Un mois de légendes /

triomphe

Visions du Réel triomphe du virtuel.

https://www.visionsdureel.ch/


le mercredi 31 mars par Francis Traunig


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Kid

Je crois qu’elle chantait Kid, d’Eddy de Pretto.


le mardi 30 mars par Nicolas Spuhler


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Si tu aimes les ongles, mange ceux des autres

Il ne faut pas manger tes ongles parce qu’ils sont à toi.


le mardi 30 mars par Michel Bruno


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Qui chaque jour

« Je suis la fidèle compagne

Du travailleur intelligent

Qui chaque jour dans la campagne

Cherchait son petit contingent »

Le Facteur Cheval – Ode à sa fidèle brouette


le mardi 30 mars par Francis Traunig


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A4

Molle insurrection sur A4 ? Fake news ? Ou poisson d’avril ?


le lundi 29 mars par Francis Traunig


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Ser feliz

 » La felicidad es eso : decidir ser feliz. »/ FK.


le lundi 29 mars par Gérard Dubois


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27/03/2021

Cent soixante cinq ans à elles deux, Claire et Catherine, pianiste et chanteuse, vives et lumineuses, ont offert un lied de Mozart* (rare paraît-t-il) à un tout petit auditoire conquis.

*Mozart en antidépresseur sans contre-indication,  consommé sans modération, pourrait probablement signer la fin d’une partie de l’industrie du médicament.


le samedi 27 mars par Francis Traunig


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Bashô saurait.

J’observe, assis rue du Mont-Blanc sur un banc, la rue, les gens, le mouvement de la vie. Mon café à la main me la réchauffe. Nulle part où aller pour un moment de quiétude, qui serait cet entre chez soi et le travail, puisque tous les cafés et lieux de convivialités sont encore fermés. (…) Il y a des élégantes, des pressés, des nez en l’air, des portes-gobelet, des enjoués, des sérieux, des natures de toute sorte qui suivent une trajectoire connue d’eux seuls, peut-être pas, comment le savoir ? Le chaos sonore d’un chantier enveloppe ce tableau. Vers quoi porter le regard ? Comment choisir ? que cadrer pour ne pas exclure ? Quoi consigner de ce bal ronflant et visuel baigné dans la lumière du matin ? Mille mots, dix mille n’y suffiront pas, ni autant de photographies. Et d’ailleurs, avant tout, comment raconter l’immobile beauté de ce nouveau venu éclatant, transplanté par décision administrative d’un fonctionnaire un peu poète, un Magnolia Stellata, étoilé.

Bashô saurait.


le vendredi 26 mars par Francis Traunig


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C’est tout bénéf pour tous.t.e.s.

Rue de Berne stoïque qui se fait tondre le goudron, refaire les trottoirs et passer au vingt à l’heure. Commerçant.e.s,  péripatéticiennes et péripatéticiens pourront se faire admirer les charmes et lécher les vitrines par les automobilistes à vitesse réduite. C’est tout bénéf pour tous.t.e.s.


le jeudi 25 mars par Francis Traunig


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saperlipopette

Et c’est parti. Une fois de plus. Étamines tendues dans le bleu du printemps, la vie se perpétue dans un jeu de séduction, saperlipopette, même si les bars, les restaurants, les cinémas et les théâtres sont fermés, les abeilles, elles, sont à la fête.


le mercredi 24 mars par Francis Traunig


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Mystère

Savoir parfois laisser planer le mystère


le mardi 23 mars par Nicolas Spuhler


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trop vite

…JE SUIS CELUI QUI ATTEND qu’on fasse refaire ses examens à l’architecte passé trop vite de la boîte de LEGO à la planche à dessins.


le mardi 23 mars par Francis Traunig


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Tout vient et passe

En train, la vue se vit nécessairement au passé. Les usagers du train sont en somme comme les passagers de la vie; ils sont en permanence mis à l’épreuve du ravissement. Voilà pourquoi la vision véhiculée est intrinsèquement mélancolique. Il en va sensiblement de même avec la photographie.

Clément Chéroux « Si la vue vaut d’être vécue – Miscellanées photographiques »


le mardi 23 mars par Michel Bruno


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Día 82

« El cabezota »  mi mejor vecino.


le mardi 23 mars par Rodrigo Alonso


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En forêt

A ne pas confondre avec en foiré


le lundi 22 mars par Nicolas Spuhler


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Ou les deux.

Hypermétrope ou tagueur. Ou les deux.


le lundi 22 mars par Francis Traunig


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Mortel que ton orgueil est ridicule…

… et vain.

