love whatever you do,

Be Happy with everything you have and

Thankful to God and lovable people.

Those are making your life beautiful.


le mercredi 19 juillet par Patricia Nisenbaum


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Auto…

Auto-édition : car, qui voudrait publier ce livre ?…

Auto-dérision :  car, qui voudrait l ‘acheter ?…

Auto-satisfaction : ça, c ‘est fait !

Auto-promotion : le prochain s ‘appellera CAMPAGNES, ou mieux, MONTAGNES …

Donc : toute proposition de résidence  » d ‘artiste » dans les champs ou les alpages sera sérieusement étudiée.


le mercredi 19 juillet par Gérard Dubois


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Guten Morgen Barbie & Ken

Baignade dans la Spree


le mercredi 19 juillet par Justine Grespan


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Davi Kopenawa Yanomami

une flèche qui a transpercé mon coeur


le mercredi 19 juillet par Catherine Claude


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Cris, pleurs.

Une pirogue effilée avec une dizaine de touristes à son bord serpente au milieu d’une zone marécageuse. La voie d’eau navigable fait au plus de quatre mètres de large. Tout autour, la jungle. Impénétrable. Henri, le guide, partage avec passion ses connaissances de la forêt où il est né. Il repère par chance un groupe d’anacondas entrelacés, fait couper le moteur et demande le silence. La joie sans doute mêlée à de la stupeur fait tanguer légèrement la pirogue dans le crépitement des appareils photo. Avec un chuintement d’écailles, une femelle glisse vers la pirogue. Un mouvement de recul fait tanguer l’embarcation. L’anaconda est à un mètre du bateau. Redresse la tête.

Cris, pleurs. Henri demande le silence avec autorité, que personne ne bouge. On est passé à deux doigts du chavirement et probablement d’un carnage. Le serpent de six mètres plonge alors sous la pirogue et n’en fini pas de raconter cette curieuse rencontre à ses potes anacondas.


le mercredi 19 juillet par Francis Traunig


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Steppes…

La yourte de mes voisins – dans laquelle ils vivent – a entièrement brûlé le mois dernier. La nouvelle vient d ‘arriver, directement de Mongolie. Trois techniciens Mongols, une fille et deux garçons, se chargent du montage. Qui durera toute la journée. Le soir, barbecue à la maison. Les garçons sont carnivores, la fille végan…Tous aiment le rosé de Provence.


le mardi 18 juillet par Gérard Dubois


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Anne, ma sœur Anne

Ne vois-tu rien venir ? – Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l’herbe qui verdoie.


le mardi 18 juillet par Pierre Montant


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« Au lecteur » Charles Baudelaire

Au lecteur

La sottise, l’erreur, le péché, la lésine,
Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
Et nous alimentons nos aimables remords,
Comme les mendiants nourrissent leur vermine.

Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches;
Nous nous faisons payer grassement nos aveux,
Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux,
Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches.

Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste
Qui berce longuement notre esprit enchanté,
Et le riche métal de notre volonté
Est tout vaporisé par ce savant chimiste.

C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent!
Aux objets répugnants nous trouvons des appas;
Chaque jour vers l’Enfer nous descendons d’un pas,
Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.

Ainsi qu’un débauché pauvre qui baise et mange
Le sein martyrisé d’une antique catin,
Nous volons au passage un plaisir clandestin
Que nous pressons bien fort comme une vieille orange.

Serré, fourmillant, comme un million d’helminthes,
Dans nos cerveaux ribote un peuple de Démons,
Et, quand nous respirons, la Mort dans nos poumons,
Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes.

Si le viol, le poison, le poignard, l’incendie,
N’ont pas encore brodé de leurs plaisants dessins
Le canevas banal de nos piteux destins
C’est que notre âme, hélas! n’est pas assez hardie.

Mais parmi les chacals, les panthères, les lices,
Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,
Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
Dans la ménagerie infâme de nos vices,

Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde!
Quoiqu’il ne pousse ni grands gestes ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un bâillement avalerait le monde;

C’est l’Ennui!- l’œil chargé d’un pleur involontaire,
Il rêve d’échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
– Hypocrite lecteur, – mon semblable, – mon frère!


le mardi 18 juillet par Patricia Nisenbaum


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Jérôme

Vol inaugural Latam 2214 du 18 juillet pour Trujillo qui va mettre en retard le nôtre pour Puerto Maldonado.

Dans la jungle péruvienne proche de la frontière brésilienne.

