Un mois de légendes /
juillet /
août 2025 /
septembre /
Ça fonctionne aussi en forêt.
Les marinières que portent les matelots et les pêcheurs sont toujours rayées pour que, lorsqu’ils (elles ou iels) tombent à la mer ont puissent plus facilement les repérer.
Ça fonctionne aussi en forêt.
Voir l'image /
GamMAH
…conférence de Mathias P. et Hélène H. et Michèle F.au GamMAH titrée : Art et Monuments dans l’espace public.
Voir l'image /
Je vous salue, Miquette !..
Le 11 mai 2013, un groupe d’anciens marins appose une plaque en hommage à une ancienne prostituée. Toulon devient donc la première ville du monde à rendre les honneurs à une travailleuse du sexe.
Voir l'image /
Head
tête ou nombril, parfois la multitude d’artistes conceptuelo-questionneurs autocentrés sans attention pour l’image m’emmerde un peu
Voir l'image /
C.A.
Trabajar con Alberto me confirmó algo simple y poderoso: los enfoques pueden ser distintos y, justo por eso, el resultado es más rico. En poco tiempo aprendimos a escuchar, sumar miradas y decidir con calma, siempre con propuestas claras. Entre pendientes nos quedó un festejo atrasado, pero no olvidado: hoy celebramos su cumpleaños —y la Directora se encargó de que al compa Beto no le faltara pastel ni aplausos—. Gracias, Alberto, por poner el equipo por delante y recordarnos que la diversidad de ideas es nuestra mejor herramienta.
Voir l'image /
Shelby
A qui je n’ai pas demandé d’autorisation, aucune aucune, ni pour la photo, ni pour la diffusion. Pourtant il est à poil.
Voir l'image /
(à très bon compte)
L’échec du traité de Genève sur les plastiques n’est qu’un demi-échec.
Parce que bien employé et à très bon compte, le sac plastique peut sauver des vies en nous protégeant de la pollution atmosphérique, des microparticules que relâchent dans l’atmosphère les pneus de voitures, des prochaines pandémies de Covid et de toutes les maladies infectieuses encore inconnues.
https://www.letemps.ch/monde/l-echec-des-negociations-sur-le-plastique-a-geneve-nouveau-coup-dur-pour-le-multilateralisme
Voir l'image /
Rose bonbon(s)
Rose bonbon est un nom de couleur de fantaisie désignant une nuance de rose clair assez mal définie.
L’expression rose bonbon est attestée en 1894[1]. On note aussi vers la même époque la « couleur bonbon », rose ou couleur « bonbon fondant », sans indication de ce que pourrait en être la nuance. En 1935 le Lyon médical mentionne une « couleur bonbon anglais à la framboise[2] », qu’on peut sans doute considérer comme une indication. Auparavant, chez les frères Goncourt, bonbon est pratiquement synonyme de rose[3].
Il apparaît fréquemment à certaines époques dans la mode féminine. Hors de ce contexte, il est souvent employé dans un sens péjoratif.
Voir l'image /
En fait
En fait le sac en plastique est un être nouveau, une création à part entière qui a échappé à son créateur et peut vivre bien plus longtemps que lui. Il étend son empire sur le monde jusqu’au fin fond des déserts, des océans, jusqu’au sommet des plus hautes montagnes. Son existence agressive, bien plus qu’à l’époque des dinosaures, mais bien plus vaporeuse et futile, étendra sa domination sur terre pour des millénaires lorsque le plastique aura enfin digéré les derniers spécimens de l’espèce humaine.
A chacun son tour !
Voir l'image /
Rocio y Fernando , trabajando
Fernando no era solo un compañero de trabajo: era de esos que hacen que el día pese menos y la carga se vuelva más ligera. Siempre dispuesto a tender la mano, con la palabra justa para calmar o animar, y con esa forma de ver las cosas que invitaba a encontrar soluciones en lugar de problemas.
Su entrega no se medía solo en horas, sino en la calidad de su presencia: en cómo escuchaba, en cómo entendía y en cómo trabajaba por el bienestar de todos. Fernando creía en el trabajo bien hecho, pero también en la importancia de que ese trabajo sirviera para algo más grande que uno mismo.
Queda en nosotros el ejemplo que dejó: la calma ante la tormenta, la disposición para ayudar y la certeza de que, con voluntad y respeto, se puede construir algo mejor.
Hoy confiamos en que Fernando está con el Creador, en un lugar donde el descanso es eterno y la paz no se interrumpe. Que su espíritu, ahora libre de todo peso, siga acompañando a quienes lo recordamos con cariño.
