Donald prétend qu’à Springfield USA, les migrants mangent les chiens et les chats des habitants.

Ce n’est pas étonnant qu’un mec qui chope les femmes par la chatte s’engage pleinement à les protéger.

En revanche, donner à ce sombre idiot le pouvoir de presser sur le bouton et nous embarquer tous, avec nos chiens et nos chats, dans un conflit du genre : j’ai la queue plus longue que Vladimir, ça c’est inquiétant.

Inquiétant sociopathe qui cherche à rallier dans son naufrage les 163 millions de propriétaires de cats and dogs. Rameuter l’électeur par la terreur. Tous ça pour éviter la tôle.

Heureusement qu’une chanteuse, qui pose sur X avec son chat, met tout ça en perspective et renvoie l’autre à sa gamelle.

Ces histoires de chats, peut-être les signes avant-coureurs du déclin de l’empire américain.

Mais mon chat, lui s’en fout, parce qu’il est conscient de la chance de ne pas être né à Springfield.

Impossible de faire aboyer un chien qui s’ennuie. Ça aurait pu mettre un peu d’ambiance au vernissage de Petra W. à la galerie L.

Sandro, co-fondateur (dans une cuisine avec deux potes) du Festival du Bois de la Bâtie en 1977.

Dans le creux d’un parapet sur lequel il s’assied tous les jours pour faire la manche, il se débarrasse des pièces de 1 centimes d’euros dont se débarrassent les client.e.s du Casino.

Solidarité parentale au vernissage de notre ami et collègue Nicolas S. qui vernit quelques photographies conjointement avec Aline K. à la galerie Brot und Käse à Soral

Oh Rita, ris, je t’en prie… l’automne déjà approche.