11/09/2020

Hier j’ai commandé des échantillons de parfum à un artisan, pour 15 euros. J’en ai reçu 8, j’avais eu un flash pour un que j’avais senti à la porte de la boutique parisienne du parfumeur, on m’avait tendu un bâtonnet et j’ai bien voulu lâcher mon appareil. Suis friand de parfums vous savez, pas trop forts, les discrets, même si parfois j’ai tendance à m’en arroser de trop. Puis j’ai eu un souci de livraison, ça n’arrivait pas. Et c’est arrivé, et j’ai informé Parle moi de parfum (c’est la boite en question) que le paquet m’était finalement parvenu. Là-dessus le fils du créateur du parfum – un certain Almairac – qui gère l’affaire me demande lequel j’ai aimé, celui sur lequel j’avais flashé. Celui qui m’a irradié les fosses nasales jusqu’au cervelet s’appelle Milky musk. Et hier, donc, je lui réponds ça : « Le parfum pour lequel j’ai eu un flash immédiatement est celui que j’ai senti dans la rue sur un bâtonnet qui m’a été tendu à la porte même de votre boutique, c’est-à-dire Milky musk, à ne pas confondre avec Elon musk – qui certainement ne sent pas mauvais, plus difficile à trouver, mais je m’égare… » Il ne m’a rien répondu, et ce soir je me trouve niais : pas drôle. En vérité Musk (Elon) me semble plutôt malodorant.