Un mois de légendes /

Dr. Who, extra-terrestre

Mon bonnet du Credit Suisse, un collector ?

Je sais, mais j’ai pas besoin d’argent.

Je suis le Docteur Who, extraterrestre

Et ma femme s’appelle Ping-Pong


le vendredi 30 juin par Michel Bruno


Voir l'image /

entre autre

Benidorm, un  million huit cent mille usagers qui offrent leur derme au soleil pour cent mille locaux qui vendent chapeaux et crème solaire, entre autre.


le jeudi 29 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

Faust le protecteur

Alicia protegida por el Gran Fausto.
Culhuacán , Iztapalapa, CDMX.


le mercredi 28 juin par Rodrigo Alonso


Voir l'image /

au fond

au fond du jardin, tout au fond


le mardi 27 juin par Nicolas Spuhler


Voir l'image /

#

Juin#Bonheur#Tracteur#


le lundi 26 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

#LaRutaEsClara

Algunos compas del Dtto. XVIII

Iztapalapa. CDMX.


le dimanche 25 juin par Rodrigo Alonso


Voir l'image /

« Halface »

Bien mieux que ce navet de Scarface, à Sanremo Gérard Et Mathilda Dubois exposent ensemble dans un joli dialogue père fille.


le samedi 24 juin par Pascal Kempenar


Voir l'image /

Dolto seems oudated

Plus le temps passe plus les enfants acquièrent indépendance et autonomie précocement.

Dolto seems outdated.


le vendredi 23 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

!

Trente !


le jeudi 22 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

L’inventaire

https://www.carouge.ch/prochaine-exposition-dete-inventaire-invente


le mercredi 21 juin par Nicolas Spuhler


Voir l'image /

James Dean

La répression routière sort les grands moyens contre les chauffards en Suisse.

Haro sur les James Dean de la pétrolette.

A coups de canon.

Tout au profit de l’industrie de l’armement helvétique.


le mercredi 21 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

Dispositif…

…permettant de se protéger du soleil en créant de l’ombre à partir d’un grand écran en tissu tendu au-dessus de l’utilisateur. Elle a une forme très similaire au parapluie, qui protège de la pluie, mais n’est pas forcément imperméable.


le mardi 20 juin par Gérard Dubois


Voir l'image /

Sylvain

qui a fait vibrer toute l’assistance.


le mardi 20 juin par Nicolas Spuhler


Voir l'image /

« My Beautiful Laundrette »

https://fr.wikipedia.org/wiki/My_Beautiful_Laundrette


le lundi 19 juin par Pascal Kempenar


Voir l'image /

Ici.

Dans l’abîme de la misère ou la mise en abyme de l’exclusion.

Par la photographie.

Ici.


le lundi 19 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

« Miss Misery »

Il y avait trop longtemps que je ne m’étais offert une journée « Doinesque », à déambuler sans but ni destination dans ma ville bien-aimée. J’ai bien d’autres photographies, plus douces, plus belles mais c’est pourtant celle-ci que je retiendrai. Je ne sais toujours pas répondre à ce dilemme, la faire, ne pas la faire ? Alors je me réponds rapidement, imparfaitement, en respectant l’anonymat de ce malheureux. Réponse qui à froid ne me satisfait pas. Trop facile. C’est la dernière photo prise aujourd’hui.


le dimanche 18 juin par Pascal Kempenar


Voir l'image /

Danseuse

 » Elles photographient »./ 5 femmes photographes de l’ Agence Magnum:

Eve Arnold, Nanna Heitmann, Susan Meißels, Inge Morath, Marilyn Silverstone.


le samedi 17 juin par Gérard Dubois


Voir l'image /

Et pourtant

Soixante quatre. Et pourtant, soixante c’était hier. « Nous qui avons tellement d’espace et si peu de temps, nous nous ferons nomades* ».

*Annie L B.


le samedi 17 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

13/06/2023

et parfois je fais des essais..


le mardi 13 juin par Nicolas Spuhler


Voir l'image /

Le vent purifie la route

Proverbe hindou


le lundi 12 juin par Michel Bruno


Voir l'image /

Ô ! Qui dira les torts de la rime ?…

La phrase-titre est de Paul Verlaine qui inventa la formule de  » poète maudit  » qui fit florès par la suite…Il a aussi écrit :  » Prends l’éloquence et tords lui le cou ! « 


le lundi 12 juin par Gérard Dubois


Voir l'image /

Barbara

https://barbaragoldenberg.com/


le dimanche 11 juin par Nicolas Spuhler


Voir l'image /

noyaux de cerises

Sixième édition du CRACHER de noyaux de cerises de Mategnin.

Grand vainqueur Noé Mujica.

Suivi de Karène.

Prix de consolation Aline.

