Un mois de légendes /

bouchon

Alexis termine avec panache ses trois ans d’apprentissage – en faisant péter le bouchon !


le jeudi 31 août par Francis Traunig


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Tradition.

Il existe une tradition, par moi établie.Tout nouvel hôte de la maison passe par la case portrait….

Joel. Suédois. Tadzio a grandi; il a pris des airs de Ryan Gosling.

Wälkomna till oss !


le jeudi 31 août par Gérard Dubois


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Chasse, pêche et tortues

Vu  2 tortues en tentant de  pêcher.


le mercredi 30 août par Nicolas Spuhler


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Cent trente cinq…

135 jurons

135 euros, pour un stationnement gênant pendant 10 minutes…


le mercredi 30 août par Gérard Dubois


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uppj

Croisé un uppjiste, qui me rappelle le sens profond de cette abréviation: un pigeon par jour.


le mardi 29 août par Nicolas Spuhler


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Jusqu’à l’aube…

Lecture nocturne. Ce qu ‘on appelle un page turner…Une Lisbeth Salander qui serait Anglaise, spécialiste des oeuvres d ‘ art , fashion victim et femme ( très ) fatale. Et d ‘une moralité élastique. Premier tome d ‘une trilogie. Demain, j ‘achète la suite…


le dimanche 27 août par Gérard Dubois


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la palme

Beaucoup d’expatriés et de fonctionnaires internationaux vivent et travaillent à Genève. Après fromage, camembert, emmenthal, c’est finally cheese qui remporte la palme.


le vendredi 25 août par Francis Traunig


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Fibre optique.

Contrôle technique.Exploration des nerfs optiques et des maculae par  tomographie à cohérence optique ( OCT ).

RAS.


le jeudi 24 août par Gérard Dubois


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et

Talentueux, voyageur, sympathique et skateboardeur…


le mercredi 23 août par Francis Traunig


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Be.

Be young. For ever…


le mardi 22 août par Gérard Dubois


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800 bases et 177 pays

« Les États-Unis disposent du plus grand contingent militaire à l’étranger : près de 200 000 hommes répartis dans 800 bases et 177 pays à travers le monde. Plus que McDonald’s ! La plupart des emplacements sont issus de l’héritage de la Seconde Guerre mondiale. »


le lundi 21 août par Francis Traunig


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UPJ enquête

Profitant des échafaudages de l’immeuble où se situe mon bureau, le voleur s’invite.

Quelques babioles disparaissent ici et là: des stylos, des timbres postes, et … les billets de banque que l’on voit dans le tableau à gauche !

Des billets de 1 ou 100 dollars canadiens ? J’ai un doute. Cette photo sur UPJ prise en 2008 me permet de le lever.

Petite consolation pour ce lupin d’Arsène: retirés de la circulation en 1973, ces billets de 1 dollar canadien valent 1.2995 dollars aujourd’hui chez les collectionneurs…


le lundi 21 août par Michel Bruno


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Pêche

Finalement les pâtes aux écrevisses attendront un peu, on a relâché la bête et ses petites copines.


le dimanche 20 août par Nicolas Spuhler


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J’ai vingt-sept chambres

Monsieur Akhihito utilise son caddy comme escabeau, un peu pour me rapprocher des nuages me confie-t-il, en gardant l’œil collé au viseur d’un Fuji XT1. Moi aussi, moi aussi, je suis Fuji que je lui lance, semi-exalté. Il descend de son piédestal, agile, intéressé. On se serre la main. Je vous ai déjà photographié trois fois, perché sur votre caddy, vous vous souvenez de moi ?

Et la conversation s’embraye, lubrifiée par la passion de la photographie. J’ai vingt-sept chambres, travaille au huit-dix inches. Linhof, Deardorff , etc… et possède  à peu près un demi-millier d’appareil photo en tout genre. Là dans mon chariot j’en ai six…

Moi deux dans mon sac, mais je ne le lui dit pas.

 


le samedi 19 août par Francis Traunig


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La nuit je mens

Alain Bashung, the one and only


le vendredi 18 août par Michel Bruno


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Six Mille Quatre Cents.

6400 ISO. Le poids d ‘une insomnie.

N’importe quoi !…


le vendredi 18 août par Gérard Dubois


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18/08/2017

Fin de semaine dure. La mort de Yann.

La vie du studio. Il est comme cette chemise, trop grand. Pour l’instant. Hier j’ai dansé , il était trop petit.

Demain, je repars 2 jours en vacances.


le vendredi 18 août par Nicolas Spuhler


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Bachar el Assad

La lumière du soir enveloppe le Bateau Genève, lieu d’accueil, de soutien et de réinsertion socio-professionnelle pour les personnes en situation de précarité. Le bateau, à quai, peut être loué pour des soirées. Ce soir c’est MONADA AFTERWORK & ART SHOW qui convie un gratin de bobos à faire la bringue.


