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Ping-pong entre le païen et le religieux
Halloween ou l'Halloween est une fête originaire des îles Anglo-Celtes célébrée dans la soirée du 31 octobre, veille de la Toussaint. Son nom est une contraction de l'anglais All Hallows Eve qui signifie the eve of All Saints' Day en anglais contemporain et peut se traduire comme « la veillée de la Toussaint ».
En dépit de son nom d'origine chrétienne et anglaise, la grande majorité des sources présentent Halloween comme un héritage de la fête païenne de Samain qui était célébrée au début de l'automne par les Celtes et constituait pour eux une sorte de fête du nouvel an. Halloween est ainsi connue jusqu'à nos jours sous le nom de Oíche Shamhna en gaélique. Elle est une fête très populaire en Irlande, Écosse et au Pays de Galles où l'on trouve de nombreux témoignages historiques de son existence. Jack-o'-lantern, la lanterne emblématique d'Halloween, est elle-même issue d'une légende irlandaise.
C'est à partir du VIIIe siècle, sous le pape Grégoire III (731-741) et, au siècle suivant, sous le pape Grégoire IV (827-844), que l'église catholique introduisit la Toussaint en date du 1er novembre opérant un syncrétisme avec les fêtes de Samain.
La fête d'Halloween est introduite aux États-Unis et au Canada après l'arrivée massive d'émigrants irlandais et écossais notamment à la suite de la Grande famine en Irlande (1845-1851). Elle y gagne en popularité à partir des années 1920 et c'est sur le nouveau continent qu'apparaissent les lanternes Jack-o'-lanterns confectionnées à partir de citrouilles, d'origine locale, en remplacement des rutabagas utilisés en Europe.
Halloween est aujourd'hui célébrée principalement en Irlande, en Grande-Bretagne, aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande et, dans une moindre mesure, en France. La tradition moderne la plus connue veut que les enfants se déguisent avec des costumes effrayants comme des costumes de fantômes, de sorcières, de monstres ou de vampires et aillent sonner aux portes en demandant des friandises avec la formule : Trick or treat! qui signifie « Farce ou friandise ! ». La soirée peut également être marquée par des feux de joie, des feux d'artifices, des jeux d'enfants, la lecture de contes horrifiques ou de poèmes d'Halloween, la diffusion de films d'horreur mais aussi la tenue de messes anticipées de la Toussaint dans sa composante strictement religieuse.
Sources WIKIPEDIA
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Alors oui, on me touche parfois le bouton…
-...alors oui, on me touche parfois le bouton de mon vêtement... mais en me le demandant très gentiment... d'autres me serrent la main, d'autres me passent la main dans le dos... ben oui, ils pensent qu'un ramoneur porte bonheur, j'peux comprendre mais c'est parfois lourd.
-Qu'est ce qui est lourd ?
-Ben le bonheur des autres !
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Son sourire a perdu une dent
...il m'a pris par les oreilles et m'a fracassé la tête contre une vitre. J'avais 16 ans...
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Les vaches
…je me retrouve alors avec une dizaine de vaches sur ma terrasse qui heureusement ne piétinent pas mes fleurs….qu’est-ce que tu aurais fait, toi ? Je les aurais chassées…Oui mais dans mon état, à mon âge, tu sais bien que j’ai de la peine à bouger… alors ?... j’ai téléphoné au paysan mais il y avait le répondeur, j’en ai appelé un autre, personne, alors j’ai appuyé sur le bouton que j’ai au poignet… le Sécutel ?... on m’a demandé ce qui m’arrivait, si j’avais besoin d’aide, d’une infirmière, j’ai dit non, j’ai dit que j’avais des vaches sur ma terrasse et qu’il fallait m’envoyer quelqu’un très vite… la dame m’a dit qu’elle ne pouvait rien faire sinon faire venir un médecin ou une infirmière mais que ça ne servait à rien pour des vaches… appelez la police plutôt, au revoir madame… alors j’ai rappelé le répondeur du paysan et j’ai dit que j’allais contacter la police… tout de suite après il me téléphone… madame, jamais personne n’a menacé d’appeler la police à cause de mes vaches, mais je vais venir… voilà que très vite il arrive, sauf que ce sont pas ses vaches à lui mais celle de son voisin avec qui il est en pétard depuis toujours pour des histoires de clôtures…
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Sport
A Ponta Delgada, aux Açores, on peut s'offrir :
-Un jeans : 12 euros 95
-Un plat du jour : 4 euros 50
-Une entrée au cinéma : 4 euros 50
-La coupe de cheveux : 5 euros
-Une paire de chaussures de trekking : 15 euros 95
-Une lampe frontale (avec les piles) : 3 euros 50
-Une tasse de chocolat chaud et une bière : 1 euros 65
-Un sac de couchage : 9 euros 95
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Arquipélagio
Le centre d'Art Contemporain de Ribeira Grande, petite ville au nord de l'île de San Miguel, a trouvé ses quartiers dans une ancienne usine de liqueur. Une merveille de réhabilitation financée par la communauté européenne. Nous sommes accueillis par une haie de sourires. Dix huit employés pour deux visiteurs. Sur les rayonnages en multiplis clairs de la librairie sont dressés de face, pour meubler, des livres qui appartiennent à la bibliothèque du musée et ne sont malheureusement pas à vendre. Manque de fonds. Madame Allegria, curatrice, nous invite avec une ferme sollicitude au-delà d'une barrière interdite au public pour nous faire visiter une aile du bâtiment qui hélas ne peut accueillir aucune exposition à cause de l'humidité....
