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Proverbe
Les élans les plus fougueux, toujours le sont redevables au tronc.
Proverbe Meyrinois
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24/02/2016
Quelque chose les a fait rire : ma posture, genre schuss à ski, mon baratin de pacotille, mon portugais incompréhensible, ou alors ma braguette que j'avais oublié de fermer ?
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Au-dessous d’elles, la Limmat
Ach, Ja, Hello! kann ich... do you speak english... let me... Oh nice, laissez-moi, je peux parler français, je peux ?
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Shakespeare
-Y a des Gandhi en Afrique ?
-Oui, Mandela, et aussi Sankara
« Gloire au peuple, pouvoir au peuple, honneur au peuple au génie créateur libéré.
Le peuple de Haute-Volta est capable de construire, seul et de ses mains, les fondements matériels de son avenir.
C’est pourquoi notre combat quotidien Vise à débarrasser notre peuple de ceux qui l’ont toujours écrasé, exploité, méprisé, bâillonné. Malheur à ceux qui bâillonnent leur peuple ! »
Sankara, hélas, contrairement à Gandhi, se promenait toujours avec sa pétoire à la main. Et hélas a fait fusiller une brochette de ses opposants. Et hélas s'est fait flinguer par son perfide frère d'armes, Blaise Campaoré. C'est du black Shakespeare.
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Zut
Me suis dit : Zut, y a des gens qui vivent comme ça dans des environnements confinés, sans espoir, puis, en changeant un peu la perspective de mon point de vue, me suis mis à admirer la capacité de résilience de cette verdure cadrée par son socle minéral, avant de me rendre compte que c'est du plastok !
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Remarquez
Remarquez les regards. Ils viennent de voir une pépée balancée comme une danseuse du Crazy Horse. Et ils vont, au galop, lui courir après et souffler dans leurs instruments à vent comme des cerfs en rut.
Bon on est à Milan. C’est peut-être une coutume locale ?
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Pietro
Pietro est garagiste. A la retraite depuis une dizaine d’années. Un cœur en or. Toujours prêt à rendre service. A vouloir offrir un café. A arpenter la zone marchande de la rue du Mont-Blanc, où, se regroupent en conciliabules les transalpins qui ont donné leur vie aux entreprises du coin. Et ne veulent plus retourner en Italie. Alors ils s’animent entre eux, en été autour d’un banc, en hiver en grappes autour de ristretti. Ont presque tous des casquettes, ont tous presque la même taille, petite, semble tous avoir la même épouse, un peu ronde et gentiment autoritaire.
C’est un peu cliché, bien sûr. Mais aussi un peu ça.
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payer le fonctionnaire
Pour abattre un arbre, en Suisse, il faut faire une demande en trois exemplaires, payer un émolument pour payer le fonctionnaire qui va mettre son timbre au bas des documents, et replanter à ses frais la même espèce que l’abattue . Mais Éole et la neige s'en tapent. Ils dessouchent en piaillant...
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Nous, vus de dehors
Là, peut-être un peu en haut vers la droite, sur un de ces petits points, nous grouillons dans nos rêves.
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Soif d’horizons
Tonio pose les plaques. Les larmes dans les yeux. Trente-cinq ans au service des passionnés de l’image. La disponibilité raidie par une présence constante, peut-être. Fatigué d’avoir dû s’habituer constamment aux diktats de la distribution, aux nouvelles manies des clients, surinformés par le web. Encore un petit commerce rayé de la carte urbaine. Victime de la conjoncture. Victime d’internet ?
Peut-être un peu de tout ça, mais la vraie raison, c’est que Tonio, 67 ans, a soif d’horizons.
Il va nous manquer.
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Exposer c’est s’exposer
L'angoisse du gardien de but au moment du penalty...
Toute cette énergie, ces petits fours, ce champagne, cet accrochage, est-ce que je vais vendre? est-ce que ça plaît? est-ce que je continue?
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J-1
Nicolas se plie en deux pour préparer son vernissage qui aura lieu :
DEMAIN à 18 heures !
Où ?
Allez jeter un œil à la section AGENDA du menu.
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