Un mois de légendes /

super

La super équipe fête le départ du non moins super Alexis qui va nous manquer.


le mardi 30 avril par Francis Traunig


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#noname 74

« Franck », Marseille.


le lundi 29 avril par Pascal Kempenar


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Partir c’est mourir un peu …

… Mais mourir c’est partir beaucoup

Alphonse Allais


le dimanche 28 avril par Michel Bruno


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L’effet papillon de quelques gouttes de pluie à Mexico

Aéroport fermé à Mexico City pour 3 heures, en raison de 3 gouttes de pluie. C’est vrai que la saison n’a pas encore officiellement commencé.

L’avion pour Francfort part à 2h du matin au lieu de 20h. La correspondance pour Genève ? Ca va, j’arrive à 18h45 et le dernier vol pour Genève est à 21h.

Au Customer Service de Lufthansa: Ja ihr Flug nach Genf ist um neun Uhr… aber morgen !

Avec la nuit d’hôtel en bordure de piste, ça fera une durée de 33h porte à porte pour rentrer de Mexico…


le samedi 27 avril par Michel Bruno


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moment

Mais caramba, qué passa ?

C’est pour fêter ses quinze ans !

Et les nuages au même moment ont fait place aux derniers rayons du soleil…mexicain.


le samedi 27 avril par Francis Traunig


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Puedes imaginar una imagen ?

Extraordinaire expo de photos au Centre de la Imagen à Mexico.

Son titre: Pouvez-vous imaginez une image ?

Pour nous aider dans la démarche, une succession de 13 salles vides, avec quelques spots ici et là.

Et une quinzaine de gardes en uniforme pour répondre à nos questions existentielles…


le vendredi 26 avril par Michel Bruno


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la queue des avions

La croix, un symbole qui survole le monde en tout grand sur la queue des avions de Swiss, sur mon passeport, dans ma poche sur les pièces de 5 francs. On la retrouve aussi, cramée, dans Notre Dame, sur les bords des routes de bleds paumés, dans les chambres à coucher, dans les cimetières…

C’est dingue qu’un instrument de supplice aussi abominable soit pareillement vénéré.

Il serait temps que ça change et qu’on mette de côté notre culpabilité d’avoir supplicié le fils de Dieu – c’est peut-être pour ça, pour se venger, qu’il nous a envoyé Trump.


le vendredi 26 avril par Francis Traunig


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Le cumul des mandats

Scouts ( d’ Europe) et marins…


le jeudi 25 avril par Gérard Dubois


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familiales

Belle tension entre les bleus et les ocres, entre les jaunes et les noirs entre les nœuds simples et les nœuds doubles entre la brique et le mur.

Allégorie de certaines relations familiales.

Jette ma fille.


le mercredi 24 avril par Francis Traunig


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C ‘est ma faute, c ‘est ma très grande faute d ‘orthographe…

Voilà comment j ‘écris

Je meuble(S).

Merci Prévert.


le mardi 23 avril par Gérard Dubois


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papillons

Vacances à Morelia ex Valladolid, repaire des papillons Monarques.

Ces papillons, à la couleur orange prédominante, migrent chaque année sur plus de 4 000 kilomètres, depuis le Canada et le nord-est des États-Unis jusqu’au Mexique pour passer l’hiver. De 100 à 200 millions de papillons se déplacent ainsi à une distance de 120 km par jour.

Cinq générations successives de papillons sont nécessaires pour accomplir ce long périple. La durée de vie moyenne des quatre premières générations est de deux à trois semaines, alors que la dernière génération – celle qui termine la migration- vit environ huit mois !

Il existe différentes hypothèses sur le fait que ces papillons puissent retrouver leur chemin, comme le fait qu’ils soient guidés par la position du soleil, ou qu’ils possèdent un capteur de champ magnétique terrestre, mais aucune n’a été prouvée et l’orientation des papillons monarques constitue l’une des plus grandes énigmes de la nature qui n’a jamais été résolue par les scientifiques.

A la fin du mois de février, c’est la période de reproduction qui commence, alors que les papillons sont pleins d’énergie et ont fait leur réserve nécessaire de graisse. Puis, fin mars, les papillons migrent cette fois vers le Nord.

Source web


le mardi 23 avril par Francis Traunig


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Gino

Le lézard vert de l’ain


le lundi 22 avril par Nicolas Spuhler


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Cortès

Brave et en confiance, intrépide et sans peur.

