Au bout de la sixième prise de vue, S. commence à s’impatienter dans ce nez à nez avec l’œuvre d’Albertine.

https://www.carouge.ch/exposition-au-musee-de-carouge-apparition-dalbertine

C’est probablement Squid Game on the beach qui les tient en haleine. Ou alors ils sont peut-être allergiques au soleil.

C’est beau comme le monde est flou – et inversement.

Deux poupettes impubères s’extasient devant ces poupettes hypersexualisées en plastoc, probablement transportées en container à travers Suez, peut-être même par l’EVER GIVEN qui s’est échoué en mars avant d’échouer dans ce centre commercial minable.

Le macro-fabricant de ces fétiches de jeunes filles s’est-il au moins donné la peine de rédiger sa notice d’emploi en écriture inclusive ?

Parce que les petits garçons aussi ont le droit de jouer à la poupée et laisser de côté pour un moment leurs camions de pompiers.

Boréal ! The best coffee in town.

Ami dragon sans flamme…

Top le zigue et une bête au basket !

Maiskeskistrame ?

Son 35mm 1.4 donne des ailes à son Sony.

Il s’enfonce dans l’hiver de sa vie, troquant la canne contre le pinceau, et recouvre méticuleusement son chemin de couleurs.

Elle est aveugle et suit avec grande attention le monde de Hans Emmenegger  rendu visible sur les cimaises de l’Ermitage.

Du cœur, un peu d’énergie une table, quelques boissons et des amuses-gueule suffisent à rendre Calvingrad conviviale.