Pascal Kempenar

Les légendes de Pascal Kempenar /

127 images légendées.

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#noname 1159

Un jour sans pour moi. Sans déambulation urbaine, la faute à une journée de travail trop longue, à la fatigue, à la chaleur. Mais il y a ce pont superbe qui relie Beaucaire à Tarascon. Vite sortir le petit mais costaud Ricoh et déclencher à travers le pare-brise… en évitant l’accident.


le mardi 26 juillet


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#noname 1156

Gare Saint-Charles. Transhumance estivale des enfants de parents divorcés. Rien à faire, ça me fout le cafard.


le jeudi 21 juillet


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#noname 1155

Marseille, 7:17 am. En dehors de mes pérégrinations Parisiennes, les photographies que je diffuse ici sont le fruit d’errances Marseillaises en sortie de bureau. Hors depuis quelques jours une fournaise pré-apocalyptique accable votre serviteur. Pour profiter d’une fraicheur toute relative, je me décide d’inverser ma démarche. Je sors donc ce matin, tôt, boitier en main, direction gare Saint-Charles, Belsunce, République. Je n’ai pas fait plus de quatre photos, dont celle-ci, un homme dormant à l’arrière d’une voiture. Hier un milliardaire d’extrême droite s’est offert trois A/R en jet privé dans la journée. Certains pensent que cela n’a rien à voir. Je pense le contraire. Depuis très et trop longtemps.


le mercredi 20 juillet


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#noname 1152

Spéciale dédicace au lobbyiste Uber de l’Élysée


le dimanche 17 juillet


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« Germinal »

Fin de journée Parisienne, une de celles que j’affectionne par dessus tout. Boitier vissé au poignet, marcher sans but ni destination précise. Saisir ce que la rue veut bien m’offrir. Je m’apprêtais à prendre le métro à République. En attendant septembre et la rentrée sociale, la place est aujourd’hui rendue aux skateurs et prêcheurs « Jésus sauve ». J’allais partir mais au loin je vois que le soleil illumine un fatras, une montagne de sacs empilés sur un chariot. Je m’approche et commence à engager une conversation avec un homme qui ne voudra pas me donner son prénom mais acceptera que je le photographie . On parle cinéma, Sophie Marceau, Dewaere. Il me raconte nombre d’anecdotes et faits qui laissent croire qu’il a travaillé auparavant dans le cinéma. Je partirais sans certitudes. Aucune importance. J’aime Paris.


le samedi 16 juillet


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