Conquise par Cortès en 1521, par John Huston en 1984 pour tourner Au-dessous du Volcan et ensuite par des milliers de touristes, il n’est pas facile pour tout le monde de tracer son chemin dans les ruelles de la charmante Tepoztlan où toute la ville de Mexico semble s’être donnée rendez-vous.


le samedi 20 avril par Francis Traunig


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à moins que…

Jésus s’appelle Daniel.

Comme le petit garçon chantant rencontré la veille.

C’est sûrement le hasard, à moins que….


le vendredi 19 avril par Francis Traunig


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vols à main armée.

Visite de Teotihuacán, le plus grand site archéologique de la Méso-Amérique. Le Lonely Planet met en garde les-comme-nous de rejoindre le site avec une ligne de bus régulière car ces bus sont parfois le théâtre de vols à main armée.

Et c’est le petit Daniel qui fera  main basse sur un billet de vingt pesos en nous interprétant une ranchera tout en suçotant une glace.

Grand moment de bonheur.


le jeudi 18 avril par Francis Traunig


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Rodolphe

Burger à Chateaurouge. Wouaw.Merci.


le samedi 13 avril par Nicolas Spuhler


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noblesse

Mettre en péril ses poumons pour sauver des pigeons, la noblesse des fumeurs.


le vendredi 12 avril par Francis Traunig


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I only wanted to see you…

…Underneath the PURPLE  RAIN.


le mercredi 10 avril par Gérard Dubois


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Courez-y !

Célimène et le Cardinal de Jacques Rampal Avec Sofia Verdon et Gil Rossion.

Mise en scène par Jean-Pierre Passerat.

Au Théâtre des Grottes jusqu’au 14 avril.

Courez-y !


le mardi 9 avril par Francis Traunig


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30e

Regardez au 30e de sec, on peut avoir de jolis flous…


le lundi 8 avril par Nicolas Spuhler


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Antoinette, Bill et Léonor.

Antoinette, Bill et Léonor.

Me voilà pendant bien vingt minutes à guetter Bill, sa belle gueule, son menton volontaire, ses cheveux courts soignés. Bill porte sur le dos un sac de l’armée américaine kaki, et en bandoulière un amplificateur de voix. Il proclame l’amour du Christ à plein tube. Il est mort pour vous, sur la croix, il vous aime. In English of course, brame-t-il au milieu d’une indifférence générale. Alors arrive Antoinette qui s’est fait virer de chez elle parce qu’elle n’avait plus les moyens de payer son appartement. Fait l’aumône pour pouvoir passer une nuit après l’autre à l’armée du Salut. Elle regarde Bill, mais Bill ne la voit pas, trop absorbé à dispenser l’Amour immense dont il est le dépositaire. Tout occupé aussi de filmer avec sa GoPro fixée sur une des brettelles de son sac à dos. Bill doit aimer le cinéma. A moins que….

Je rengaine mon boitier, galope vers Le Passage des Lions et là je sais que fidèle toujours elle m’attend, m’apaise, avec une candeur qui me fait à chaque fois rougir. Je sais qu’elle n’est là que pour moi. Mais pas cette fois. Un zigue la zieute. Je crie, casse-toi, laisse-la. Fous la paix à Léonor. Mais rien à faire. Il ne bouge pas et Léonor continue à sourire au mec qui la regarde. Je suis sûr qu’il est encore là-bas, à se raconter des trucs, dans Le Passage des Lions.


le lundi 8 avril par Francis Traunig


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LES FILS DU FACTEUR

Aujourd’hui :

Kathy et Fritz viennent fêter Hanny.

Aujourd’hui :

Les amis et LES FILS DU FACTEUR viennent fêter Hélène.

Aujourd’hui :

On s’est bien marrés malgré la pluie.


le dimanche 7 avril par Francis Traunig


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Le

Le carnaval des soldes merdiques éternels.


le samedi 6 avril par Francis Traunig


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Le

Le carnaval du printemps.


le vendredi 5 avril par Francis Traunig


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évaporée

Small Talks lors du vernissage du second roman de F.B. Les Immortelles.

Cette jeune femme au centre de l’image a retenu toute mon attention car elle promenait en laisse un Fuji X100T.

Mais un peu plus tard, un peu plus loin, elle s’était évaporée sans que je puisse lui demander quel type de rapport elle entretenait avec son boîtier.


le jeudi 4 avril par Francis Traunig


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!

Père et Fille !


le mardi 2 avril par Francis Traunig


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toujours

L’adorable Stelina (que j’ai toujours envie d’appeler Olive parce qu’elle me fait penser à la femme de Popeye) et Pietro en hôtes attentifs, nous comblent de lasagnes.


le lundi 1 avril par Francis Traunig


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