Prix junior : Liam et Sofia.


le dimanche 11 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

Back stage / PCR…

Shooting du PCR, entendez le Petit Chaperon Rouge ( revisité ).

Avec Marc aux manettes,

Et Anne Estelle en vedette.


le dimanche 11 juin par Gérard Dubois


Voir l'image /

Matriochkas

Matriochkas.

Dans toute petite fille niche une grand-mère.

Le contraire ça fonctionne aussi.


le samedi 10 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

l’autre je sais plus…

Un des deux klebs s’appelle Crack, l’autre je sais plus…


le vendredi 9 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

Peut-être ne sais-tu pas que Rose-Marie

Peut-être ne sais-tu pas que Rose-Marie, aussi farouchement indépendante que tu l’étais, se meurt à cent mètres des trottoirs que vous arpentiez.

Elle ne laissera rien, n’a pas de dernière volonté, ne sais plus qui elle est; la mort est assise sur le bord de son lit.

Je lui lirai ton poème MORT D’UNE PUTAIN que tu as écrit pour tes sœurs :

Enterrez-moi nue

Comme je suis venue

Au monde hors du ventre

De ma mère inconnue

Enterrez-moi droite

Sans argent sans vêtements

Sans bijoux sans fioritures

Sans fard sans ornement

Sans voile sans bague sans rien

Sans collier ni boucles d’or fin

Sans rouge à lèvre ni noir aux yeux

De mon regard fermé

Je veux voir le monde décroître

Les étoiles le soleil tomber

La nuit se répandre à sa source

Et m’ensevelir dans sa bouche

Muette la dernière couche

Où m’étendre enfin solitaire

Comme un diamant gorgé de Terre

Me reposer dormir enfin

Dormir dormir dormir dormir

Sans plus jamais penser à rien

Mourir mourir mourir mourir

Pour enfin rejoindre ma mère

Et retrouver dans ton sourire

L’innocence qui m’a manqué

Toute une vie à te chercher

Te trouver pour pouvoir te perdre

Et te dire que je t’aimais

17 avril 2005 – Les Sphynx – Éditions Gallimard, Collection Verticales 


le jeudi 8 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

3 minutes…

J’ai mon cadre et la lumière.

J’attends.

3 minutes.

Et le parme agit…


le jeudi 8 juin par Gérard Dubois


Voir l'image /

Et que moussent rires et binches.

Abstraction plastifiée de la mort de l’animal.

Pour le plaisir de grillades entre amis.

Et que moussent rires et binches.

Sans trop y penser.


le mercredi 7 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

Miss Misery

C’est un Marseille que la plupart des locaux ignorent, méconnaissent ou pire méprisent. Sur les trottoirs défoncés de la rue de Lyon, se vend pour rien tout un bric à brac à la Prévert (ce grand Monsieur…). Je m’y suis rendu à quelques reprises afin de savoir si c’était un marché de la rapine. Il n’en est rien, c’est un étalage hétéroclite de cocottes minute fatiguées, de vestes élimées, de chargeurs récupérés dans nos poubelles, presque de l’art contemporain. Il s’agit de survivre, de récupérer quelques euro quotidiennement. De l’argent de pauvre dans la seconde ville de France. Et dans ce même quartier, les promoteurs démolissent, repoussant plus loin (où ?) ces damnés de la terre. Demain sortiront de terre bureaux et logements pour cadres pressés managers d’open space.


le mercredi 7 juin par Pascal Kempenar


Voir l'image /

#noname 2102

Sport, santé, bon air…


le mardi 6 juin par Pascal Kempenar


Voir l'image /

prefer

I would prefer not to…


le mardi 6 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

Keskecé ?

Le Covid ? Keskecé ?


le lundi 5 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

Diego…

« Diego Armando Maradona fue adorado no sólo por sus prodigiosos malabarismos sino también porque era un dios sucio, pecador, el más humano de los dioses. Cualquiera podía reconocer en él una síntesis ambulante de las debilidades humanas, o al menos masculinas: mujeriego, tragón, borrachín, tramposo, mentiroso, fanfarrón, irresponsable. Pero los dioses no se jubilan, por muy humanos que sean. Él nunca pudo regresar a la anónima multitud de donde venía. La fama, que lo había salvado de la miseria, lo hizo prisionero ». Así puede leerse en el libro póstumo ‘Cerrado por fútbol’ del uruguayo Eduardo Galeano, publicado en 2017. En ese texto el escritor oriental agregaba: « Maradona fue condenado a creerse Maradona y obligado a ser la estrella de cada fiesta, el bebé de cada bautismo, el muerto de cada velorio. Más devastadora que la cocaína es la ‘exitoína’. Los análisis, de orina o de sangre, no delatan esta droga ».


le lundi 5 juin par Gérard Dubois


Voir l'image /

Les Improbables

en concert ce soir _(enfin hier…) le 4 quoi.


le dimanche 4 juin par Nicolas Spuhler


Voir l'image /

d’écrits

Cabane d’écrivains que la Fondation Michalski met à disposition pour les accouchements d’écrits.


le dimanche 4 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

Pedro Barbaste

La destreza de un malabarista no solo radica en la habilidad para mantener en el aire objetos en constante movimiento, sino en la precisión y el ingenio con los que logra captar la atención de su público, transformando el arte de la coordinación y el equilibrio en un espectáculo cautivador. Cada movimiento es el resultado de horas de práctica, dedicación y una pericia que solo unos pocos logran alcanzar, demostrando que, en cada truco, existe una técnica cuidadosamente perfeccionada.