Les vers s’engraisseront dessus ta chair pourrie.

Fai bien dès aujourd’hui sans attendre à demain

Car qui peut s’assurer d’être demain en vie ?

Grand Chalet de la Rossinière, construit en 1754, racheté par Balthus en 1977.


le dimanche 21 mars par Michel Bruno


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il y a quatre-vingts ans

Le Professeur Berchtold lança son chapeau en l’air et déclara : Je suis l’homme le plus heureux du monde…

Qui sait profiter du moment, c’est là l’homme avisé.
Goethe ; Premier Faust (1808)

…mais le tilleul sous lequel se trouvait le couple refusa de restituer le chapeau et le conserva dans les bras de ses branches alors que Berchtold, lui, refusa aux siens de relâcher ma mère. Il lui baisa les lèvres.

Passionnément, paraît-il, il y a quatre-vingts ans.

Leurs tilleuls, je les voudrais pour ma résidence, ces quelques arbres qui ne sont pas à moi, me gâchent la possession du monde.

Goethe ; Premier Faust (1808)

Elle avait 16 ans, lui quarante, admirait Goethe, et se sentait investi par le devoir d’élever, au propre et au figuré, ses jeunes pousses à l’ombre du grand écrivain.

Sans doute se prenant un peu pour lui, l’ayant beaucoup lu, il offrit à ma mère un Faust imprimé en gothique qu’elle annota comme pour durablement s’en imprégner.

Mais voilà que tourmentée par le carrousel de la passion ma mère alla se livrer à la femme de son professeur depuis longtemps condamnée au lit par une infirmité.

Bienveillante, elle dissuada la jeune nubile de brader son corps et son âme, contrairement à Faust. N’avait-t-elle pas retenu la leçon qu’avait dispensé le maître, son mari, à ses élèves ?

L’amour, pour rendre heureux les hommes unit deux personnes, pour combler leur bonheur, il en faut trois.
Goethe ; Faust II (posthume, 1832)

Lorsqu’ils se retrouvèrent, enflé de colère, Professeur Berchtold s’empara du livre qu’il avait offert à ma mère. Qu’elle lui réclama comme étant sa propriété. Alors de rage, il lui lança son Faust à la figure.

La clarté c’est une juste une répartition d’ombres et de lumière.

Goethe

 


le dimanche 21 mars par Francis Traunig


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sur

Séduction pascale neurasthénique sur fond de démagogie marchande.


le samedi 20 mars par Francis Traunig


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20/03/2021

Samedi 20 mars 2021
La bise souffle fort et pique les oreilles. Il y a urgence à venir en aide aux personnes qui sont dehors. La Caravane roule, elle distribue repas chauds, couvertures et sauve certaines situations critiques comme cet homme exposé au vent, allongé sur un banc.
D’un autre côté, ciel dégagé, Gerardo, cinquante-deux ans et sans-abri depuis trois ans à Genève, retourne au pays, le Brésil. C’était son souhait. La Caravane aide au retour quand la situation l’exige. Cependant Gerardo n’a ni famille ni amis dans son pays natal donc nous lui avons proposé d’aller rejoindre dans le Nordeste brésilien le projet de l’association Nordesta Reforestation et Éducation qui a accepté avec enthousiasme sa prise en charge.
Ému et profondément reconnaissant, Gerardo a peut-être trouvé une nouvelle famille. À présent intégré dans un projet de reboisement nous espérons qu’il vivra en paix, d’eau fraiche et de pêche.

le samedi 20 mars par Aurélien Fontanet


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d’un

Tombée d’un livre retrouvé, une image oubliée d’un autre temps.


le vendredi 19 mars par Francis Traunig


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#noname 726

Je ne saurais jamais je crois répondre à ce dilemme, faire ou ne pas faire ces photographies de la misère. Je le fais, d’instinct, sans trop y réfléchir, en essayant de respecter la dignité de ces damnés de la terre. Sans certitudes.


le jeudi 18 mars par Pascal Kempenar


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Holbein

Pense d’abord à Holbein. Puis au Che. Puis me retiens de faire une image. Je n’aime pas photographier les gens qui dorment. Puis pense à l’hôtel des Postes où nous sommes, à ce plumard en marbre qui enfin sert à quelque chose. Finalement déclenche. Le gars me jette un clin d’œil. Décontracté.


le jeudi 18 mars par Francis Traunig


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Fable…

La mouette et le pigeon.


