Les légendes de  /

5806 images légendées.

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2024

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2023

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2022

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2021

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2020

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2019

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2018

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2017

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2016

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2015

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2014

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2013

le timide

Fiche n°8. De loin, ou indirectement. « Le timide »… (ici au 75 mm, un petit téléobjectif)

Béchet, derechef : « (…) les casse-cous, les grandes-gueules et les machos accumulent les problèmes et les déconvenues : ils oublient que l’appareil photo est souvent perçu comme un outil intrusif et inquiétant… Certains street photographers célèbres ont donc développé des approches discrètes pour saisir de façon indirecte et détournée la vie urbaine. »  Est-ce seulement une question de timidité ? Chez certains, peut-être. Il existe une appréhension indubitable, difficile à lever, à oser franchir le cap et shooter des inconnus de face – que ce fucking mot est laid, « shooter ».

Plus pêcheur que chasseur d’image, suggérait Doisneau. « La photographie c’est la chasse, c’est la chasse sans l’envie de tuer, c’est la chasse des anges », Chris Marker dixit, me souffle l’ami Bernard Jolivalt. La prise indirecte : elle peut être aussi bien un parti pris esthétique, résultant d’une approche éminemment singulière ouvragée par des années de pratique solitaire, on songe par exemple à un Saul Leiter, qui se contrefoutait de la gloire, des courants : « Être ignoré est un privilège », disait-il. Difficile de savoir quels sont les  ressorts psychologique, derrière chacun. Il faudrait demander. L’auteur de ces lignes est lui-même timide, dans certains circonstances, face à  des inconnus, et jamais, il y a de ça seulement 6 ou 7 ans il n’aurait imaginé pouvoir photographier des passants dans la rue, sans rien leur demander, à un mètre de distance, ou moins, et de face. Et pas que des centenaires en fauteuil, n’est-ce pas.  Pourtant, le trac est toujours là. La photo sur le vif à ma préférence, « sur », mais aussi « dans le vif » en règle générale – soit de (très) près. Pas mal de mes collègues partagent cette approche. En règle générale… à condition qu’elle ne soit pas trop stricte, la règle.


le mardi 31 juillet


Voir l'image

As I thought good,

The man in the wilderness
Asked me,
How many strawberries
Grew in the sea?

I answered him
As I thought good,
As many as red herrings
Grew in the wood.


le mardi 31 juillet


Voir l'image

And then was free to leave

He died that day because his body had served its purpose. His soul had done what it came to do, learned what it came to learn, and then was free to leave.

Garth Stein


le mardi 31 juillet


Voir l'image

le portraitiste (du voyageur en attente)

Selon J-C Béchet, la street photo est « un peu à la photographie ce que le décathlon est à l’athlétisme », c’est « un exercice complet et exigeant ». En d’autres termes il faut tout savoir faire, savoir s’adapter à moult situations. De fait, nous autres les photographes de rue touchons à peu de choses près à tous les registres – avec des préférences, certes. Scènes de la vie quotidienne de la filière nostalgique, en n&b, compositions urbaines aux petits oignons, attentives à la lumière dorée, tout en ombres et lumières ; « slow photo » distanciée jouant sur le mouvement, aux temps de pose allongés, ou « snapshot » rapproché gelant l’action en vitesse rapide, au cœur même de la foule; inclination pour l’insolite, ou le classique…

Au global, le street photographer* se distingue par une certaine polyvalence, une maîtrise générale de la plupart des approches attribuable au genre. Attention, le photographe de rue n’est pas non plus l’équivalent photographique du bridge (ceci pour faire un parallèle avec un matériel grand public le plus souvent (très) médiocre). Il (ou elle) n’est pas celui – ou celle – qui saurait à peu près tout faire, mais le ferait mal. Le plus délicat reste sans doute d’accéder à une personnalité photographique. Nombreux, les photographes !

Il n’est pas dit, par ailleurs, qu’on serait fichu(e) d’effectuer un travail de photojournaliste : savoir rendre compte d’un sujet donné, d’un événement, revenir avec une commande précise, avoir su l’honorer, c’est un boulot à part entière, et il faut savoir compter aussi avec les risques liés à la couverture de certains sujets. Il faut pouvoir voyager, en avoir envie. Dans les deux cas, c’est une pratique souvent ingrate, assez difficile. L’un n’en vit pas, l’autre non plus, ou mal.

