Un mois de légendes /
décembre /
janvier 2021 /
inconditionnellement
Dans la sédition du jour, des conseils enfin avisés.
Aimez inconditionnellement !
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J’ai vu que tu nous vois.
Plus de lumière, pas eu le temps de photographier aujourd’hui, sinon l’image d’une image (recadrée) prise par Lev Ravin pour le Nyc Times.
J’ai vu que tu nous vois.
Let’s make Amercia great again !
Après on verra.
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fêter en famille
Le Conseil Fédéral explique aux sourds et aux malentendants qu’il faut se serrer les coudes, penser à ceux qui souffrent et comprendre qu’un effort doit être fourni.
Par conséquent on ferme boutique !
Tous à la niche jusqu’à fin février et fêter, en famille, la première année du calendrier Pangolin.
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fondus au fond
La neige, madeleine, bonhommes de neige fondus au fond de sa mémoire, fait rire la petite fille cachée dans l’adulte.
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pour tous…
Réjouis-toi de la vie car il est déjà plus tard que tu ne le penses, car Swatch ou Patek le Temps est le même pour tous…
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d’Agata
Il est peu de photographes dont l’univers, me référant à ce que je connais et m’influence, me semble plus éloigné du mien que le sien. C’est ce qu’on se disait avec un copain après avoir passé en revue certaines de ses photos tremblées. Ces gens à la dérive, ces silhouettes étiques, rompues, flippantes.
Antoine d’Agata peut tenir des propos très forts. Par exemple, dans un article du journal Libération paru le 8 janvier 2021, cet entretien, titré « Pourquoi le noir et blanc ? » :
«Allez fouiller dans la biographie du photographe, jugez ses faits et gestes, disséquez ses motivations intimes, les risques encourus, sa part de responsabilité, la portée de ses gestes, prenez-le sur le fait. Le noir et blanc est une tradition putréfiée. Comme toute tradition, elle est un mensonge, un prétexte au confort et à l’absence de courage. Le noir et blanc n’est qu’un élément de langage qui masque le sens réel de la parole énoncée. Le style personnel, le rapport à la couleur, le sens de la composition sont insignifiants. Je ne ressens aucune affinité avec quelque technique ou esthétique que ce soit. Peu importe que l’image soit faite à la chambre ou avec un téléphone portable, peu importe la palette de gris ou de couleurs, la netteté ou le flou. Faire le choix du noir et blanc pour l’esthétique, plutôt que mettre à mal la pratique photographique, est une abjection, un leurre, une arnaque. La logique culturelle veut réduire la pratique photographique à l’apparence, mais la photographie peut être autre chose, une forme d’action qui, parce qu’elle ne requiert ni apprentissage ni savoir-faire, est le seul art immédiat qui autorise et requiert de chacun de prendre la vie à bras-le-corps, de se frotter corps et âme à l’essence de l’existence.»
C’est un peu plus chez lui qu’une invitation à regarder, fureter, flâner, s’arrêter, saisir une scène, une situation fugace et légère, bien plus qu’une simple relation ponctuelle avec un au-dehors ou quelqu’un de passage. Si ce n’est une image qui vous triture, allez voir ailleurs semble-t-il dire. Photographier procéderait d’une relation d’incandescence indéfiniment recommencée, à soi, aux êtres et aux choses. Mise en abîme de la scène photographiée, incrustation de ses propres démons sur le film ou le capteur, dans un contexte de situations difficiles, toujours, semble-t-il, et là où la souffrance exsude : il faut faire corps avec elle – pas seulement en témoigner, en être. C’est ici que mon univers, qui n’est surtout pas un dolorisme, s’éloigne du sien, mon chemin se situe ailleurs, la pratique de la photo étant chez moi un levier pour me sortir 1) la tête de l’hôpital psychiatrique où je travaille, même si je ne déteste pas du tout y être, mais la souffrance, je connais ; et 2) au-delà de ça, elle est une façon de vivre, une manière de me tenir loin de moi et de mes vieilles lunes. Dans un essai fameux Clément Rosset disait : « moins je me connais, mieux je me porte. » Aucune formule ne me rend plus joyeux. Avec un appareil photo, il se trouve que je ne m’intéresse plus trop à moi-même, ni au tragique, ni à la réalité. Le rire n’est jamais loin non plus, il y a une certaine forme de légèreté, de grâce, dans l’acte photographique, du moins on aimerait que ce soit ça – ce dont le monde hélas est bien dépourvu.
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Bú[email protected]
La unión de voluntades, permite que las ideas se transformen en acciones.
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Alibi
Un alibi à ma paresse à affronter le gris et le froid , une pensée faussement profonde : ne pas toujours faire plus, se concentrer sur moins…
Aujourd’hui, ce vestige de Noël dont se joue le vent suffit à mon bonheur…
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Il y a
“Il y a deux formes de destin : un destin vertical et un destin horizontal.”
Amin Maalouf
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07/01/2021
av. Jean Jaurès blues – ou la fugace nostalgie d’un pays, les États-Unis d’Amérique, dans lequel on n’a jamais foutu les pieds.
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Errol Flynn
Balaguier. Une histoire locale , ou peut-être une légende , raconte qu’ici mouilla quelques temps le ZACA, la goélette d ‘Errol Flynn que celui-ci loua à Orson Welles pour le tournage au Mexique de La Dame de ShanghaÏ ( 1947 ) ; le bateau est très présent dans le film ; on y voit sur son roof, Rita Hayworth, blonde, prendre des bains de soleil. Le ZACA est à présent à Monaco. On dit qu’il est hanté par le fantôme de l ‘acteur. On y entend, la nuit, des bruits de beuveries et des rires de jeunes filles…
La vie, ce cinéma.
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Ediazv calaquero & Gero
Poniendo su esencia y color, los compañeros profesionales en el dibujo, plasmas color y significado, sobre los muros de la querida Iztapalapa, sobre avenida Benito Juárez, en el Pueblo de Culhuacán, podrás admirar obras inigualables a lo largo de ésta avenida, dentro de los grandes talentos, tengo el honor de presentarlos ante Uds. a éste par de artistas.
Gracias , compas!
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Día 5
El comercio en avenidas principales, en colonias con mayor índice de contagios de COVID 19
en Iztapalapa CDMX
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Torres y San Antonio. (Iztapalapa)
UNA RODADA NOCTURNA ME LLEVO AQUÍ, « LAS TORRES, EMBLEMÁTICAS DE LA ALCALDÍA Iztapalapa (CDMX)
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sur d’autres planètes
Un signe. Elle est presque vide. C’est extra. Cette force supérieure qui voulait nous mettre à l’épreuve doit avoir la gueule de bois, jeté sa bouteille par-dessus bord, pour aller semer la zizanie sur d’autres planètes.
Lassé.
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Fly me to the Moon ( River )…
En ce premier matin de 2021, tant attendu, Laïka, réincarnée, me lance un message que j’ hésite à interpréter…
Cette nouvelle année nous offrira t -elle d’ autres horizons lointains ? Serons-nous à nouveau confinés ? Devrons-nous chercher une nouvelle planète ?…
Trop de questions pour un premier janvier.
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