increvable relique
Photographie en couleur d’un négatif noir et blanc, increvable relique.
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Durable comme
Bien sûr.
Durable comme l’inconsistance.
Durable comme la démagogie publicitaire.
Durable comme les déchets de nos désirs fatigués.
Durable comme l’oxymore.
De l’hôpital qui se fout de la charité.
Bien sûr.
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Apocalypse now re-redux
Une hélicoptère survole Genève entre 6.30 et 9h ce matin pour des repérages pour le tournage d’un film. Il y avait comme une odeur de napalm.
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#noname 1159
Un jour sans pour moi. Sans déambulation urbaine, la faute à une journée de travail trop longue, à la fatigue, à la chaleur. Mais il y a ce pont superbe qui relie Beaucaire à Tarascon. Vite sortir le petit mais costaud Ricoh et déclencher à travers le pare-brise… en évitant l’accident.
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Lui aussi a aimé la photographie.
Ce petit garçon, mon père, peint à cinq ans en 1916 contient au fond de lui cette brassée de probables dont je suis issu.
Lui aussi a aimé la photographie.
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Dentistas , El sifón, C.P. 09400. , Iztapalapa, CDMX.
Trabajo de campo, método para unir los pensamientos con el sujeto, la participación ciudadana se está defendiendo , haciéndola realidad, se busca que el proyecto de transformación continúe , siga y no se detenga, uniendo voluntades , somos 4T (cuarta transformación)
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#noname 1156
Gare Saint-Charles. Transhumance estivale des enfants de parents divorcés. Rien à faire, ça me fout le cafard.
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Outlaw(s)…
Inflation oblige, il me tape deux clopes et me dis : » Je m’appelle John, John Mesrine, le plus grand bandit de tous les temps !… »; à bandit, bandit et demi : il ignore qu’il m’a déjà payé mes deux gauloises…
La rue, cette folie ordinaire…
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#noname 1155
Marseille, 7:17 am. En dehors de mes pérégrinations Parisiennes, les photographies que je diffuse ici sont le fruit d’errances Marseillaises en sortie de bureau. Hors depuis quelques jours une fournaise pré-apocalyptique accable votre serviteur. Pour profiter d’une fraicheur toute relative, je me décide d’inverser ma démarche. Je sors donc ce matin, tôt, boitier en main, direction gare Saint-Charles, Belsunce, République. Je n’ai pas fait plus de quatre photos, dont celle-ci, un homme dormant à l’arrière d’une voiture. Hier un milliardaire d’extrême droite s’est offert trois A/R en jet privé dans la journée. Certains pensent que cela n’a rien à voir. Je pense le contraire. Depuis très et trop longtemps.
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Deux cafés
Deux cafés n’y ont pas suffis, j’ai loupé et le chevreuil, qui pourtant est resté à m’aboyer dessus parce que je suis entré sans frapper dans sa forêt, et le lièvre qui m’a passé sous le nez.
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« Germinal »
Fin de journée Parisienne, une de celles que j’affectionne par dessus tout. Boitier vissé au poignet, marcher sans but ni destination précise. Saisir ce que la rue veut bien m’offrir. Je m’apprêtais à prendre le métro à République. En attendant septembre et la rentrée sociale, la place est aujourd’hui rendue aux skateurs et prêcheurs « Jésus sauve ». J’allais partir mais au loin je vois que le soleil illumine un fatras, une montagne de sacs empilés sur un chariot. Je m’approche et commence à engager une conversation avec un homme qui ne voudra pas me donner son prénom mais acceptera que je le photographie . On parle cinéma, Sophie Marceau, Dewaere. Il me raconte nombre d’anecdotes et faits qui laissent croire qu’il a travaillé auparavant dans le cinéma. Je partirais sans certitudes. Aucune importance. J’aime Paris.
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Just take five
Stop your busy day
And take the time out
To see if I’m alive
(Dave Brubeck)
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Zoran ouvre les festivités !
Enfin champ libre pour débuter nos travaux. Zoran ouvre les festivités !
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Pipe fait des autoportraits avec un polaroid
…cent quarante minutes plus tard, Pipe fait des autoportraits avec un polaroid, il commence à faire frais sur la butte à Bernex.
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Les Petites Fugues
Thalia nous programme le superbe film de Yves Yersin, Les Petites Fugues.
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que ceux qui habitent au bord du lac de Genève
Mais fichtre, nom de bleu, que ceux qui habitent au bord du lac de Genève (Léman pour les vaudois) foncent à Nyon à la galerie Focale pour admirer la superbe exposition photo d’Aurélien sur les Xikrin d’Amazonie.
https://focale.ch/
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(prosélyte)
Commentaire (prosélyte) de ma fille alors âgée de huit ans dans un de ses carnets de voyage.
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Pampa…
« La vastedad no esta en cada percepción de la PAMPA ( que es lo que puede registrar la fotografía ) sino en la imaginación del viajero… »
Jorge Luis Borges
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le
Au musée Barbier-Müller, Sophie ennuage le plafond de la Chapelle Sixtine de Jacques Kaufmann
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The Stones in Hyde Park. Where else ?
I saw the Rolling Stones the first time when I was 12, in Rome. I managed to see them in the hotel where they were staying and get their autographs. Since then, I saw about 8 times. Including a concert in Paris in 1982. I was a student there and the ticket was a bit expensive. But I told myself, it’s probably the last time I see them live… since then I have given up making this kind of predictions. 😉
Today, I saw the greatest rock&roll band of the world with my son,aged 32.
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Toulon, le 11 avril 1909
à : Madame Lambossy – Francelet – Sage Femme – Nyon – Vaud – Suisse
de : Paul Lambossy – Toulon
Nous sommes bien arrivés à Toulon
c’est épatant
le temps est beau
Je salue tout le monde
Toulon, le 11 avril 1909
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Alice c’est quand même plus beau.
Son nom c’est Alice. C’est une chienne. Avant elle s’appelait Poulo. Alice c’est quand même plus beau.
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