Mais revenons sur un point soulevé par Béchet. Celui-ci affirme, toujours dans le n° hors série 36 du Monde de la photo, qu’aujourd’hui « dans la photographie contemporaine, c’est le portrait posé qui est dominant. Question d’époque, question de style, car chacun le sait, il devient de plus en plus délicat de portraiturer des passants dans les grandes villes sans leur autorisation ». On pourrait ajouter : dans les petites villes aussi. Même dans les villages, sans doute. Le droit à l’image fait beaucoup de mal à la photographie de rue. Prenez un tourniquet à cartes postales : vous n’aurez que du noir et blanc, des photos de Doisneau, Ronis, Brassaï (ce qui est bien, mais pour témoigner des années 2000, c’est un peu décalé), ou pour la couleur, et témoigner de notre époque, la tour Eiffel, ou un paysage. L’agence Magnum elle-même avait relevé ce problème. Je le contourne, je fais pour ma part comme si ce droit n’avait aucune existence, à la suite d’autres photographes de rue.

Ici, en petit malin, ma sélection me permet de ne pas risquer grand-chose, entre lunettes noires et mouchoir bien placé pour illustrer la fiche n°7.

*Il faudra revenir sur les termes « street photographer » et « photographe de rue ». Jean-Claude Gautrand, dans le n° hors série, opère un distinguo intéressant, à travers l’histoire de cette pratique, entre ces deux appellations. On y revient plus tard.


le lundi 30 juillet


Voir l'image

Mr. Right

What if the idea of Mr. Right is completely false? What if there is no Mr. Wrong? What if every relationship-no matter how brief-contains a priceless lesson allowing you to grow and evolve into your grandest self?

Marie Forleo


le lundi 30 juillet


Voir l'image

le témoin extérieur

« A l’inverse du corps-à-corps, certains photographes de rue décident de se mettre en retrait, de choisir avec précision un point de vue éloigné de l’action afin de restituer une ambiance générale et un véritable paysage urbain. » J-C Béchet, fiche n°6.

Matinée calme.


le dimanche 29 juillet


Voir l'image

windows

windows


le dimanche 29 juillet


Voir l'image

You never really know what’s coming

You never really know what’s coming. A small wave, or maybe a big one. All you can really do is hope that when it comes, you can surf over it, instead of drown in its monstrosity.

Alysha Speer


le dimanche 29 juillet


Voir l'image

La valse

des poissons


le samedi 28 juillet


Voir l'image

la proximité

J-C Béchet, fiche n°5, « La proximité », le Monde de la photo, hors série 36 : « Il y a aussi dans la famille des street photographers les tenants d’une pratique directe, intrusive et parfois un peu « agressive ». Attention, il ne s’agit pas, bien sûr, de brutaliser ceux dont on va « voler » l’image, mais d’avoir le culot de photographier des inconnus de près, voire de très près et d’oser affronter, sans subterfuge, ni précaution, la « jungle » urbaine. (…) Si on ne se sent pas cette âme offensive et provocatrice, et si on n’en a pas le physique ! (il faut parfois déguerpir vite après avoir déclenché), il ne faut surtout pas se forcer et croire que c’est ainsi que l’on ramènera des images fortes. »

Je ne me sens pas provocateur (je souris toujours gentiment), n’ai pas un physique à la Mike Tyson, ni à la Gilden, et j’ai 51 balais. Jamais eu à déguerpir rapidement, de mémoire. Vous le sentez, si vous pouvez photographier, ou non. Quand on ne le sent pas, on ne photographie pas, et voilà. On aurait aussi pu peaufiner la lumière par un coup de flash, je ne l’avais pas avec moi. Je ne m’en sers pas souvent dans la rue : pas très à l’aise avec ce matériel. Mais Gilden n’est pas mon modèle, je préfère la poésie d’une Maier, par exemple. Demain, « le témoin extérieur ».

Focale utilisée ici, 24 mm.


le samedi 28 juillet


Voir l'image

chill out

Life is so much easier when you just chill out.

Pastor Ed Lapiz


le samedi 28 juillet


Voir l'image

Dalston Londres

Dalston Londres


le samedi 28 juillet


Voir l'image

Bread

Your flour is your dream and your bread is your fulfillment. The environment in which your flour is baked can influence the shape of your bread… Just take it as simple as that!