On a le plaisir de te convier à une soirée Monada créative avec un défilé d’oeuvres d’art.
Viens profiter du cadre enchanteur qu’offre le bateau de Genève sur le lac et sa belle rade.

DJ MASTERBASS & SPECIAL GUEST RODRIGUE SOULGROOVE FROM PARIS — ALL STYLE MUSIC
BURGERS & FINGER FOOD

Le défilé aura lieu vers 19h30 avec les artistes suivants:

Nicolas Righetti — nicolasrighetti.com
Gregoire Murith — gregoiremurith.com
Auriane Margueron — auriane-artiste-peintre.ch
Pietro Maffei — visual-lab.ch
Marianne Rubio — mariannerubio.com
Emila — instagram.com/emila_artemila

en collaboration avec artplace.co

Le fameux Dj Masterbass prendra les platines pour ton plus grand plaisir ensemble avec Dj Rodrigue Soulgroove special guest de Paris. L’entrée est gratuite. Viens tôt car la capacité est limitée. Pour information le bateau de Genève reste en permanance (….) à quai.

Le team Monada et les artistes se réjouissent de t’accueillir!

 

Mon pote Nicolas me convie à cet ART SHOW où le DRESSCODE se doit d’être ARTY & COLORFULL. ART SHOW pendant lequel RODDRIGUE SOULGROOVE de PARIS nous fera bouger les graisses, vibrer les implants mammaires et cliqueter les porte-clefs de nos Cayennes.  Qu’est-ce que je fous là, sinon honorer l’amitié d’un photographe qui aura décidé, ce soir-là, de faire défiler des photographies qui représentent l’image du dictateur Bachar El Assad – dit le bourreau. Photographies qui sont à vendre, comme le sont les peintures, collages et autres babioles proposées ce soir. Une professionnelle fait répéter aux mannequins hommes et femmes les gestes, les pas qu’ils devront faire sur le pont devant un public pour l’instant arrimé au bar. Un jeune homme de belle allure, sec et ténébreux, aborde Nicolas : « Je ne crois pas pouvoir défiler en tenant dans mes mains une photographie représentant Bachar. Tu sais je cherche un emploi, on ne sait jamais, et puis j’ai un ami Syrien, il ne verrait pas ces choses d’un bon œil… ».

Pendant ce temps, appliquée, une splendide donzelle traverse la salle et fait mine de tenir dans ses mains un tableau… qui sait, peut-être une photo.

Ps : Derrière le buisson ardent de mon cynisme point cette question : Jusqu’où aller pour se faire voir ? Ces jeunes gens transformés en lutrin, à leur dépend ou pas,  savent-ils qu’une image c’est aussi du sens ? Un photographe engagé peut-il bâillonner sa conscience juste pour que ses images soient vues par le plus grand nombre ?


le jeudi 17 août par Francis Traunig


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As many a ship sails in the wood

« The Man In The Wilderness »

The Man in the wilderness
He asked of me
How many strawberries grow in the salt sea?
And I answered him, as I thought good
As many a ship sails in the wood

The Man in the wilderness
He asked me, Why
His hare could swim and his pig could fly?
And I answered him, as I thought best
They were both born in a cuckoo’s nest

The Man in the wilderness
Asked me to tell
Tell all the sands in the sea and I counted them well
And with the grain, well, not one more
I answered him, you go make sure

Said with the grain, well, not one more
I answered him, you go make sure
I answered him, you…you go make sure

Anonyme

le mercredi 16 août par Francis Traunig


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Hippie… Whazza ?

Jeune ado, j’attendais mon tour pour sauter…

en longueur, au Lycée

Un grand gaillard attendait son tour, lui aussi

tout en longueur, ses cheveux

Je lui demandai s’il était hippie.

Très gentiment, il s’était tourné vers moi

Pour me dire que les cheveux longs, les fleurs, les foulards oui… mais l’essentiel était ailleurs.

Il allait me dire où quand on l’appela pour sauter.

Depuis je saute de quête en quête

A la recherche de l’essentiel


le mardi 15 août par Michel Bruno


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La Voie du Vernis…

…est impénétrable.


le mardi 15 août par Gérard Dubois


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Crocodile McLeod.

Mon ami Richard McLeod, prêt pour une rando autour de la presqu’île de Giens….


le lundi 14 août par Gérard Dubois


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Un dimanche au cinéma.

QUE DIOS NOS PERDONE…

Un polar espagnol, bien noir.  ! Joder !


le dimanche 13 août par Gérard Dubois


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Les larmes de saint Laurent

Les Perséides ou « Larmes de saint Laurent » sont un essaim de météores (ou pluie d’étoiles filantes) visible dans l’atmosphère terrestre constitué de débris de la comète Swift-Tuttle et dont la taille est comprise entre celle d’un grain de sable et celle d’un petit pois. Bien que les premières traces d’observation datent de l’an 36, ce n’est qu’entre 1864 et 1866 qu’il est établi une relation entre les Perséides et la comète dont la pluie d’étoiles filantes est issue1. Ces météores sont observables lorsque les débris de Swift-Tuttle rencontrent l’atmosphère terrestre, soit à partir du environ jusqu’aux alentours du , avec un maximum habituellement situé entre le 11 et 2. La nuit la plus active de la pluie des Perséides est celle du 12 au de 2 à 5 heures du matin.