Singes capucins blancs.

Canopée.

Vols d’aras.

Traces de jaguar.

Jérôme, barman de Belfort au Bello Horizonte.

Chuchupe géant dans un bocal de formol.

Henri et sa machette.

Marche de nuit dans la forêt.


le mardi 18 juillet par Francis Traunig


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17/07/2017

Fiesta del Carmen à Pisac.


le lundi 17 juillet par Francis Traunig


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Serments d’amour

Le mur de la maison de Juliette à Vérone


le lundi 17 juillet par John Grinling


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« La rouille » Maxime Le Forestier

L’habitude nous joue des tours:
Nous qui pensions que notre amour
Avait une santé de fer.
Dès que séchera la rosée,
Regarde la rouille posée
Sur la médaille et son revers.

Elle teinte bien les feuilles d’automne.
Elle vient à bout des fusils cachés.
Elle rongerait les grilles oubliées
Dans les prisons, s’il n’y venait personne.

Moi, je la vois comme une plaie utile,
Marquant le temps d’ocre jaune et de roux.
La rouille aurait un charme fou
Si elle ne s’attaquait qu’aux grilles.

Avec le temps tout se dénoue.
Que s’est-il passé entre nous,
De petit jour en petit jour?
À la première larme séchée,
La rouille s’était déposée
Sur nous et sur nos mots d’amour.

Si les fusils s’inventent des guerres
Et si les feuilles attendent le printemps,
Ne luttons pas, comme eux, contre le temps.
Contre la rouille, il n’y a rien à faire.

Moi, je la vois comme une déchirure,
Une blessure qui ne guérira pas.
Notre histoire va s’arrêter là.
Ce fut une belle aventure.

Nous ne nous verrons plus et puis…
Mais ne crois pas ce que je dis:
Tu sais, je ne suis pas en fer.
Dès que séchera la rosée,
La rouille se sera posée
Sur ma musique et sur mes vers.


le lundi 17 juillet par Patricia Nisenbaum


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16/07/2017

Dimanche en forêt

Demande à un amazonnien de te pêcher du poisson !!!!


le dimanche 16 juillet par Catherine Claude


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Le taureau de la maison de Savoie

« On dit qu’écraser d’une triple rotation du talon les testicules du taureau de la maison de Savoie porterait chance… » Le guide Michelin


le dimanche 16 juillet par John Grinling


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Portrait diurne d’un festivalier

Vivre la nuit, dormir le jour.


le dimanche 16 juillet par Justine Grespan


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le champ d’à côté

Camping sauvage, une bande de jeunes, une nuit d’ivresse, de sono trop fort, de voisins excédés. Après 2 tentatives de négociation, à 5h c’est le voisin qui sort son fusil, tire en l’air, et la musique s’éteint.

Le lendemain matin, reste des bouteilles de verre, du verre cassé, des capsules au sol, un tas de crottes et de papier au milieu du champ, et… des mégots. Des mégots dans le champ. Dans les haies, sèches. Et le feu part. Un arbre, puis 2, puis les haies, la forêt. Les jeunes sont partis, heureusement on est à côté, trop tard pour éteindre, on appelle les pompiers, on part à tout de vitesse, les enfants sous le bras. Pendant 1h, vu l’ampleur des flammes, on pense notre cabanon détruit. Heureusement le feu est parti contre le vent. Les pompiers sont arrivés vite, 4 camions, ils ont pu atteindre le foyer à travers la forêt, notre cabanon est entier.

On se rappellera longtemps encore ces 5 minutes, la vitesse et l’ampleur des flammes, notre départ précipité, et la connerie de ces jeunes.


le dimanche 16 juillet par Nicolas Spuhler


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« Petites boîtes » Graeme Allwright

Petites boîtes très étroites
Petites boîtes faites en ticky-tacky
Petites boîtes, petites boîtes
Petites boîtes toutes pareilles.

Et ces gens-là dans leurs boîtes
Vont tous à l’université
On les met tous dans des boîtes
Petites boîtes toutes pareilles.

Y a des médecins, des dentistes
Des hommes d’affaires et des avocats
Ils sont tous tous faits de ticky-tacky
Ils sont tous tous tous pareils.

Et ils boivent sec des martinis
Jouent au golf toute l’après-midi
Puis ils font des jolis enfants
Qui vont tous tous à l’école.

Ces enfants partent en vacances
Puis s’en vont à l’université
On les met tous dans des boîtes
Et ils sortent tous pareils.