Israelmore Ayivor


le vendredi 27 juillet


Voir l'image

couleur

fiche n°4, tentative de mélange de couleurs chaudes et froides


le vendredi 27 juillet


Voir l'image

Personne…

Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. JL Borges


le vendredi 27 juillet


Voir l'image

Une minute

d’un de mes films préférés.


le vendredi 27 juillet


Voir l'image

N.

N. grand connaisseur des mouvements de la montagne, de ses rétrécissements et de ses sautes d’humeurs nous mène jusqu’au glacier de Ferpècle – qui s’est retiré de 150 mètres en 2017.


le vendredi 27 juillet


Voir l'image

anecdotique

La photo « anecdotique » renverrait selon J-C Béchet « aux moments d’humour et de dérision » du quotidien et reposerait sur deux principes : « l’écho visuel et la situation absurde. » C’est un point de vue : humour, dérision. A l’appui, Béchet cite Maltête (qui mettait en scène) ou l’excellent Pierre Le Gall. Pour abonder dans ce sens-là, on pourrait citer un contemporain, Pau Buscato, magicien du genre.

On pourrait aussi bien ranger d’autres photos dans ce registre (celle-ci?), pour autant que l’anecdote, selon le Robert (le dico) renvoie d’abord à ce qui « ne présente pas d’intérêt général ».


le jeudi 26 juillet


Voir l'image

Don’t cry

Don’t cry, Treasure. You’ll get me all wet and then I’ll melt. I’m made of sugar, don’t you know.

Kady Cross


le jeudi 26 juillet


Voir l'image

Attendre…

Geduld, Technik und Glück; was braucht ein Photograph mehr?


le jeudi 26 juillet


Voir l'image

I ain’t the one for you

Here’s the thing, men have to also mature in how they see women, too. Because they need to understand that it’s not just about how we look, it’s about who we are. And I am going to tell you like this, ‘If you can’t love me with short hair, and you telling me I got to have long hair to be loved, guess what, I ain’t the one for you.’

Jada Pinkett Smith


le mercredi 25 juillet


Voir l'image

Brick Lane – London

Brick Lane, Londres


le mercredi 25 juillet


Voir l'image

à l’instinct

Deuxième jour, deuxième fiche du Monde de la photo, « l’instinctif ». Selon J-C Béchet, cette approche caractérise, je cite, « le voleur de sensation, qui dérobe des instants plus ou moins décisifs sans s’arrêter, ni forcément regarder dans le viseur. »

Pour cette prise, effectuée ce matin, j’ai été frontal, disons. A l’instinct… J’ai simplement dit « Bonjour! » au monsieur, ça s’est bien passé.

Profitons de cet instant : envie de m’inscrire en faux au passage avec une affirmation courante, à propos du numérique. On dit que ce dernier – l’affirmation est reprise dans le hors série 36 du Monde de la photo – a facilité l’accès à la photo de rue. Ce n’est certes pas faux… Il suffit de songer au coût du film, face aux milliers de vues assurées par un capteur, à toute la chaîne de développement, simplifiée, avec les logiciels, face aux cuves et bains chimiques polluants qui supposaient en sus qu’on annexe la salle de bain. Il est courant néanmoins d’entendre que l’argentique obligerait à davantage de rigueur à la prise de vue, pour l’appréciation de la lumière, la composition, etc. Vu le coût de l’argentique, des films, c’est, qu’on le veuille ou non, chose induite par les finances. Sans doute pas faux, donc.

De mon point de vue d’amateur qui a tendance à se contrefoutre du matériel (suis toujours en APSC), l’argentique contraint surtout à une forme d’austérité, ou de sévère limitation. Simplement : à faire moins de photos; plus rigoureusement, peut-être; mieux réussies, ça reste à prouver; mais en plus petit nombre…

Pourquoi pas ?

Mais voilà : en vertu de quoi le numérique conduirait automatiquement l’ensemble des photographes à photographier avec moins de rigueur ?

J’admets volontiers que si je me servais d’un vieil appareil, je n’en ferais pas autant, et pas tous les jours. Mais une chose est certaine, lorsque je déclenche, je m’efforce de le faire comme si c’était la dernière fois.

D’ailleurs, dans 30 ans, m’est avis qu’un Pentax k3 de 24 millions de pixels (2013) sera au moins aussi prisé de la jeune génération que l’est un Nikon F3 de 1985 aujourd’hui… On parie ? 🙂


le mercredi 25 juillet


Voir l'image

Le mot Fuck c’est de la Littérature.

Maya met le paquet pour réenchanter les onze hectares de friches industrielles où se tenaient, en partie, les Rencontres d’Arles.

