Benjamin, futuro astronauto en formacion…

Pour ceux qui se conduisent comme des bêtes et font honte à leur chien.

Triste d’en arriver là.

Triste l’annonce du premier ministre en France d’installer des portiques de sécurité à l’entrée des écoles après une infâme attaque au couteau.

Triste ces quelques uns qui gouvernent et se conduisent comme des voyous.

Triste période de violence et d’incivilité.

The Beast.

Saison II

Oh Mom, if I had known

Delia, championne pongiste de Mategnin.

A cette heure-ci la foule se disperse mollement autour du Golgotha de San Lorenzo de Tezonco, dans  la banlieue de Mexico où le Christ est régulièrement crucifié les Vendredis Saints. Ce sont parfois des ambulanciers qui prennent en charge la descente de croix parce que se glisser dans la peau du fils de Dieu est une prouesse épuisante, et qu’une fois sur deux l’élu s’évanouit… et souvent décline le rôle l’année suivante.

L’eusses-tu-cru…

Vingt et un  mille six cent trente cinq…

Quand les mystères sont très malins, ils se cachent en pleine lumière…

André avait raison : le 21 siècle sera spirituel ou ne sera pas.

Déjà le 8 avril dit le Magnolia

…alors que plongé dans l’intéressante chronique de Christian Salmon au sujet des emmerdes de MLP, intitulée : La conception narrative de la vérité, un mâle et une femelle moucheron tombent du ciel,  font la bête à deux dos, copulent et me détournent avec bonheur du théâtre grand-guignolesque de tous ces egoboursouflés de la politique.

J’aime encore mieux voir baiser deux moucherons célébrer la vie que d’écouter MLP citer Martin Luther King.

Préparation du capteur du RX100 pour un voyage au Vietnam.

« …parce que j’étais lui comme j’étais ma mère et mon père et mon grand-père  (…) et mon arrière grand-mère (…), de la même manière que j’étais tous les ancêtres qui affluent dans mon présent telle une foule ou une légion innombrable de morts ou une forêt de fantômes, comme tous les sangs qui se jettent dans mon sang, provenant de puits insondable de notre ignorance infinie du passé… »

Javier Cercas, Le Monarque des ombres