Un mois de légendes /

il y a longtemps

Dire que nos mains, il y a longtemps, étaient des nageoires.


le dimanche 26 février par Francis Traunig


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Jura

Carnaval devant la banque cantonale du Jura.

J’peux faire une image ?

Ça f’ra 100 balles ! Mais non, on blague, à ta santé…


le samedi 25 février par Francis Traunig


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Bâle

Une des particularités de Bâle est que très peu de tags ornent les murs des bâtiments de la vieille ville.

Alors soit la répression y est féroce. Soit le carnaval, qui commence lundi matin, permet de suffisamment se défouler à coups de confettis plutôt que d^’écrire Fuck police sur la molasse.

Mais il faut cependant se méfier des jugements à l’emporte-pièce.


le vendredi 24 février par Francis Traunig


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Clément

Brillante conférence de Clément, notre web-master, à l’université de Lausanne sur un contre usage des sciences à l’ère du contrôle.

« Je suis un œil. Un œil mécanique. Moi, c’est-à-dire la machine, je suis la machine qui vous montre le monde comme elle seule peut le voir. Désormais je serai libéré de l’immobilité humaine. Je suis en perpétuel mouvement. Je m’approche des choses, je m’en éloigne. Je me glisse sous elles, j’entre en elles. Je me déplace vers le mufle du cheval de course. Je traverse les foules à toute vitesse, je précède les soldats à l’assaut, je décolle avec les aéroplanes, je me renverse sur le dos, je tombe et me relève en même temps que les corps tombent et se relèvent. Voilà ce que je suis, une machine tournant avec des manœuvres chaotiques, enregistrant les mouvements les uns derrière les autres les assemblant en fatras. Libérée des frontières du temps et de l’espace, j’organise comme je le souhaite chaque point de l’univers. Ma voie, est celle d’une nouvelle conception du monde. Je vous fais découvrir le monde que vous ne connaissez pas. »

Dziga Vertov, Manifeste de kinoks, 1923


le mercredi 22 février par Francis Traunig


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le mec

derrière


le mardi 21 février par Nicolas Spuhler


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comme vous

-Pour être baraqué. Faire de l’exercice. Mais j’ai pas le temps.

-Il faut le prendre.

-Si je le prenais, je serais probablement comme vous.

-Probablement.


le mardi 21 février par Francis Traunig


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cuisine

et dépendances


le lundi 20 février par Nicolas Spuhler


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Vite, zut, raté.

Vite, zut, raté.


le lundi 20 février par Francis Traunig


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Yamaha

Le bonheur de rouler sur Honda ne vaut pas celui d’être passé sur Yamaha.


le dimanche 19 février par Francis Traunig


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Idiomatique…

Avoir du chien.


le dimanche 19 février par Gérard Dubois


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grand

Homme d’action, grand voyageur devant l’éternel, blagueur invétéré : Michel !


le samedi 18 février par Francis Traunig


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Barnum

Daoud, clarté dans le monde obscure de l’intolérance. Rigueur dans le Barnum des sophistes de la littérature. Un écrivain et homme d’action qui se bat contre ceux qui veulent le faire taire alors que la plupart de ses collègues se battent contre le manque d’inspiration.


le vendredi 17 février par Francis Traunig


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Ah si le mien pouvait être pareil…

… chantent les vendeuses en coeur


le mardi 14 février par Michel Bruno


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Le monde tel qu’il est…

Il y a ceux qui fartent et ceux qui bétonnent…


le lundi 13 février par Gérard Dubois


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J-1

A J-1, les fleuristes se calent dans les starting-blocks.


le lundi 13 février par Francis Traunig


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Oh !..

Dans un vieux portefeuille de mon père, au fond du tiroir d ‘un secrétaire…

La première indique au dos  » 1946 « , la seconde  » 1954 « …

J ‘ai rarement aussi bien compris mon géniteur…


le dimanche 12 février par Gérard Dubois


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O Solitude


le samedi 11 février par Francis Traunig


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l arbre

Ouais c’était tôt le matin, on bougeait.


le vendredi 10 février par Nicolas Spuhler


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défaite

Alors quoi ?

