Francis Traunig

Les légendes de Francis Traunig /

1682 images légendées.

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2024

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2023

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2022

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2021

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2020

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2019

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2018

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2017

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2016

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2015

Pendant

Pendant qu’au-dessus de la table se succédaient les plats, on changeait de décor en dessous.


le dimanche 31 décembre


Voir l'image

idée

Je m’apprêtais à tenir mon cap, le sac à dos plein de bonnes résolutions, lorsqu’un impromptu me rappela qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’idée.


le samedi 30 décembre


Voir l'image

Faudrait savoir.

Faudrait savoir.


le jeudi 28 décembre


Voir l'image

deux

« C’est arrivé près de chez vous. » près de chez moi d’ailleurs, à deux kilomètres…


le mardi 26 décembre


Voir l'image

actes.

Vous voulez tordre le cou à votre quotidien, vous aimez l’aventure, la moto, les grands espaces ?

Ils l’ont fait ! et sont passés du rêves au actes.

Rien de plus simple, allez sur : http://madnomad.gr/main/en/who/


le samedi 23 décembre


Voir l'image

L’

L’appétit vient en mangeant. Heureusement.


le vendredi 22 décembre


Voir l'image

Istanbul

Solstice d’hiver.

La lumière revient, l’hiver aussi.

Dans le tram je vois une jeune femme se brosser les dents en tenant devant elle un petit gobelet blanc.

A l’hôpital, en salle d’attente, avec d’autres, un homme se dresse avec peine sur ses béquilles lorsqu’un jeune médecin lui demande de le suivre. La béquille droite lui échappe. L’homme se baisse avec peine sous le regard impassible de l’homme en blouse blanche.

Hé, ho le zigue, tu fais médecine par vocation !

Me murmure-je et replonge dans Cette étrange chose en moi.

Arrive le mien, de médecin, accompagné par un jeune stagiaire allemand.

-Qu’est-ce que vous lisez ? Me demande mon médecin tout en feuilletant mon dossier. Vous avez pris un gros livre, vous pensiez attendre longtemps ?

-Pamuk, vous connaissez ?

-Non. Qui c’est ?

Le jeune assistant sourit et moi j’en rajoute une couche.

-Il a eu le Nobel… en… attendez…

-2006, dit le jeune allemand en tripotant son stéthoscope comme pour s’excuser.

Et je lance tout en nous dirigeant vers le lieu de la consultation :

-Son roman, Le musée de l’innocence, vous l’avez lu ?

-Oui.

-Le musée à Istanbul, vous l’avez visité ?

-Oui.

Mon médecin traitant se planque derrière un écran et éructe des petits rires agacés. Mais avec élégance le jeune médecin stagiaire fait un pas en arrière et se tait.

-Vous aimez Genève ?

-Oui.

-Si vous voulez vraiment en savoir un peu plus sur notre histoire, qui nous sommes et où vous avez fait votre stage, vous devriez lire un très beau livre de Zweig… Conscience contre violence.

-Oui, je l’ai lu. J’ai deux passions, la médecine et la littérature…

Puis je vais au café, fêter le retour de la mobilité (restreinte) de mon épaule. Me rejoint une jeune femme dans l’arrière salle où je décide de finir le chapitre entamé à l’hôpital de Cette étrange chose en moi. Avec assez peu de pudeur, elle se met à raconter sa vie à son portable. Mais ça ne me gêne pas. Arrivent deux autres clientes et un couple. Ils papotent et sont joyeux. Mais voilà que ça agace la jeune femme au portable qui tout à coup, excédée, dit :

-Te rappelle, y a un de ces vacarmes ici !


le jeudi 21 décembre


Voir l'image

Jack jaillit

Au moment où je cadre une vitrine, Jack jaillit.


le mercredi 20 décembre


Voir l'image

malabilé

Une chanteuse lyrique, un médecin, une bouteille.

Saumon, gâteaux, rires et vins divers.

De l’eau gazeuse.

Bortsch, mandarines et malabilé.

C’est le joyeux noël des copains de Christine et Damien


le dimanche 17 décembre


Voir l'image

Harry Dean Stanton

Le fantôme d’Alekan éclaire celui de Marc Camoletti.

Celui de Harry Dean Stanton, Lucky.

Puisqu’une fois la lumière éteinte, il n’y a plus rien.

Comprenne qui pourra…


le jeudi 14 décembre


Voir l'image

Jusqu’à quand ?

Zeus condamne Atlas à supporter le monde (c’est toujours les mêmes qui bossent diraient certains) pour que l’harmonie profite au plus grand nombre. Mais quelques oisifs ruminent et pour meubler l’ennui, ils cherchent des noises à Atlas – qui pour le moment tient le coup.

Jusqu’à quand ?


le mercredi 13 décembre


Voir l'image

That’s true.

There is no mystery about Girard-Perregaud –That’s true. Mais par contre  le mystère demeure au sujet de cette petite fille et de ses pensées.


le lundi 11 décembre


Voir l'image

12 euros 50

Je demande à la vendeuse du kiosque à journaux pourquoi toutes ces unes avec Johnny…serait-il malade, ou peut-être mort ?

-Ne m’en parlez plus, ça m’agace, j’en ai assez de cette idolâtrie… si encore il avait inventé quelque chose pour soigner les gens malades, ou sauver des enfants qui meurent de faim… non il nous laisse juste quelques chansons pour midinettes… 12 euros 50 s’il vous plaît.


le dimanche 10 décembre


Voir l'image

ce qui ne veut rien dire bien sûr

A l’abri  d’une mini tempête de neige tout parait plus doux, réfugiés au cœur d’une galaxie d’univers créateurs – ce qui ne veut rien dire bien sûr – mais si on y pense, il y a très longtemps que tout à commencé : quel chemin parcouru depuis le crash de la météore sur le Yucatán. C’est grâce à elle qu’on est là, que les grands prédateurs ont laissé un peu de place dans les fourrés au plus petits mammifères et nous voilà quelques milliers d’années plus tard avec nos autobus (ici à Plan les Ouates c’est la ligne D) nos chauffage électriques, nos verres de vins rouge et nos vêtements soyeux – j’allais écrire : notre papier de toilettes. Mais c’est vrai, sans cette sacrée collision pas  d’ascenseurs, pas de boucles d’oreille, pas d’arbres de vie (je pense à ceux de Sophie), pas de machine à retirer de l’argent (je pense à Michel qui n’a eu qu’à traverser la route pour garnir son portefeuille).

On est vraiment vernis que les dinosaures nous aient fait un peu de place !


le vendredi 8 décembre


Voir l'image

et

Camille et sa passion de l’image qui frétille au fond des pupilles.


le jeudi 7 décembre


Voir l'image

et

Sophie et son nouveau sapin de Noël !


le mercredi 6 décembre


Voir l'image

grenier

Je

souris

Mais le chat pas

Convaincu

Voit en moi un grenier à

croquettes


le mardi 5 décembre


Voir l'image

toujours

L’ami Zoran, père et fils, généreux, bosseur, et toujours débordant de bonne humeur.


le lundi 4 décembre


Voir l'image

Je

Je suis ce que je mange.


le samedi 2 décembre


Voir l'image

pisser

L’impression de photographier assis ces temps.

Encore une chose que je dois faire avant d’aller explorer d’autres mondes, pisser assis sur une chaise.


le vendredi 1 décembre


Voir l'image