Les garçons font du commerce
Et deviennent pères de famille
Ils bâtissent des nouvelles boîtes
Petites boîtes toutes pareilles.

Puis ils règlent toutes leurs affaires
Et s’en vont dans des cimetières
Dans des boîtes faites en ticky-tacky
Qui sont toutes toutes pareilles.


le dimanche 16 juillet par Patricia Nisenbaum


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16/07/2017

Machu Picchu – zone de travail


le dimanche 16 juillet par Francis Traunig


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Svp

Samedi, mariage, je fais 2-3 photos d’échauffement… Et passe pile poil devant mon objectif une rigolote boite aux lettres.


le samedi 15 juillet par Nicolas Spuhler


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« On écrit sur les murs » Demis Roussos

On écrit sur les murs le nom de ceux qu’on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur les murs à l’encre de nos veines
On dessine tout ce que l’on voudrait dire

Partout autour de nous
Y’a des signes d’espoir dans les regards
Donnons leurs écrits car dans la nuit tout s’efface
Même leur trace

On écrit sur les murs le nom de ceux qu’on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur les murs à l’encre de nos veines
On dessine tout ce que l’on voudrait dire
On écrit sur les murs la force de nos rêves
Nos espoirs en forme de graffiti
On écrit sur les murs pour que l’amour se lève
Un beau jour sur le monde endormi


le samedi 15 juillet par Patricia Nisenbaum


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Test

Gabs m’a dit qu’une photographie a surtout lieu avant, dans l’art de vivre et le regard qu’on a. Après la netteté compte, du projet et du résultat. Les questions rapidité, ouverture ou asas viennent ensuite avec leurs transats


le vendredi 14 juillet par John Grinling


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« Let’s call the whole thing off » George and Ira Gershwin

You say either
And i say either
You say neither
And i say neither
Either, either, neither, neither
Let’s call the whole thing off

You like potatoes
And i like potatoes
You like tomatoes
And i like tomatoes
Potatoes, potatoes, tomatoes, tomatoes
Let’s call the whole thing off

But, oh, if we call the whole thing off
Then we must part
And, oh, if we ever part, then that might break my heart


le vendredi 14 juillet par Patricia Nisenbaum


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« des villages noyés dans la forêt »

De passage au Musée d’ethnographie de Genève, Mopiri découvre deux photographies datant du début des années 70 parues dans un livre de René Fuerst. Une image de son village vue du ciel et une autre de l’un de ses ancêtres. C’est à cette époque que les Paiter Surui eurent leurs premiers contacts avec l’homme blanc.


le vendredi 14 juillet par Aurélien Fontanet


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M.I.A.

Melt Festival


le vendredi 14 juillet par Justine Grespan


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14/07/2017

Cusco, enfin, après vingt trois heures de voyage.


le vendredi 14 juillet par Francis Traunig


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Rouge Artiste Intense Instant

Então, quando eu falo de arte indígena contemporânea busco sempre mostrar, justificar, contextualizar, situar, evidenciar. Às vezes para alguns parece que estou falando coisa sem fundamento. Eu insisto e convido a pessoa a pensar junto comigo e abro uma estreita passagem que ela só poderá passar se aceitar o índio de hoje, não o de ontem ou o do amanhã, mas o do agora, com tudo o que ele tem e o que já não tem. Então eu uso meu bom e claro português e essa farta criatividade junto com as novas mídias e tecnologias para fazer a coisa acontecer.

Veja esse site-galeria do amigo Francis Traunig. Recebi este equipamento para mostrar o meu olhar ao mundo por meio de fotografia e poemas. Aqui tem o link para mais um trabalho colaborativo de arte indígena conterrânea com colegas não indígenas no video do amigo JPavani.

Jaider Estell

Alors, quand je parle d’art indien contemporain, je cherche toujours à montrer, à justifier, contextualiser, à mettre en évidence. Parfois, pour certains, on dirait que je parle sans fondement. J’insiste et j’invite la personne à penser avec moi et j’ouvre un passage étroit qu’elle ne pourra passer que s’il accepte l’indien d’aujourd’hui, pas celui d’hier ou celui de demain, mais celui de l’instant, avec tout ce qu’il a et ce qui Il n’en a plus. Alors j’utilise mon bon et clair portugais et cette foisonnante  créativité avec les nouveaux médias et les technologies pour faire la chose se produire…Voir ce site-galerie de l’ami Francis Traunig. J’ai reçu cet équipement pour montrer mes yeux sur le monde à travers la photographie et des poèmes. Voici le lien pour plus de travail collaboratif de l’art indigène que l’ami JPavani a enregistré.