Pour créer «Un nouveau territoire de travail, de production, de débats, de transmission de la connaissance et de découvertes» clame LUMA, la fondation de la riche héritière de l’inventeur du LSD.

Mais voilà que LUMA et les rencontres d’Arles ne semblent plus jouer dans la même division.  Le forfait toutes expositions pour Les Rencontres, 42 euros, ne permet plus de visiter les espaces qu’occupait la manifestation, rachetés par la mécène. Il faut débourser entre 10 et/ou 15 euros en plus pour se promener dans une forêt d’ampoules de couleurs de Pipilotti Rist ou se sentir tout petit devant le gigantisme des œuvres de Gilbert et George qui clament à qui veut l’entendre que Le mot Fuck c’est de la Littérature.

L’eau citronnée à 4 euros en gobelet plastique aussi, c’est fuck…

Les temps changent, on fera avec. Ou pas.


le mardi 24 juillet


Voir l'image

le (presque) géométrique

Je signale le hors série n°36 de la revue « le Monde de la photographie », consacré à la photo de rue. Acheté ce matin au kiosque, 12,90 euros, en allant prendre les transports. 164 pages pour « s’initier à la street photography », avec Jean-Christophe Béchet aux photos et aux textes. Je n’ai pas encore pu tout lire, mais au sommaire, debout sur le quai, je vois qu’il est question, à la page 14, de la présentation d’une « petite typologie de la street photography en 17 styles » dont le premier article proposé consacre, je cite, « le géométrique ».

Je le lis avant que le RER n’arrive, le trouve très bien, j’y trouve même un mot du grand H. Cartier-Bresson, que cite Béchet : « la joie pour moi c’est la géométrie ». Le mot me botte bien, il me flatte l’oreille. Ça ne fait ni une, ni deux, au moment ou arrive le train, je me dis voilà le défi à relever, spécial UPPJ ! J’illustrerais jusqu’à la fin, si toutefois j’y parviens, ces « 17 styles photographiques », dans l’ordre de la revue, pour m’amuser.

erratum : j’ajoute « presque » à la légende, on pouvait sans doute faire plus géométrique. C’est une par jour, ce n’est pas simple hein.


le mardi 24 juillet


Voir l'image

What kind of footsteps

What kind of footsteps will you leave for those who follow you?

Kathy Bee


le mardi 24 juillet


Voir l'image

I come from Brighton …

… so you know Martin Parr ?

Should I ?


le mardi 24 juillet


Voir l'image

Dalston – windows

Dalston – windows


le mardi 24 juillet


Voir l'image

Le point de vue

de la chambre d’en face.


le mardi 24 juillet


Voir l'image

foil

Et au loin passe une Kite surfeuse, en foil, assise sur sa planche


le lundi 23 juillet


Voir l'image

the photographers gallery

The photographers gallery – London


le lundi 23 juillet


Voir l'image

Loneliness

And the danger is that in this move toward new horizons and far directions, that I may lose what I have now, and not find anything except loneliness.

Sylvia Plath


le lundi 23 juillet


Voir l'image

Ne t’inquiète pas…

She called on her way home to tell him that she was going to be late as she would have to do the grocery shopping for the following week. « Don’t worry, I already bought everything we need! » he answered.


le lundi 23 juillet


Voir l'image

LIFE

LIFE, n. A spiritual pickle preserving the body from decay. We live in daily apprehension of its loss; yet when lost it is not missed.

Ambrose Bierce


le dimanche 22 juillet


Voir l'image

surabondance

http://www.bilan.ch/etienne-dumont/courants-dart/arlesles-rencontres-de-photo-signe-de-surabondance


le dimanche 22 juillet


Voir l'image

Royal Botanic Gardens, Kew

Royal Botanic Gardens, Kew


le dimanche 22 juillet


Voir l'image

un remplaçant

on ne sait pas en revanche si le kiosquier va rouvrir. Pas facile pour eux. Dans le secteur les agences immobilières fleurissent, c’est au moins ça.


le dimanche 22 juillet


Voir l'image

Cathédrale.

http://argentine-info.com/el-ateneo-un-theatre-reconverti-en-une-magnifique-bibliotheque-librairie/


le dimanche 22 juillet


Voir l'image

Monsieur Samsa

Il me regardait comme un singe comme j’ai pris cette photo…


le dimanche 22 juillet


Voir l'image

Storyteller

Traveling—it leaves you speechless, then turns you into a storyteller.