le mercredi 17 mars par Gérard Dubois


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Día 76

#Basto
#Bel
#Ren5
#Iztapalapa
#GraffittiMexicano
*GraffittiCLANDESTINO:::::
Como sombras, en la oscuridad, de noche, trabajando como equipo, dedican parte de su vida en expresar su ser, como una buena manada encuentran su camino, se buscan, se encuentran, son uno.  CETIS #50, colaborando para el !PLAKAZO! ,


le mercredi 17 mars par Rodrigo Alonso


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un ventre jaune, un dos brun

Demandez à un crapaud ce que c’est que la Beauté, le grand beau,(…). Il vous répondra que c’est sa femelle avec deux gros yeux ronds sortant de sa petite tête, une gueule large et plate, un ventre jaune, un dos brun.

Voltaire / Dictionnaire philosophique


le mardi 16 mars par Francis Traunig


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Mais où va ce monsieur qui donne la main à la petite fille ?


le lundi 15 mars par Francis Traunig


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Tu as fumé la moquette ?

C’est ce que j’aurais répondu à un copain avec qui j’allais voir tous les ans les internationaux de tennis à Rome au début des années 70 et qui m’aurait dit: un jour, tu verras nous aurons des montres qui affichent ton degré de stress sur un téléphone portable lorsque ton joueur favori est en train de perdre. D’ici peu, on arrivera sans doute à le différencier du stress que nous accumulons lorsque la victoire est proche.


le vendredi 12 mars par Michel Bruno


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il a

Je lui ai dit :

Souris

et il a ri.


le jeudi 11 mars par Francis Traunig


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Día 69

Unidos distintos grupos de Autotransportistas, realizan el cierre de algunas avenidas en la CDMX, como demanda por mejoras en los precios del combustible, para evitar el aumento de las tarifas, así como un apoyo de parte del Gobierno Federal, para combatir estos tiempos de pandemia.


le mercredi 10 mars par Rodrigo Alonso


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On peut toujours rêver…

… d ‘Athènes ou Barcelone.


le mercredi 10 mars par Gérard Dubois


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test test

v2, à la demande de Pierre 😉


le mardi 9 mars par Nicolas Spuhler


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Día 68

Oficina de la Alcaldía de Iztapalapa.
– Algunas otras mujeres trabajan por la paridad de género desde sus distintas áreas.


le mardi 9 mars par Rodrigo Alonso


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Chat

dans la gorge


le lundi 8 mars par Nicolas Spuhler


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Día 67

Adris Pérez Cardozo
Una mujer que se manifiesta en PRO de la igualdad de Género, trabajando y sacando adelante a su familia.


le lundi 8 mars par Rodrigo Alonso


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Ho

Ho pardon, je ne m’attendais pas à ce que vous sortiez de ce vase !


le dimanche 7 mars par Francis Traunig


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Día 66

Lex.
Guardián y protector de 3 princesas, en los Héroes Cupido (Estado de México) se encuentra este gran ejemplar.


le dimanche 7 mars par Rodrigo Alonso


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plume

croisé une plume. Et un vieux scanner poussiéreux.


le samedi 6 mars par Nicolas Spuhler


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Día 65

Lugar de paz


le samedi 6 mars par Rodrigo Alonso


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avec une

Bruno, septuagénaire à la fougue d’ado, me montre son bus tout transformé maison.


le vendredi 5 mars par Francis Traunig


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« Gilles »

Pas la première fois que je croise Gilles, il joue joliment du saxo quand il n’est pas trop fatigué par le houblon et le malt. Marseille n’est pas une ville mais une succession de villages, quand on est d’Endoume on descend rarement à Belsunce, l’inverse vaut. Aussi quand comme moi tu traverses toutes ces frontières invisibles tu croises et recroises les mêmes. Zonards, mamies, minots, on aime bien la rue à Marseille et on a la jactance facile. J’aime ça. Ce soir  j’avais bien du mal à suivre les élucubrations de Gilles, mais je me foutais bien d’y comprendre quelque chose. On a partagé de l’Humanité. La dernière fois il avait voulu me casser la gueule, je lui ai dit, il s’est marré.


le jeudi 4 mars par Pascal Kempenar


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compil des images

10 ans de digital sur quelques disques


le jeudi 4 mars par Nicolas Spuhler


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Día 62

Drek Mendoza


le mercredi 3 mars par Rodrigo Alonso


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Día 60

Mi compa


le lundi 1 mars par Rodrigo Alonso


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