Voir l'image /
…au matin
… le 6 août au matin, à 8 heures 15, il y a 80 ans à Hiroshima, little boy a assassiné plus de 200 000 personnes.
Voir l'image /
Elle
Elle n’en peut plus, pleure, c’est trop lourd, elle a mal aux pieds, elle veut rentrer, en plus ce pays, la Suisse, ne lui plait pas.
Voir l'image /
Teocelo, Veracruz — Fiesta de la Asunción.
“Asunción”, del latín assumptio: ser elevada. Y aquí se eleva la imagen, pero también las manos que la cargan. Sobre las andas —plataforma cuyo nombre recuerda el verbo “andar”— son hombros de mujeres los que hacen caminar a la patrona: paso firme, respiración compartida, el peso vuelto ritmo. Desde inicios de agosto llega la flor; el 14 se alza el arco floral frente al templo; el 15, la procesión cruza las calles entre alfombras de aserrín, música y desfiles. Tradición centenaria que no sólo celebra un dogma: confirma una comunidad.
A la manera de Gutierre Tibón, diría que los nombres guardan memoria y orientan: este nombre, Asunción, nombra el deseo de levantar lo que amamos. Cada agosto, sin prejuicios y con alegría, ellas sostienen la imagen y, con ella, sostienen la memoria del pueblo. Comunidad en movimiento.
Voir l'image /
Juan , Alejandra y Juan José.
3 de agosto.
A la orilla del río entiendo —como diría Gutierre Tibón— que los nombres son raíces que recuerdan de dónde venimos. Juan, del hebreo Yôḥānān, “la gracia”; Alejandra, del griego “la que protege”; Juan José, doble promesa: la gracia que añade. Con esos nombres camina mi familia de Teocelo, Veracruz; desde la Ciudad de México me sé afortunado de seguir trenzando el hilo.
La fotografía no es sólo un recuerdo: es un acta afectiva. Mantener el vínculo es preguntar por las historias, aprender los apellidos, escuchar a los mayores sin prejuicios y con calma, y proponer que la juventud crezca con raíces claras. Entre rocas y hojas húmedas confirmo que familia es compañía y tarea: cuidar lo que nos nombra y reír juntos —como cuando volvemos al río y el tiempo se hace cercano.
Voir l'image /
Mi sobrina
Meredith aparece en la cocina tibia de Teocelo como quien abre un libro de familia. Su nombre —viajero, de antiguas lenguas— me recuerda que los nombres son brújulas: nos orientan hacia los nuestros. A la manera de Gutierre Tibón, pienso que cada apellido es un puerto y cada fotografía, un acta afectiva: confirma que venimos de algún sitio y de alguien.
Ella es mi sobrina y también mi amiga; con ella comparto risas, guerras de espuma y el pequeño ritual de mirar el mundo por el visor. En esas escenas se aprende lo esencial: la familia no es sólo sangre, es memoria puesta en común. Conocer las raíces no encadena; al contrario, da piso para caminar más ligero hacia el futuro.
Esta imagen propone eso: cuidar el hilo que nos teje —preguntar a las abuelas, nombrar los lugares, guardar las historias— y hacerlo sin prejuicios, con calma y alegría. Que la juventud encuentre en sus raíces una promesa y no una carga.
Teocelo, Veracruz.
Voir l'image /
Les gros mangent les petits et les petits les tout petits et ainsi soit-il !
Au réveil de ce 1er août, jour de fête nationale, (alors que la foule entonnera le soir l’hymne : sur nos monts quand le soleil annonce un brillant réveil…) l’annonce de racket sur l’industrie helvétique qui va être taxée à 39% est proclamée par l’Empire Américain pour équilibrer le déficit commercial.
La Suisse vole les USA, proclame Donald.
Le même jour (alors que le 1er est un jour férié) coup de force des douanes suisses qui contrôlent tous les véhicules de retour de France voisine où les supermarchés ouverts offrent des prix évidemment beaucoup plus attractifs. La Confédération outrée par ces 39% applique finalement elle aussi la méthode Trump en faisant passer à la caisse Madame Michu qui va acheter son escalope en France parce qu’elle n’a pas les moyens de payer les prix surfaits des distributeurs suisses. Par son attitude antipatriotique Madame Michu met en péril la prospérité de son pays et sera condamnée à payer la TVA sur sa bidoche, couronnée d’une amende.
Les gros mangent les petits et les petits les tout petits et ainsi soit-il !
Voir l'image /