Sources : Wiki


le samedi 12 août par Francis Traunig


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DS, déesse…

 » Vénus, une belle et bonne dame, était la déesse de l ‘amour ; Junon, une terrible mégère, la déesse du mariage, et toujours elles furent ennemies mortelles. »  Jonathan Swift.


le samedi 12 août par Gérard Dubois


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Mes deux vieux potes.

Mes deux vieux potes.


le vendredi 11 août par Francis Traunig


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l’exemple

chez Georges Blanc, à Bourg-en Bresse


le jeudi 10 août par Nicolas Spuhler


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communion

Pas eu le temps de photographier. Salle de bain, vite, viens, une image…

La Femme Sainte accepte. Dépose immédiatement l’ouvrage auquel elle est attelée,  est à la fois trépied, compatissante, au service de la Création, encourageante.

Il n’y a que ses cheveux qui se rebellent, font un doigt d’honneur devant l’objectif et floutent ce beau moment de communion.


le jeudi 10 août par Francis Traunig


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ça

A cœur ouvert, ça change la Vie.


le mercredi 9 août par Francis Traunig


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c’est

« La photographie c’est le clitoris de la mémoire. »

Francis Traunig


le mardi 8 août par Francis Traunig


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dix mille

IBERIA, souvenir de vacances d’un des plus mauvais petit-déjeuner à plus de dix mille mètres…


le lundi 7 août par Francis Traunig


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Littéralement

Miraflores ! Littéralement traduit : regarde les fleurs !


le dimanche 6 août par Francis Traunig


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Super 8.

Dimanche chez ma mère. Attrait irrésistible du grenier. J ‘y retrouve le matériel ciné de mon père : visionneuse, colleuse, projecteur, et sa caméra SANKYO ES-44. Pendant quelques années il filmât tout et n ‘importe quoi : voyages, manifestations familiales : fêtes, mariages, baptêmes…Le tout, d ‘une manière frontale et appliquée. Nette. Un peu trop à mon goût.Il m ‘arrivait de lui piquer son jouet et de filmer les mêmes scènes avec des mouvements de caméra compliqués et sophistiqués, bougés , flous mais  » artistiques « .Sachant par avance que mon génie disparaîtrait au montage.

Très vite il s ‘impatientait et retrouvant pour l ‘occasion son accent lyonnais ( je l ‘appelais le » Gone-with the wind « , ce qui avait l ‘art de l ‘agacer…), il me criait :  » Eh, Godard, pose cette caméra , ça suffit tes âneries !… »

On est souvent crétin quand on a dix-sept ans.


le dimanche 6 août par Gérard Dubois


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Lima

Plaza de las Armas, au cœur de l’immense  et foisonnante Lima.


le samedi 5 août par Francis Traunig


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la route

mousses, lichens, bois, soleil, 500m de bonheur pour arriver à notre cabane.


le vendredi 4 août par Nicolas Spuhler


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Mythomane.

L ‘affichette dit : CHIEN MÉCHANT…


le vendredi 4 août par Gérard Dubois


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taxi

Lima la grise. Toujours la brume,  les trois quart de l’année nous dit Zapata, le chauffeur de taxi.


le vendredi 4 août par Francis Traunig


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accélérations

Treize heures de bus pour ces enfants venus à Sucre pour un meeting d’athlétisme. Le prof de gym, Jésus, les laisse attraper des pigeons sur la place du 25 mai pour qu’ils entrainent leurs réflexes et les accélérations.

 Nous leurs offrons vingt glaces… (pour deux euros cinquante) ils sont aux anges !


le mercredi 2 août par Francis Traunig


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Chercher l’âme dans son regard…

… pour y découvrir le langage de ses yeux


le mercredi 2 août par Michel Bruno


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crevette

Après les ravages de la peste bubonique, se répand celle de la peste numérique. Les tous premiers symptômes sont un repli sur soi-même, (qu’on appelle la maladie de la crevette). S’ensuit rapidement une irritabilité chronique, une indifférence à l’autre et une alternance de rires incontrôlés et d’apathie prolongée.

On peut cependant guérir les patients atteints de peste numérique par des cures de réalités.


le mardi 1 août par Francis Traunig


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The right stuff…

Il faisait partie de ce que l ‘ Amérique a pu nous offrir de mieux…

 » Sam Shepard est un chaman, un chaman du Nouveau Monde. Sam est aussi américain que le peyotl, les champignons sacrés, le Rock and Roll… »( Jack Gelber ).


le mardi 1 août par Gérard Dubois


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