Además, su espíritu nómada lo lleva a presentarse en distintos rincones del mundo, enriqueciendo su arte con cada lugar visitado. En cada ciudad y espacio, el malabarista deja su huella, adaptándose a nuevas audiencias y culturas, y convirtiendo cualquier escenario —ya sea una plaza, una calle o un teatro— en su hogar temporal. Este modo de vida refleja su compromiso con el arte y su capacidad de conectar, sin fronteras, con quienes tienen la fortuna de presenciar su habilidad en acción.


le samedi 3 juin par Rodrigo Alonso


Voir l'image /

formidable

La formidable Madame Propre, nonagénaire, toujours l’œil ouvert, en chasse aux détritus.


le vendredi 2 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

Ce col…

… Claudine a une histoire hors du commun, tout comme son alter ego, le col Peter Pan pour les anglo-saxons. C’est en 1900 que ce col, qui existait déjà avant, se voit gratifié du nom de col Claudine. Colette, la femme de lettres française, est à l’origine de cette appellation. Celle-ci a porté ce petit col bien sage sur la couverture de son livre publié en 1900, Claudine à l’école. Pour son lancement, l’écrivaine incarne son personnage principal et se fait photographier avec ce joli col sur l’uniforme d’écolière qu’elle a décrit. Depuis, ce type de col, plus ou moins grand, avec bords arrondis ou seulement en forme de pointes droites, se nomme col Claudine pour les gens de langue française.

Quant au nom de col Peter Pan pour ce même petit col, il tire son origine de celui que portait l’actrice Maude Adamsdans son interprétation de Peter Pan en 1905. Le col Peter Pan a connu un grand succès aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Il est toujours apprécié par la gente féminine de langue anglaise.

Puis, dans les années 50, le col Claudine reprend le devant de la scène avec l’actrice Audrey Hepburn qui le fait désormais entrer dans la légende porté sur son chemisier rouge. Le col s’émancipe alors et de sage et modèle, il s’éclate sur du rouge. Et, encore, avec les sixties on ose l’agencer avec la mini-jupe.  C’est cette version très rock’n chic que portera la sublime Twiggy, l’un des mannequins les plus célèbres de cette décennie, originaire du Royaume-Uni.

Les designers du monde entier se le réapproprient, le revisitent et l’offrent en diverses versions pour le plus grand bonheur de toutes. Il est revenu en force depuis le début de 2010. Carla Bruni, Lady Gaga, Alexa Chung et bien d’autres le portent et lui donnent leur couleur particulière.


le vendredi 2 juin par Gérard Dubois


Voir l'image /

#noname 2098

Il pleut à Marseille, puis il fait beau, puis il pleut encore. Le Marseillais râle, on dit « maronner » ici, il n’a jamais vu un mois de mai aussi pourri, n’a pas encore pu se dorer l’épiderme à la plage. Moi je m’en réjouis, je pense aux arbres, aux oiseaux et autres frères mammifères.
Pas grand chose dans la boite à images aujourd’hui alors que je quitte le boulot. Je suis dans le tramway quand j’aperçois au loin ce matelas qui semble marcher seul. Je descends avec hâte, et marche très vite vers cette paillasse volante. Je déclenche trois, quatre fois en évitant que la femme le portant soit visible sur mes images. Elle fait encore trente mètres quand un homme vient l’aider à poser cette charge humide dans un coin de Belsunce. J’essaie d’engager le dialogue qui s’avérera vain. Ils sont Albanais. Ils me parlent mais je n’y comprends rien, nous nous sourions. Je pars spleen en poche, même si j’ai conscience que la photo sera bonne. La misère est photogénique. L’art est union ?

le vendredi 2 juin par Pascal Kempenar


Voir l'image /

lui-même

Rencontre d’un cavalier motorisé éperdument habité par la mise en scène de lui-même (que le petit parasol planté sur le guidon rend sympathique).


le jeudi 1 juin par Francis Traunig


Voir l'image /

Les basses faisaient…

…BOUM / BOUM / BOUM…


le jeudi 1 juin par Gérard Dubois


Voir l'image /