Ibn Battuta


le samedi 21 juillet


Voir l'image

Mayfair Londres

Mayfair, Londres


le samedi 21 juillet


Voir l'image

dans

Les fleurs de demain sont dans les semences d’aujourd’hui.


le vendredi 20 juillet


Voir l'image

L’amour s’en va …

… comme cette eau courante

L’amour s’en va

Comme la vie est lente

Et comme l’Espérance est violente

(Guillaume Apollinaire)


le vendredi 20 juillet


Voir l'image

Pub Londres

Pub, Londres


le vendredi 20 juillet


Voir l'image

Bi-Cycle

On my way home, especially at night, I tend to revisit the memories of past events. Eyes open all day, blurred images merge into one colorful palette.


le vendredi 20 juillet


Voir l'image

A time in the wilderness

It is a commonplace of all religious thought, even the most primitive, that the man seeking visions and insight must go apart from his fellows and love for a time in the wilderness.

Loren Eiseley


le vendredi 20 juillet


Voir l'image

Ich bin…

Il gravit deux à deux les marches qui mènent à la milonga. Dans sa hâte, il ôte déjà sa veste…J ‘imagine Nosfératu en danseur de tango…


le vendredi 20 juillet


Voir l'image

Gratitude

Wear gratitude like a cloak and it will feed every corner of your life.

Rumi


le jeudi 19 juillet


Voir l'image

foot

feet?


le jeudi 19 juillet


Voir l'image

OK, mais tu ne prends pas mes fesses alors…

… je ne les trouve pas belles.

Mais trop pas, lance son amie


le mercredi 18 juillet


Voir l'image

What is more refreshing than salads

What is more refreshing than salads when your appetite seems to have deserted you, or even after a capacious dinner – the nice, fresh, green, and crisp salad, full of life and health, which seems to invigorate the palate and dispose the masticating powers to a much longer duration.

Alexis Soyer


le mercredi 18 juillet


Voir l'image

attendre, nonchalamment

le chaland


le mardi 17 juillet


Voir l'image

17/07/2018

Flying


le mardi 17 juillet


Voir l'image

Forget not

Forget not that the earth delights to feel your bare feet and the winds long to play with your hair.

Gibran Khalil Gibran


le mardi 17 juillet


Voir l'image

16/07/2018

Excès de sollicitations.

le lundi 16 juillet


Voir l'image

le sens

de la photographie, parfois, m’échappe un peu


le lundi 16 juillet


Voir l'image

Goblet of worth

Let me sip from the goblet of worth.

Sean Kirkpatrick Clancy


le lundi 16 juillet


Voir l'image

et voilà

On peut ne pas être très amateur. Les vrais problèmes demeurent, etc. Ok. Ça fait plaisir quand même ! Et voilà, bien joué !


le dimanche 15 juillet


Voir l'image

15/07/2018

We just wanted to start developing film shot on an old Rolleiflex, when we noticed we were missing some chemicals… next time.


le dimanche 15 juillet


Voir l'image

A way out

What the hell are they all looking for? A way out. A way to the right way out. A way to leave. A way to go.
A way to have had it, to have had enough of it, to be done with it.
A decent way to give it all over to the giver of it all.

William Saroyan


le dimanche 15 juillet


Voir l'image

Judith.

Judith va vers les gens, leur demande un portrait, explique son travail, et bien peu refusent. Ainsi se construit une oeuvre forte d ‘une grande humanité…


le dimanche 15 juillet


Voir l'image

Sigmund Freud

Le bain dominical.

Ma mère :

« Tu sais, monsieur Gassmann, tu ne t’en souviens peut-être pas, quand tu es né, il a fait ton horoscope et il a dit : c’est un beau bébé, il réussira… etc.»

Moi :

« Réussira quoi ? »

Et elle s’est endormie à côté du journal.

Réussir quelque chose de plus grand que soi ?

Réussir à faire une trace dans la neige et la photographier avant qu’elle fonde ?

Le véritable enjeu de toute l’histoire c’est de savoir à quelles altitudes est placée la barre. Une autre question légitime c’est de donner au mot réussir un sens. Réussir de ne pas succomber aux sirènes de l’ambition. Peut-être. Ou tout au contraire en avoir assez pour s’arracher au piquet auquel attaché en laisse, on tourne en rond, avec la douce sensation pourtant d’avancer.