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Baleine dans un centre commercial
Le whale watching, c'est à dire l'observation des baleines, rapporte plus aux îles des Açores que la chasse à la baleine, chasse abandonnée en 1984. Il n'y a plus que les Norvégiens et les Japonais qui se fichent de Greenpeace et de l'opinion public.
Le vent commençait à hurler, les vagues entrechoquaient leurs boucliers ; le grain rugissait, sautait, craquait autour de nous comme un feu blanc sur la prairie, un feu dans lequel nous brûlions sans être consumés, immortels dans la gueule même de la mort ! Nous appelions en vain les autres canots. Autant valait hurler dans la cheminée d’une fournaise que de héler les bateaux dans un tel orage. Cependant les nuages volants, l’écume et le brouillard devenaient encore plus noirs avec la nuit qui tombait ; il n’y avait aucun indice du vaisseau. La mer rageuse empêchait tous les essais que nous faisions pour écoper.Melville
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13/10/2015
-Vous allez aux Açores ?
-Oui
-Ah ! près de Madère ? Près des Canaries ?
-Non c'est entre le nouveau et l'ancien monde. Au milieu de l'Âtlantique.
-Qu'est ce qu'on parle comme langue aux Açores ?
-Le portugais.
-C'est portugais les Açores ?
-
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Rire
Risqueplusvivreréalisergroscorrespondbudjetvotresansparfois
Les slogans parfois nous embrouillent les idées, les images aussi.
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08/10/2015
Il est fils de... Sa mère, Natacha, était poétesse. Elle proclamait à qui voulait l'entendre que ses pipes faisaient plus de bien à ses clients que les ordonnances des médecins. "Les caisses maladie devraient rembourser mes passes!"
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Dialogue entre coings
Coings dans l’œil :
5 raisons pour ne pas étendre la surveillance induite par la nouvelle loi sur le renseignement
Elle est disproportionnée: après le scandale des fiches dans les années nonante, les compétences des services de renseignement ont été réduites, à raison. Les nouvelles mesures de surveillance prévues actuellement sont autant d’attaques massives contre les droits fondamentaux tels que la protection de la sphère privée et la liberté d’expression – des principes garantis aussi bien par notre Constitution que par la Convention européenne des Droits de l’Homme. Elle est trompeuse: contrairement à ce qui est souvent affirmé, tout le monde sera surveillé, pas seulement une minorité de suspects. La rétention des données et l’interception de tout ce qui passe par le câble et la fibre optique sont des moyens de surveillance de masse qui ne se basent sur aucun soupçon. Nous sommes tous concernés par ces mesures! Même les partisans de cette loi admettent que cette interception n’est possible techniquement que par la surveillance de l’ensemble du trafic. Par conséquent, ce sont essentiellement les données de personnes innocentes qui seront enregistrées et analysées. Elle est dangereuse: des logiciels espions tel que le cheval de Troie fédéral permettront au service de renseignement de pénétrer dans des ordinateurs et installer des programmes de surveillance. Ainsi, les micros et caméras pourront être exploités et les ordinateurs fouillés à distance. Cette perquisition en cachette n’est pas seulement discutable du point de vue des droits fondamentaux, elle est néfaste en termes de sécurité publique. Car au lieu d’investir dans la sécurité informatique, l’État veut utiliser les même failles que celles dont abusent les criminels. Elle est incompatible: le Service de renseignement de la Confédération sera amené à réaliser des missions inconciliables entre elles. Il sera d’un côté un service secret responsable de l’espionnage et du contre-espionnage, et de l’autre un partenaire de services étrangers (comme ceux des USA) et un acteur dans le commerce international de données issues de l’espionnage. Elle est inutile: le Ministère public de la Confédération et les polices cantonales se chargent déjà aujourd’hui de la répression des activités terroristes, du crime organisé, de la prolifération d’armes ou des activités (préliminaires) de services secrets interdits. Une surveillance étatique supplémentaire sans début de soupçon saperait l’État de droit.C’est pourquoi nous disons:
NON à l’extension de la surveillance – et non à la loi sur le renseignement!
https://www.lrens.ch/Voir l'image