le vendredi 14 juillet par Catherine Claude


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Fin de parcours

Je crois bien qu’il y a eu un splatch, ou un splaaatch, à l’instant fatidique.


le jeudi 13 juillet par Nicolas Spuhler


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« Je t’aime » Michel Polnareff

Quand tu dors près de moi
J’ai le cœur au bout doigts
Je t’aime

Quand tu pleures dans mes bras
J’ai les yeux qui pleurent pour toi
Je t’aime

Je te ferai dormir
D’amour et de plaisir
Viens je t’emmène
Où l’on n’emmène pas

J’allumerai des soleils
La nuit pour qu’elle soit plus belle
Je t’aime


le jeudi 13 juillet par Patricia Nisenbaum


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Les cours de Yoga, je les donne

Inès donne des cours de Yoga à Genève. Et… elle en donne aussi. Gratuitement. Au gré de ses balades dans les parcs…


le jeudi 13 juillet par Michel Bruno


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Sleepless

Fatboy Slim au Melt


le jeudi 13 juillet par Justine Grespan


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SELF-GOVERNING

Self-Governing ,

Bangsachampa

Malaysia


le jeudi 13 juillet par Catherine Claude


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« Open the door » Otis Redding

« I’ve been so wrong, so many times. Now you know what
I’m talking about. We’ve all been wrong a time in our life
And we all make mistakes sometimes of leaving what’s good for us
I made that mistake, now I’m trying to get back to my baby

Let me in, it’s killing me, baby
I got a come on in
Let me in, baby, please let me in »


le mercredi 12 juillet par Patricia Nisenbaum


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Montreux

Montreux Jazz


le mardi 11 juillet par Justine Grespan


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UPPJ: Un Pigeon Par Jour

Je voulais créer le groupe UPPJ sur Instagram. L’acronyme est déjà utilisé par un photographe qui immortalise un pigeon par jour …!


le lundi 10 juillet par Michel Bruno


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séducteur

– Hey, moi aussi je veux être dessous ! Il pleut !


le lundi 10 juillet par Pierre Montant


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« Pool with two figures »

Merci :

à David Hockney pour l ‘ inspiration ,

à Jacques et Jules pour l ‘ intelligente figuration ,

à Nicolas -qui-aime-les-splash pour l ‘idée…


le lundi 10 juillet par Gérard Dubois


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test test

Les bases de l’éclairage à 2 lampes de poches.


le lundi 10 juillet par Nicolas Spuhler


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Pas de réseau,

L’orage me surprend en chemin. Je me réfugie dans les bois. M’adosse d’abord à un sapin qui s’égoutte dans mon cou puis avise un hêtre m’a l’air bien feuillu. Je m’assieds, regarde les feuilles scintiller, écoute la forêt dégouliner… une demi-heure a passé, peut-être, l’impatience me gagne.  Je décide alors, j’en ris encore, de consulter la carte radar des pluies sur mon smartphone.  Pas de réseau, ou si peu, puis passe d’un hêtre à l’autre, lève le bras, une barre de plus, le site s’affiche, pas la carte. Ça m’occupe bien pendant un  bon quart d’heure, juste le temps pour qu’il arrête de pleuvoir.


le dimanche 9 juillet par Francis Traunig


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Sur la place…

Ils ont expédié le repas dominical. Ils attendent que les parents aient fini leurs agapes , café, pousse-café, sieste peut-être…pour partir en famille à la plage. Il est 13 heures. Ils s ‘ennuient…


le dimanche 9 juillet par Gérard Dubois


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Failli lui demander.

Oui, la Lake Parade est un inépuisable réservoir d’images pour les photographes de rue. Oui, il y a plein de belles, de beaux qui se trémoussent les attributs, s’exhibent, désinhibés par la bibine, sans doute. Oui, l’énergie collective chauffe l’atmosphère, ce soir c’est 34 degrés. Oui la zik est un peu binaire, d’ailleurs quelqu’un me dit j’me tire, j’ai cru que c’était la guerre.  Oui au milieu d’une foule on peut parfois se sentir très seul.