« Seuls les rapports de mère à fils donnent à la mère une plénitude de satisfaction… La mère peut reporter sur son fils toute l’ambition qu’elle a elle-même dû réprimer. »

Sigmund Freud


le dimanche 15 juillet


Voir l'image

Private toilet

Today, the degradation of the inner life is symbolized by the fact that the only place sacred from interruption is the private toilet.

Lewis Mumford


le samedi 14 juillet


Voir l'image

14/07/2018

Ma grand-mère dit toujours qu’on est aussi vieux qu’on le sent.


le samedi 14 juillet


Voir l'image

14/07/2018

http://www.uneparjour.org/f/traunig/7239/201106/auteur-un-mois.php


le samedi 14 juillet


Voir l'image

poppagum

la fabrique de bonbons lisboète


le samedi 14 juillet


Voir l'image

Tous les dix ans.

Retrouvailles sur le bateau Genève à fêter l’ami que nous ne voyons pas vieillir.

Tous les dix ans.


le vendredi 13 juillet


Voir l'image

Non ne ho dubbi !

Più dura è la vita, più forte sarai !


le vendredi 13 juillet


Voir l'image

In awe

It’s hard not to stand in awe and enchantment with the beauty in which nature expresses herself.

Steve Maraboli


le vendredi 13 juillet


Voir l'image

tip-tip


le vendredi 13 juillet


Voir l'image

12/07/2018

Ein grünes Blatt

Ein Blatt aus sommerlichen Tagen,
Ich nahm es so im Wandern mit,
Auf dass es einst mir möge sagen,
Wie laut die Nachtigall geschlagen,
Wie grün der Wald, den ich durchschritt.

-Theodor Storm-


le jeudi 12 juillet


Voir l'image

La

La poste vue d’avion.


le jeudi 12 juillet


Voir l'image

If there is magic

If there is magic on this planet, it is contained in water.

Loren Eiseley


le jeudi 12 juillet


Voir l'image

Le Halo et son code

La société Cognizant fait du Big data. A partir de tous nous « likes », nos clics, nos swipes, no commentaires et nos recherches sur le net, elle produit notre profil type qu’elle définit par un « code Halo ».

Parmi une des applications possibles, celle d’aller prendre toutes les annonces d’emploi que publient les entreprises sur leur site et les proposer aux personnes susceptibles de satisfaire les critères recherchés.

Dis-moi ce que tu aimes, je te dirai qui tu es


le jeudi 12 juillet


Voir l'image

Tu sais toi

Tu sais toi d’où vient le mot pique-nique ?

Selon le dictionnaire historique de la langue française Robert, du point de vue étymologique, le terme « nique » qui date de la fin du XIIIe siècle et qu’on retrouve dans l’expression « dire nic », c’est-à-dire « ne pas se soucier de », signifie « chose de peu de valeur ». « Faire un repas à pique-nique », c’est donc faire un repas, pas nécessairement sur l’herbe, mais où chacun apporte sa contribution. (…).

*Source wikipedia


le mercredi 11 juillet


Voir l'image

Slide down on the rainbow

Sometimes it’s important to work for that pot of gold. But other times it’s essential to take time off and to make sure that your most important decision in the day simply consists of choosing which color to slide down on the rainbow.

Douglas Pagels


le mercredi 11 juillet


Voir l'image

Seccotine

Résultat de recherche d'images pour "seccotine"


le mardi 10 juillet


Voir l'image

pour nous

Qu’est-ce qui se passe ? Y a un match ce soir ?

Ouais, France Belgique.

Ah bon et qui va gagner ?

Sont forts les Belges, ils vont quand même marquer un but, mais nous on en mettra deux.

Allez, bonne chance à vous alors.

Merci.


le mardi 10 juillet


Voir l'image

Finally

With the selfies, a photographer has finally found his place in a photograph.

Amit Kalantri


le mardi 10 juillet


Voir l'image

J.M. Machado de Assis.

On est encore loin du nr. 664 qui doit annoncer mon guichet. Autour de moi des dizaines de voyageurs attendent, compulsent des horaires, posent des questions à des auxiliaires blasés, vêtus de gilets fluo. Pour patienter, j’entame l’Aliéniste du grand écrivain brésilien J.M. Machado de Assis. Simon Bacamarte, médecin diplômé fonde un asile d’aliénés. Il classe les gens. Interne d’abord les lunatiques, et enfin tout le monde y passe – et lui, se retrouve finalement tout seul dans la petite ville où il officie.

