Porte de la Chapelle, près d’un CPA (centre de premier accueil) Emmaüs.

Plus d’infos ici :

https://www.emmaus-solidarite.org/le-centre-de-premier-accueil-des-personnes-migrantes/

Thomy Keat et François Rastoll préparant le festival de street photography Regards Croisés, programmé les 16 et 17 septembre prochain au Carrefour des associations parisiennes (CAP), Paris 12e.

La Gay pride à Paris sur sa fin de cortège, rue de Rivoli.

avec l’ami Hervé Chatel

Des petits couillons ont ouvert une borne à incendie pour se rafraîchir. Le photographe alléché ne pouvait pas rater ce moment. D’abord humide puis alourdi de 5 ou 6 litres d’eau pour s’être approché près, il est revenu avec cette image. L’appareil photo a survécu.

http://www.francetvinfo.fr/meteo/canicule/pourquoi-les-ouvertures-sauvages-debouches-d-incendie-echauffent-elles-lesesprits_2249341.html

On ne dirait pas sur la photo mais la température était déjà proche de 30° ce matin tôt, est montée à 38° dans l’après-midi. Un des mois de juin les plus chauds depuis 117 ans. Les ventes de voitures neuves (climatisées) résistent bien, + 7% au mois de mai : l’essentiel est sauf.

35° aujourd’hui, si les jupes raccourcissent, les bonbons collent au sachet. Au boulot, bermudas non grata !

législatives

cher voisin, préparant le kawa

Un homme marche dans la rue, un autre l’interpelle : « Monsieur ! Vous avez une banane dans l’oreille ! » Pas de réaction. L’homme crie plus fort : « Monsieur ! Vous avez une banane dans l’oreille ! » Le premier se retourne, et dit : « Bonjour. Vous pourriez parler plus fort s’il vous plait ? J’ai une banane dans l’oreille. »

et embrasse-moi

Souvent, presque tout le temps en street photo un pigeon trouve à s’insérer dans l’image, en douce.

Il était une fois dans l’est (parisien).

Digital single-lens reflex vs field glasses.

aux beaux jours, on se promène en bord de Marne. Nous voilà devant « Chez Gégène », la guinguette, on s’y arrête prendre un Coca. Là on bronze sur transat, les chiens gambadent, le vent donne du jarret au feuillage, les avirons glissent sur la rivière, les gosses jouent. Les brefs dérivatifs au monde comme il va. C’est Pentecôte.

en veux-tu, en voilà