Francis Traunig

Les légendes de Francis Traunig /

1790 images légendées.

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2024

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2023

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2022

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2021

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2020

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2019

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2018

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2017

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2016

01

02

03

04

05

06

07

08

09

10

11

12

2015

l’humour.

Tirer la langue au destin.

…alors j’ai dit à la pasteur, Madame Loiseau, j’ai pas peur de mourir, j’ai pas peur, d’ailleurs je trouve que Dieu a mal fait les choses…de laisser les vieux devenir vieux, c’est pas vraiment drôle…et puis, je voulais vous demandez, c’est vous qui m’enterrerez Madame Loiseau ? Tu sais ce qu’elle me répond ?

Oui bien sûr, sauf si je suis en vacances…

Madame Loiseau, est vraiment  proche de ses ouailles et de leur sens de l’humour.


le mercredi 29 mai


Voir l'image

Sa cravate.

Éloquente image  (Thibault Camus/Associated Press, parue dans le New York Times) de cette saine et reluisante* jeunesse d’extrême droite française qui exulte d’avoir raflé un quart des sièges aux européennes.

Ça fout les jetons. Mais où est Mélenchon avec ses Macron démission ? Où est la sociale démocratie promise par, merde j’ai oublié par qui.  Où est la gauche ? Ah, oui, Vals est en Espagne.

Qui a intérêt à foutre le feu à la rue, a propager l’insécurité pour que les votants se disent, cette fois c’en est trop, il faut le retour de l’ordre.

Marine !

Diabolique pyromane elle a allumé la mèche qui pend au cou de Macron. Sa cravate.

*on se croirait chez les cinglés qui soutiennent Trump, l’élégance en plus

Ps : Je ne suis pas Macroniste, juste un voisin concerné et inquiet.


le lundi 27 mai


Voir l'image

Bala et Jana

Belle balade avec mes amis Bala et Jana à Bienne. Nous rencontrons un homme figé devant un massif de fleurs.

Monsieur, qu’est-ce que vous attendez ?

J’attends que la lumière vienne.


le dimanche 26 mai


Voir l'image

http://auer01.auerphoto.com/

Nicolas Crispini, Philippe Ayral, entre autres vernissent une belle expo sur la thématique des arbres au Boléro de Versoix.

Je me demande ce que deviendra la collection de Michel Auer, grand passionné de photographies devant l’éternel, le jour ou l’éternel le rappellera à lui (le plus tard possible, of course).

Mais je n’ose pas lui poser la question de peur d’être inconvenant.

http://auer01.auerphoto.com/


le samedi 25 mai


Voir l'image

tartine

Ìl nous chante Besame mucho. Nous tartine de sourires. Je lui file trois balles. Il regarde les pièces. S’en va dédaigneux. Bougonnant.


le vendredi 24 mai


Voir l'image

Le

Le ciel est bleu…


le jeudi 23 mai


Voir l'image

Enfin, pas pour tous.

Tous ses potes sont à l’étage et écoutent la maîtresse leur parler de choses  terriblement ennuyeuses. La vraie vie c’est parfois tellement chiant.

Enfin, pas pour tous.


le mardi 21 mai


Voir l'image

Eh, James Bond, qu’est-ce que tu fous là ?

Je vois deux joggeurs, shorts, chaussettes blanches, traverser la place Bel-Air au pas de course. Ils sont suivis par une femme qui tire derrière elle une valise à roulettes, au pas de course aussi. Les deux (employés de banque en pause ?) sont surpris quand elle les dépasse. Tournent la tête alors qu’elle s’écrase littéralement contre la porte du tram qui démarre.

Photo ratée. J’ai pas été assez rapide, trop absorbé par ce moment incongru.

Je prends alors l’appareil en main. On sait jamais. M’arrête. Bidouille un réglage. Un mec se plante devant moi, pousse un rôt guttural et me demande si je speak l’english…. No. I am sorry I don’t… je luis dis. Il rit, rote encore un coup et se tire.

Rencontre difficile à photographier me dis-je et replace l’appareil dans son étui. Cinquante mètres plus loin un type que je ne connais pas me dévisage et dit : Eh, James Bond, qu’est-ce que tu fous là ?

Il y a parfois des journées riches en évènements mais pas faciles à photographier.


le lundi 20 mai


Voir l'image

Il est bon

Il est bon de se rappeler, de temps à autre, qu’il y a des priorités dans la vie.


le vendredi 17 mai


Voir l'image

à

Petits fours au vernissage fastueux de Jacques Kaufmann  à l’Ariana.


le jeudi 16 mai


Voir l'image

On verra bien.

Il y a six mois, un panneau a été planté au milieu du champ et on pouvait lire : Ici se construira VOTRE ECO-QUARTIER.

Les pelles ont tout nivelé.

Il y avait là du blé, des pavots, des oiseaux.

Bientôt il y aura des bobos, des vélos et des voitures électriques.

Je referai une image dans un an, même heure, même endroit.

On verra bien.


le mercredi 15 mai


Voir l'image

rock-and-roll

The lilac rock-and-roll


le lundi 13 mai


Voir l'image

Sexe !

Sexe !

Ps : Les plantes, les escargots, les lamas, les aborigènes, les pandas, les norvégiens, les chênes, les genevois, les diplomates, les pumas, doivent au sexe, leur salut, leur existence…


le dimanche 12 mai


Voir l'image

Scarlatti

La très belle voix de Cindy Favre-Victoire et de l’Ensemble Vocal Fragrantia au service de l’immortel génie de Scarlatti.

Entre autre.


le samedi 11 mai


Voir l'image

les salariés épuisés

...et, il y a Dieu, les oiseaux, oui les oiseaux. Les mouettes surtout. Il y a les martiens aussi, toute la création, écoutez, écoutez sa parole, écoutez-la…

A vingt mètres de là, un zigue s’essouffle dans un didjeridoo et bat la mesure avec ses pieds enrobés de grelots.

Un culte haut en couleurs adressé au Dieu Indifférence qui dévore les salariés épuisés des vendredis soir.


le vendredi 10 mai


Voir l'image

09/05/2019


le jeudi 9 mai


Voir l'image

Trente et un mille

Trente et un mille zéro vingt cinq jours à promener son regard curieux sur la vie.


le mercredi 8 mai


Voir l'image

Ici,

Avant d’écrire dans le tumulte parfois placide // des paysages des bourrasques de Neuchâtel // m’adresse aux monticules tracés à la règle // à la pointe par Aloïs Dubach prends mon élan // lustre mon déséquilibre au creux de son exigence fragile // des corps qui tiennent à une ligne // on les caresse par la cage thoracique…

…déclame-t-il avec son organe puissant dans cette hall gigantesque où il y a moins d’un mois on célébrait la bagnole. Et avant ça, des salons en cuir et des cuisines et aussi de l’art contemporain. Le show poétique ne peut pas lutter contre l’écrasante hall et ses vingt-cinq mètres de hauteur de plafond. Les livres n’ont rien à faire dans ce lieu impersonnel.

Ici, le livre est transformé en livre-marchandise.


le samedi 4 mai


Voir l'image

Che

Che, l’imprimeur génial de la rue Marziano va vendre  sa speedmaster, il en a marre, et veut passer à autre chose.


le vendredi 3 mai


Voir l'image

40 ans

Sniff nostalgie à la Galerie RUINE où notre amie Monique expose 40 ans de photographies avec encore et toujours cette même interrogation :

Est-ce le temps qui passe ? ou est-ce nous qui passons ?


le mercredi 1 mai


Voir l'image