Quinze minutes ont passé. Mon voisin n’a pas bougé. Il dort. D’où vient-il ? Il semble épuisé. Que faire ? M’en mêler ? En parler au guichet Le réveiller pour l’inviter chez moi ? Un enfant hurle, une dame est en palabre avec elle-même, un couple règle ses comptes. Un doux chaos rythmé par le tintement des clochettes rend irréel cette overdose de réalité.

J’essaie d’y échapper en me replongeant dans mon livre, cette histoire d’aliénés. Mais le cœur n’y est pas – peut-être parce que le courage m’a manqué pour briser les reins à l’indifférence, et simplement demander à l’homme à côté de moi si ça allait…


le lundi 9 juillet


Voir l'image

Complémentaire

The construction site of the former hotel Hilton in Basel has been a chronicle of bustling activity since the pull down of the building in 2016. Soon there will be no view of any bit of sky from this perspective anymore.


le lundi 9 juillet


Voir l'image

Protection

I hold that, the more helpless a creature, the more entitled it is to protection by man from the cruelty of man.

Mahatma Gandhi


le lundi 9 juillet


Voir l'image

Food is everything we are

Food is everything we are. It’s an extension of nationalist feeling, ethnic feeling, your personal history, your province, your region, your tribe, your grandma. It’s inseparable from those from the get-go.

Anthony Bourdain


le dimanche 8 juillet


Voir l'image

à l’infini

… et c’est ainsi, par des constructions complexes de pièges, que la vie se nourrit de la vie, se déploie pour en nourrir d’autres, à l’infini.


le dimanche 8 juillet


Voir l'image

11 heures 30°

grosse fatigue, ce n’est qu’un début

« Le nombre moyen de journées estivales (température maximale supérieure à 25 °C) augmente à Paris de l’ordre de 4 jours tous les 10 ans, avec de fortes variations d’une année à l’autre. (…) Les trois années les plus chaudes à Paris depuis 1872 ont toutes été enregistrées récemment (2011, 2014 et 2015) »

http://www.apc-paris.com/evolution-climat


le dimanche 8 juillet


Voir l'image

Inside you

What is inherent inside you is your uniqueness and peculiarity.

Sunday Alidaja


le samedi 7 juillet


Voir l'image

Si

« La règle d’or, c’est qu’il n’y a pas de règle d’or »  George Bernard Shaw


le samedi 7 juillet


Voir l'image

Honi

Honi soit qui mal y pense.


le samedi 7 juillet


Voir l'image

homme d’église

C’est flou comme la vie a une autre saveur quand tout s’emmêle dans la salle de bal du cerveau – d’ailleurs, est-ce que vous avez une idée où se cache l’âme vous qui avez accès à l’intérieur de nos têtes ? Le sympathique neurologue trouve ma question incongrue et me révèle, par une délicate vibration des sourcils, qu’il est d’abord homme de science et de raison – la clameur d’un  JOYEUX ANNIVERSAIRE déplace la conversation sur la fêtée – et je clos l’échange par : je poserai la question à un homme d’église, peut-être qu’il aura la réponse…


le vendredi 6 juillet


Voir l'image

Beyond the horizon

Suppose I was to tell you that it’s just beauty that’s calling me, the beauty of the far off and unknown, the mystery and spell which lures me, the need of freedom of great wide spaces, the joy of wandering on and on—-in quest of the secret which is hidden over there—-beyond the horizon?

Eugene O’Neill


le vendredi 6 juillet


Voir l'image

avant que son destin effleure mon capot

Sur l’autoroute à trois voies la voiture de devant fait subitement un écart, m’arrache à ma torpeur. Il est passé minuit lorsque dans le faisceau des phares un faon hébété me fait face. Je l’évite de justesse sur cette autoroute à trois voies bondées de camions.

Toute ma longue nuit sera hantée par le regard de l’animal condamné.

Quatre heures plus tôt :

Le vol, retardé de deux heures, est finalement annulé. Certains rient, dodelinent de la tête, d’autres fulminent. Une mère de famille s’insurge pendant qu’un homme pousse un long brame qui recouvre tout. Il est huit heures du soir à Schönefeld, l’aéroport où EasyJet et Ryanair déversent en continu les touristes sur Berlin.