Que peut bien penser ce type qui pointe son doigt ? Failli lui demander.


le samedi 8 juillet par Francis Traunig


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Dès potron-minet

« rasante », « rasant », la lumière du matin porte mal son adjectif ! Dans son acception populaire, disons. Car en vrai elle plonge le photographe dans une grande alacrité…


le vendredi 7 juillet par Pierre Montant


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E200

retrouvé quelques films, un peu périmés, 10-12 ans, des piles, fourré tout ça dans un Fuji 645 Wide, fait un saut dans le bois d’à côté, posé le film chez Pierre, toujours là, à côté de sa noritsu , fidèle au poste. Traitement croisé, pour secouer les pigments, et mes arbres sont là.


le jeudi 6 juillet par Nicolas Spuhler


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Vanwho


le mardi 4 juillet par Justine Grespan


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street photo

« la street c’est chic » disait un graffiti, quelque part. L’immense Sabine Weiss dans un entretien récent expliquait qu’elle n’aimait « que les photos prises dans la rue ». C’était un mot, et ce n’est sans doute pas vrai à 100 %. Pas le plus important. Mais je serais tenté de donner raison à la grande dame, au fond, car c’est bien là qu’on s’amuse le plus, d’une part, et d’autre part que des miracles inouïs peuvent se produire. Je ne parle évidemment pas de cette photo !

Qui connaît le collectif In-public ? (pub gratuite)

Allez-y voir, des miracles, c’en est plein, ici ! http://in-public.com/


le mardi 4 juillet par Pierre Montant


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le chêne et mon frère

visite sur le  Crop Circle de Lixheim


le lundi 3 juillet par Catherine Claude


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03/07/2017

Rencontre entre Cézanne et Gérard Collomb dans Libération


le lundi 3 juillet par Francis Traunig


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L’Hirondelle

tombée du nid.

Je viens de comprendre pourquoi le chat passe ses journées à la fenêtre à guetter, sous les nids d’hirondelles.


le dimanche 2 juillet par Nicolas Spuhler


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Février 1973

Je voudrais bien avoir un appareil photo automatique où il n’est pas nécessaire de régler le temps de pose, l’ouverture, mais tout cela va arriver… Ce sont toutes ces manipulations qui n’ont pas d’importance que j’essaye d’automatiser (…)

Josef Koudelka – Février 1973


le dimanche 2 juillet par Francis Traunig


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Malagnou restera

Décoration du sous-sol de Malagnou


le dimanche 2 juillet par Justine Grespan


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Les frères Coen

L’auteur de cette image en est très groupie…


le dimanche 2 juillet par Pierre Montant


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Droit à la ville

« Maudet c’est pas notre faute si personne t’aime »


le samedi 1 juillet par Justine Grespan


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Les feux de la rampe

Hervé, de nouveau sur UPJ (jamais deux sans trois !) pour une raison simple : le voilà lauréat depuis hier du Grand Prix Photoreportage Étudiant Paris Match. Sur 20000 dossiers retenus environ, il finit premier. Étudiant, oui, était ! Après une reconversion professionnelle sur le tard, passé d’un boulot de cadre dans une boite de vente en ligne à photoreporter via une école de photojournalisme, à 41 ans. Il fallait le faire. Bravo l’ami 🙂

Le sujet qui a emporté l’adhésion du jury : http://www.hchatel-photographie.com/Entre-leurs-mains/


le samedi 1 juillet par Pierre Montant


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Des fils de potes

Manif.

ON VEUT DES LIEUX AVANT D’ÊTRE VIEUX !

Proclame une banderole.

Mômes masqués, capuches relevées.

Ça va sans doute déborder un peu dans la soirée.

Devant le poste de flics, quelques Houhhh! Houhhh !

Des fils de potes, des potes et des vieux potes défilent.

Quelques vieux punks aussi, les clous rouillés par la nostalgie.

Toute cette culture alternative qui se cherche des lieux et que l’état veut parquer dans des espaces préfabriqués sous contrôle.

Et voilà mon fils, ça ne m’étonne pas, grand flandrin, fils de boutiquier qui m’a piqué mon nez de clown.

Mais j’en ai heureusement toujours en réserve des nez de clown.

On ne sait jamais….


le samedi 1 juillet par Francis Traunig


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polémique

polémique autour du Crop Circle de Portalban

vrai ! Faux! vrai Faux ! Faux c’est  mon ressenti !

mais une belle onde de forme ou des personnes se sentent bien pour méditer.

bravo l’artiste !


le samedi 1 juillet par Catherine Claude


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