Quoi de meilleur qu’une bonne et franche camaraderie avant que le repas soit servi.

Surfeur dans le vague face à l’océan apaisé.

La costa de la muerte.

Tel est pris celui qui croyait prendre.

…el viento sopla tu cabello en Punta Nariga.

Manuel raconte sa fascination pour Alain Delon et sa famille dont il connait tous les détails, comme si c’était la sienne, et conclut : ça fait 35 ans que je suis sans domicile, vous pourriez m’aider un peu…

Cette dame souriante connait-elle l’histoire

d’Inès de Castro ?

…comme dans toute grande tragédie, l’histoire commence par un trio amoureux : Le Prince Pierre de Portugal tombe amoureux d’Inès de Castro et néglige sa promise, Constance.

Damned !

Le père du Prince, le Roi Alphonse 4, désapprouve cette liaison, essentiellement pour des raisons de pouvoir. En effet, les proches d’Inès deviennent également amis du jeune Prince et le « Clan des Castro » étend son influence.

Vieux crabe aigri à la vitalité déclinante !

En 1344, il fait exiler Inès de Castro au château d’Albuquerque (Espagne), à la frontière Castillane. Les deux amants se lancent alors dans une correspondance assidue.

C’est la préhistoire du sms

Dans le même temps, la Princesse Constance, meurt en donnant naissance au futur Roi Ferdinand 1er du Portugal.

Ouf, un garçon !

Pierre, devenu veuf, rappelle alors Inès à la Cour. Leur relation, hors mariage, donnera le jour à 4 enfants qui pourraient alors prétendre au Trône en cas de disparition du Prince Ferdinand.

Ça fait quand même penser aux Windsor, cette histoire

De son côté, le « Clan des Castro » étend son pouvoir au Royaume de Castille, frontalier du tout jeune Portugal en mariant la sœur d’Inès au nouveau Roi de Castille.

T’a fait un carton frangine.

Pierre et Inès s’abstiennent toutefois d’intervenir dans ces luttes d’influence et s’installent à Coimbra dans le palais de Santa Clara.

En toute discrétion.

Après plusieurs tentatives d’éloignement des amants, le Roi Alphonse 4 redoute que son fils, sous influence du « Clan des Castro », prenne partie dans la crise politique Castillane qui perdure.

Ça pourrait partir en couilles, croyez-moi.

Il ordonne alors l’assassinat d’Inès. Pedro Coelho, Âlaro Gonçalves et Diogo Lopes Pacheco, désignés pour exécuter Inès se rendent à Santa Clara et, profitant de l’absence de Pierre, assassinent Inès, le 7 janvier 1355.

C’est pour ton bien mon fils.

Deux ans après, en 1357, Alphonse 4 meurt et Pierre est couronné. Il annonce alors avoir secrètement épousé Inès 7 ans auparavant. Cette annonce, confirmée par témoins, légitime sa descendance.

Bien joué !

Il fait alors déterrer le corps d’Inès, la revêt d’un manteau de Pourpre, signe d’appartenance royale, et l’assoit sur le Trône du Portugal, obligeant toute la Cour à venir lui baiser la main.

Même Stephen King en aurait été baba.

Les assassins sont poursuivis et deux d’entre eux sont capturés. Le Roi exigera qu’on leur arrache le cœur de la poitrine tandis qu’il assiste à la scène lors d’un banquet.

Voilà ce qui arrive quand on n’a pas de cœur.

De nouvelles funérailles sont alors organisées pour Inès. Elles seront célébrées au Monastère d’Alcobaça ou seront construits deux splendides tombeaux. Pierre y rejoindra Inès en 1367.

L’Amour, ça rend créatif…

Réf : Luisa Paixao

Moi JE !

Son livre préféré, La Métamorphose, en bocal.

Les 14 rayons du char céleste d’Ouranos, grand-père de Zeus, photographiés par hasard au-dessus du Synchrocyclotron du Cern.

Hasard ?

La joie de fêter leur 64ème année au Café du Soleil !

ZOLA JESUS – Me 11.09 à Saint-François

Impossible de faire aboyer un chien qui s’ennuie. Ça aurait pu mettre un peu d’ambiance au vernissage de Petra W. à la galerie L.

Sandro, co-fondateur (dans une cuisine avec deux potes) du Festival du Bois de la Bâtie en 1977.

Dans le creux d’un parapet sur lequel il s’assied tous les jours pour faire la manche, il se débarrasse des pièces de 1 centimes d’euros dont se débarrassent les client.e.s du Casino.

Solidarité parentale au vernissage de notre ami et collègue Nicolas S. qui vernit quelques photographies conjointement avec Aline K. à la galerie Brot und Käse à Soral

Oh Rita, ris, je t’en prie… l’automne déjà approche.