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aux Frigos
Festival Street Photo, aux Frigos (Paris 13e), galerie l’Aiguillage, avec les collectifs Regards Croisés et Streetroamers, un marathon photo, deux belles expos et beaucoup de monde, 19 et 20 octobre.
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gouzi-gouzi
gouzi-gouzi /gu.zi/gu.zi
1. (Langage enfantin) Paroles que l’on prononce pour amuser un bébé, accompagnées la plupart du temps de gestes affectueux (en général un petit geste sous le menton).
. Gouzi-gouzi, qu’il est mignon, ce petit !
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le collègue !
comme on se retrouve parfois, ici dans le RER, fissa, l’affiche derrière, la passante, clic de (trop) près sans doute. Un bébé à récupérer, la foule : vitesse vitesse. C’est Paris.
https://www.instagram.com/foryoshi/?hl=fr
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féminicides
Un peu partout en ville, ces derniers temps, apparaissent ces affichages, que certains arrachent rapidement. Dénoncer le féminicide, quelle infamie n’est-ce pas ?
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sous les immeubles
Pause. Vapeur. Je vois la vapeur. M’approche, lui demande de me faire un beau panache. Il est d’accord, apprécie, chouette. Tout le monde hélas ne réagit pas comme on devrait, avec la photo : sans se monter le bourrichon. Il envoie la sauce. Lui dis qu’en street photo, demander, en principe, c’est tricher, du moins pour certains orthodoxes du culte du « sur le vif ». M’en fiche un peu, des dogmes. Merci monsieur !
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bonnet blanc & blanche casquette
Deux membres éminents du collectif Streetroamers (talentueux photographes) à l’occasion d’une réunion de boulot, Florian Lavie-Badie (gauche) et Guilhem Dijoux (droite). Mêmes boissons : thé frappé.
Expo à venir : https://www.evensi.fr/festival-street-photography-galerie-aiguillage-frigos/343507192
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flux
Quand je suis arrivé au zinc, le patron jouait du percolateur d’une main, un chiffon dans l’autre. Sur le comptoir, une montagne de pièces de 1 et 2 euros, grosse somme, au bas mot 200 balles. Il y en a chez qui la confiance est bien astiquée. J’interpelle le patron : – Monsieur, quelqu’un a oublié la monnaie de son café sur le bar. – Ha oui, merci, il sourit. Sur ce, j’en commande un pour moi, me tourne, la scène me plait : photo. Rien de tel qu’un clic pour se dégourdir la paupière avant de réintégrer le flux…
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décor, et auteur de SF
J’ai repéré ce bâtiment étrange, surprenant : empilement de Renault 17, partie latérale de vaisseau spatial de Cosmos 1999 échoué en ville ? Il s’agit en réalité d’un conservatoire, situé à Montreuil (93), inauguré en 1976, dont l’architecte se nomme Claude Le Goas. Cette architecture des années 60, lisais-je, « s’apparente à une ruche, avec ses alvéoles en nid d’abeille » et « est une mise en application des thèses du Mouvement moderne : c’est sa fonction qui génère sa forme. » C’est, selon le site internet d’Est ensemble Grand Paris, « une architecture qui (…) reflète l’état d’esprit d’une époque, les Trente Glorieuses, et qui continue encore aujourd’hui de susciter l’intérêt des amateurs d’architecture et de photographie. » Exact ! L’envie de le photographier me taraudait, je m’y rends à l’occasion d’un passage à la Poste après le boulot. Or, voilà : la photo de rue fait souvent bien les choses. Le monsieur qui est au premier plan au moment où je déclenche, avec qui j’ai échangé quelques mots, m’apprend qu’il est un auteur de science-fiction, Thierry Augustin, auteur d’un roman intitulé Les secrets de la page 5, pour lequel il se rend chez le libraire d’à côté. J’ai ensuite appris par le postier que mon recommandé s’était égaré du côté de Grenoble, on ne peut pas non plus tout avoir du premier coup.
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