Art can tell stories about ourselves and the world around us
Art can tell stories about ourselves and the world around us. Conventional narratives allow only a narrow section of society to dominate our galleries – often male, Western and heterosexual. With a title that acknowledges the complexity of the task, Perilous considers the challenges and possibilities of making space for fresh voices, untold narratives and disruptive ideas. This expanded view of the collection combines many kinds of art-making and introduces exciting new acquisitions. Within it, artists draft relationships between our histories and future, creating new forms of seeing and communicating – and uncovering some unexpected, exhilarating ancestors along the way.
A gauche pour illustrer le propos de la commissaire de Perilous à l’Art Gallery de Christchurch, un autoportrait de Meg Porteaus qui représente la complexité de la figure féminine à travers l’Histoire de l’Art. Et à droite un autre autoportrait de Louise Afoa, titré Blue Calm en référence à la peinture de la renaissance italienne et en particulier à Boticelli.
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Si la photo n’est pas assez bonne…
…c’est que nous ne sommes pas assez près.
(Robert Capa, lui, disait: « Si VOS photos ne sont pas assez bonnes, c’est que vous…)
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#noname 2035
Regrets de ne pas avoir déclenché deux fois, car dans la demi-seconde qui suit j’ai été gratifié d’un grand sourire. Nous avons ensuite entamé une discussion sympathique, enrichissante et surprenante. Le genre de moment photographique qui me ravit et fait ma journée.
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Peter K, c’est mon héros
Peter K., est devenu un héros après s’être joué de 200 policiers lancés à ses trousses pendant 10 jours. Le forcené de Bienne refusait la vente forcée de sa maison.
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(comme la plupart d’entre nous)
Rencontré Donna à Newport dans son établissement Nipp-iLicious qui propose de la cuisine japonaise. Son mari Shoei Dohi est aux fourneaux. Je suis intrigué par le triptyque représentant la beauté formelle d’une cérémonie de mariage japonais.
Oui c’est nous ,il y a très longtemps !
J’apprends que Donna est également photographe de mariage et qu’elle préfère, (comme la plupart d’entre nous), se planquer derrière son appareil plutôt que poser, mais accepte avec gentillesse de faire une exception pour moi.
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bras dessus, bras dessous
Pour la carte postale, le Mont Cook et le Mont Tasman, bras dessus, bras dessous.
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Il m’aurait ri au nez
Mon grand-père dirigeait une succursale de la Banque populaire suisse à Saignelégier, dans le canton du Jura. C’était la 4ème grande banque en Suisse, aux côtés de l’UBS, de la SBS et du Crédit Suisse. Toutes AAA. Si je lui avais dit qu’en 30 ans, sa banque allait se faire racheter par le Crédit Suisse, pour se faire elle-même avaler par UBS, qui avait au passage gobé la SBS, il m’aurait ri au nez.
Aujourd’hui, il doit se retourner dans sa tombe.
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« J’ai faim svp »
Midi, je me presse pour aller déjeuner aux terrasses du port, temple commercial certainement aux mains rapaces des fonds de pension Américain, comme tant d’autres en France. Ce pays aux gaulois réfractaires mais où les Américains adorent investir. Va comprendre manu ? Je vois cet homme, la lumière et surtout son visage qu’il cache avant même que je n’arrive à sa hauteur. Je déclenche, vite, sous le regard forcément désapprobateur de quelques passants. Je m’attends à être interpellé vertement. Il n’en sera rien. Je photographie le réel avec ce que je suis, mes biais cognitifs, mon histoire familiale, je me rappelle « d’où je viens », de mes origines « Working class Hero ». Je ne renie rien. Je fais cette photographie car cet homme, cette misère est là devant nous et que j’ai le droit de la faire. Demain je photographierai peut-être un sourire d’enfant, un oiseau, un digne vieillard. Peu importe, je ferai une autre photo.
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Partage des eaux
Cette jeune femme aux cheveux bicolores me renvoie dans le passé…
1981 , à la proue du bateau qui, parti de Leticia, en Colombie , m’emmène à Manaus au Brésil, je me prends sans le savoir pour Fitzcarraldo…La nuit, dans le hamac, je m’essaie à traduire Chronique d’une mort annoncée qui vient de paraître à Bogota…L’année suivante Gabriel García Márquez sera lauréat du prix Nobel, et nous suivrons à la télévision l’absurde guerre des Malouines…
Ici, en amont de Manaus, le Solimoes rencontre le Rio Negro.Les eaux ocres du premier vont côtoyer, dans un même lit le flot noir du second, sans se mélanger , pendant des dizaines de kilomètres.Ensemble ils vont former le formidable fleuve Amazone…
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Emouvantes de vérité
Les ronces dans ma bouche: un dialogue criant de vérité entre une mère désespérément aimante et sa fille toxico. Sophie Lukasik et Emilie Cavalieri jouent à merveille au Théâtre Les Amis à Carouge, jusqu’au 19 mars.
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Invercagill
Convergence de cultures à Invercagill, la ville la plus australe du monde.
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comme une truite
Sea lion qui rugit comme un fauve mais peut-être vif comme une truite.
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Grimpeurs
Une équipe de trois costauds vient tailler les arbres. J’apprends que l’on ne dit plus ELAGUEURS, mais ARBORISTES GRIMPEURS…
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!
Albatros Royal, trois mètres d’envergure peut parcourir des milliers de kilomètres sans jamais se poser !
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Le long de la Yarra River
Rencontres du jour à Melbourne :
Au petit déjeuner : Guilhem et Valentine, véritables et sympathiques routards qui parcourent le monde dans toute sa largeur.
Yves, à Elizabeth street, sa gentillesse sans limite et sa passion immodérée pour le chocolat.
Le long de la Yarra River, le Père de Julien Assange, usé par la tristesse.
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derrière sa charrette
Mars, Dieu de la guerre, traine ses casseroles derrière sa charrette depuis belle lurette.
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