Nous allons faire une annonce, calmez-vous dit une hôtesse assaillie de questionneurs. Tous se tournent vers elle, attendent, mais une voix intervient à l’opposé. Se veut rassurante. Confiante. Vous allez être emmené en bus au terminal X et de là vous aurez de nouvelles informations, puis vous pourrez rebooker un vol pour Genève. Et ainsi, de guichet en guichet, d’hôtesse en hôtesse, qui se refilent la patate chaude, se dilue la rage d’être mal traité en diffuse résignation.

Non, rien, pas de place sur le vol de demain, rien avant vendredi, sur Zurich, peut-être. Désolé, je ne peux rien faire pour vous. Mais je vous comprends. Se voit répondre une jeune femme affligée. Une seule personne au guichet pour recevoir une centaine de personnes. Il vous faut vous rendre sur l’application easyJet et suivre le protocole… Chacun d’entre nous, bien sûr, a de bonnes raisons de se démener pour être bien servi, a un rendez-vous important, moi c’est l’opération de la cataracte demain matin à huit heures cinquante-cinq, c’est important vous savez, parce que mon médecin ne sera plus disponible après, etc… mais mes arguments ne valent pas plus que ceux de mes voisins de la longue file d’attente, et je les remballe, les rendre public ne sert à rien.

L. et moi décidons alors de louer une voiture. Au galop. Avant que les loueurs ne ferment boutique.

Nous voilà dans une polo. Radio à plein tube dans le soleil couchant. Embarquons plus loin une autostoppeuse en route pour un stage d’accro-yoga dans le sud – et qui casse sa bouteille d’eau en verre en sortant son sac du coffre près de Leipzig – rencontre qui aura retardé de quelques minutes notre avancée vers le sud, pendant que le faon s’égarait en bordure d’autoroute, avant de s’y engager, avant que son destin effleure mon capot.

1130 kilomètres plus bas, au bras de S. qui m’accompagne à la clinique, je vois deux chiens en laisse tremblotants. L’envie de les rassurer me prends. Leur parle. Finalement les photographie. C’est flou. La nuit entière pèse sur mon index. Je m’y reprends à trois fois avant d’enfin m’endormir sur la table d’opération.


le jeudi 5 juillet


Voir l'image

Une étoile brille …

… sur l’heure de notre rencontre

Les langues elfiques (également appelées simplement elfique ou elfe) sont des langues imaginaires parlées par les peuples elfes de diverses œuvres de fantasy. Leur degré d’élaboration est très variable, de la simple allusion à l’élaboration d’une véritable langue construite (wikipedia)


le jeudi 5 juillet


Voir l'image

Smoke

Burn me as much as you want. My remains will still smoke of your love.

Rumi


le jeudi 5 juillet


Voir l'image

Victoria

Croisé une jolie gosse, qui prenait le soleil et m’a un peu regardé de haut.


le jeudi 5 juillet


Voir l'image

The water is a shining jewel

With curiosity in his voice he asked her, “What was the reason that knocked you down on the thought of this beautiful river?”

She gave genuine smile to him and replied: “The water is a shining jewel. It’s got purity in it. The sky gets reflected by the water which makes the sky look as heavenly as it already is. And as the wind hits the water, a series of beautiful dancing waves are formed. And by these I depicted all the nature’s beauty in just one picture”.

The old man was nothing but stunned by her words. Her left with a smile plastered on his face.

Rumina Poddar


le mercredi 4 juillet


Voir l'image

Clear

If you let cloudy water settle, it will become clear. If you let your upset mind settle, your course will also become clear.

Gautama Buddha


le mardi 3 juillet


Voir l'image

Down in the river to pray

As I went down in the river to pray
Studying about that good old way
And who shall wear the starry crown
Good Lord, show me the way!
O sinners, let’s go down
Let’s go down, come on down
O sinners, let’s go down
Down in the river to pray

Lyrics by Alison Kraus


le lundi 2 juillet


Voir l'image

ECAL LAYOUT

ECAL LAYOUT – Séquence pour un magazine – travail d’étudiants


le lundi 2 juillet


Voir l'image

Amoureux d’elle ?

Oui, sans doute un peu


le dimanche 1 juillet


Voir l'image

Mr. Lonely

I’m so lonely (so lonely)
I’m Mr. Lonely (Mr. Lonely)
I have nobody (I have nobody)
For my own (to call my own baby)
Been all about the world ain’t never met a girl that can take the things that you been through
Never thought the day would come where you would get up and run and I would be out chasing you

Song by Akon


le dimanche 1 juillet


Voir l'image