La super équipe fête le départ du non moins super Alexis qui va nous manquer.

Mais caramba, qué passa ?

C’est pour fêter ses quinze ans !

Et les nuages au même moment ont fait place aux derniers rayons du soleil…mexicain.

La croix, un symbole qui survole le monde en tout grand sur la queue des avions de Swiss, sur mon passeport, dans ma poche sur les pièces de 5 francs. On la retrouve aussi, cramée, dans Notre Dame, sur les bords des routes de bleds paumés, dans les chambres à coucher, dans les cimetières…

C’est dingue qu’un instrument de supplice aussi abominable soit pareillement vénéré.

Il serait temps que ça change et qu’on mette de côté notre culpabilité d’avoir supplicié le fils de Dieu – c’est peut-être pour ça, pour se venger, qu’il nous a envoyé Trump.

Belle tension entre les bleus et les ocres, entre les jaunes et les noirs entre les nœuds simples et les nœuds doubles entre la brique et le mur.

Allégorie de certaines relations familiales.

Jette ma fille.

Vacances à Morelia ex Valladolid, repaire des papillons Monarques.

Ces papillons, à la couleur orange prédominante, migrent chaque année sur plus de 4 000 kilomètres, depuis le Canada et le nord-est des États-Unis jusqu’au Mexique pour passer l’hiver. De 100 à 200 millions de papillons se déplacent ainsi à une distance de 120 km par jour.

Cinq générations successives de papillons sont nécessaires pour accomplir ce long périple. La durée de vie moyenne des quatre premières générations est de deux à trois semaines, alors que la dernière génération – celle qui termine la migration- vit environ huit mois !

Il existe différentes hypothèses sur le fait que ces papillons puissent retrouver leur chemin, comme le fait qu’ils soient guidés par la position du soleil, ou qu’ils possèdent un capteur de champ magnétique terrestre, mais aucune n’a été prouvée et l’orientation des papillons monarques constitue l’une des plus grandes énigmes de la nature qui n’a jamais été résolue par les scientifiques.

A la fin du mois de février, c’est la période de reproduction qui commence, alors que les papillons sont pleins d’énergie et ont fait leur réserve nécessaire de graisse. Puis, fin mars, les papillons migrent cette fois vers le Nord.

Source web

Brave et en confiance, intrépide et sans peur.

Conquise par Cortès en 1521, par John Huston en 1984 pour tourner Au-dessous du Volcan et ensuite par des milliers de touristes, il n’est pas facile pour tout le monde de tracer son chemin dans les ruelles de la charmante Tepoztlan où toute la ville de Mexico semble s’être donnée rendez-vous.

Jésus s’appelle Daniel.

Comme le petit garçon chantant rencontré la veille.

C’est sûrement le hasard, à moins que….

Visite de Teotihuacán, le plus grand site archéologique de la Méso-Amérique. Le Lonely Planet met en garde les-comme-nous de rejoindre le site avec une ligne de bus régulière car ces bus sont parfois le théâtre de vols à main armée.

Et c’est le petit Daniel qui fera  main basse sur un billet de vingt pesos en nous interprétant une ranchera tout en suçotant une glace.

Grand moment de bonheur.

Mettre en péril ses poumons pour sauver des pigeons, la noblesse des fumeurs.

Célimène et le Cardinal de Jacques Rampal Avec Sofia Verdon et Gil Rossion.

Mise en scène par Jean-Pierre Passerat.

Au Théâtre des Grottes jusqu’au 14 avril.

Courez-y !

Antoinette, Bill et Léonor.

Me voilà pendant bien vingt minutes à guetter Bill, sa belle gueule, son menton volontaire, ses cheveux courts soignés. Bill porte sur le dos un sac de l’armée américaine kaki, et en bandoulière un amplificateur de voix. Il proclame l’amour du Christ à plein tube. Il est mort pour vous, sur la croix, il vous aime. In English of course, brame-t-il au milieu d’une indifférence générale. Alors arrive Antoinette qui s’est fait virer de chez elle parce qu’elle n’avait plus les moyens de payer son appartement. Fait l’aumône pour pouvoir passer une nuit après l’autre à l’armée du Salut. Elle regarde Bill, mais Bill ne la voit pas, trop absorbé à dispenser l’Amour immense dont il est le dépositaire. Tout occupé aussi de filmer avec sa GoPro fixée sur une des brettelles de son sac à dos. Bill doit aimer le cinéma. A moins que….

Je rengaine mon boitier, galope vers Le Passage des Lions et là je sais que fidèle toujours elle m’attend, m’apaise, avec une candeur qui me fait à chaque fois rougir. Je sais qu’elle n’est là que pour moi. Mais pas cette fois. Un zigue la zieute. Je crie, casse-toi, laisse-la. Fous la paix à Léonor. Mais rien à faire. Il ne bouge pas et Léonor continue à sourire au mec qui la regarde. Je suis sûr qu’il est encore là-bas, à se raconter des trucs, dans Le Passage des Lions.

Le carnaval des soldes merdiques éternels.

Le carnaval du printemps.

Small Talks lors du vernissage du second roman de F.B. Les Immortelles.

Cette jeune femme au centre de l’image a retenu toute mon attention car elle promenait en laisse un Fuji X100T.

Mais un peu plus tard, un peu plus loin, elle s’était évaporée sans que je puisse lui demander quel type de rapport elle entretenait avec son boîtier.

Père et Fille !

L’adorable Stelina (que j’ai toujours envie d’appeler Olive parce qu’elle me fait penser à la femme de Popeye) et Pietro en hôtes attentifs, nous comblent de lasagnes.