Hier pensé me débarrasser de mon smartphone mais réalise que je ne pourrais peut-être plus faire de payements, ni commander mes billets de train, ni m’orienter dans les dédales d’une ville inconnue. Peut-être que si quand-même ?

Bon, ne soyons pas excessif par réaction.  Juste laisser tomber le smartphone et se contenter d’un simple portable genre Nokia à touches.

Ne veux plus suivre les affres de Trump, ni les commentaires sur ses tweets, ni voir la Kardashian à poil et me polluer la vie avec les petites misères des grandes stars, ni suivre en live les défaites de Daech.

Alors quoi ?

Suffit de ne pas se connecter.

Mais les stratégies des pourvoyeurs d’informations, payés au clic, savent que notre volonté est flageolante. Savent que la misère humaine nous rassure de la nôtre, si petite soit-elle.

A force de tout voir, partout, je ne te vois plus.


le vendredi 10 février par Francis Traunig


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Grenier.

Journée de rangement, de déblaiement…Dans un coin du grenier, un premier inventaire…

Une malle d ‘osier remplie d ‘étoffes et de draps brodés, une maison de poupée bricolée par mon père, un ourson en peluche ramené d ‘ Ecosse, la planche et les palmes de Benjamin, une machette colombienne forgée à Manizales, deux chapeaux de paille à l ‘origine inconnue, une reproduction d’un tableau de Vittriano, ce cousin écossais de Hopper…

J ‘ y reviendrai…


le jeudi 9 février par Gérard Dubois


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Mathieu

C’est parti pour 3 jours de workshop.

Certains y réfléchissent déjà.


le mardi 7 février par Nicolas Spuhler


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Fuji

Fuji sur Gaby !


le lundi 6 février par Francis Traunig


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Dj Ludo, ses lunettes et Sébastien

Au royal Savoy de Lausanne


le samedi 4 février par Nicolas Spuhler


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Corinne et Philippe

Chez le maire, qui récite des poèmes, mais plus du Ramuz, la législation a changé.


le vendredi 3 février par Nicolas Spuhler


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cholestérol du consensus

L’Hebdo meurt. Il était BON POUR LA TÊTE mais plus pour le compte d’exploitation de l’éditeur.  Alors on tranche dans le gras, même le rédac en chef n’était pas au courant, les milieux culturels s’indignent, les journalistes remerciés, et les lecteurs épisodiques veulent, en un joli sursaut engagé, s’abonner.

Nicolas : J’ai une image en double page publiée dans le dernier numéro, est-ce que j’ose leur envoyer une facture ? Et mon père qui vient de s’abonner, est-ce qu’ils vont le rembourser ?

Mais l’Hebdo renaîtra, ailleurs, autrement. Les journalistes, les plus dociles seront réengagés, moins cher, c’est à prendre ou à laisser, à Zürich, peut-être, et les autres auront la chance de travailler à la tâche, à domicile.

L’Hebdo meurt aussi un peu parce qu’il a voulu plaire à tout le monde.

Et on peut mourir d’un cholestérol du consensus !

Et je le déplore.


le vendredi 3 février par Francis Traunig


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Emilie

Qui teste le ventilateur avec vaillance.


le jeudi 2 février par Nicolas Spuhler


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Rencontre L.

– » Vous avez un bel appareil !

-Oui, il est sympa…

-J ‘ai un M6, je me régale avec…Bonne journée, bonnes photos !… »

Pendant ce bref échange, je déclenche, l ‘appareil à la taille…Qu ‘aurais-tu fais, hypocrite shooteur, mon semblable, mon frère ?…


le mercredi 1 février par Gérard Dubois


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caillou

Zermatt : Inamovible caillou qui en voit passer de toutes les couleurs


le mercredi 1 février par Francis Traunig


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