La nostalgie du départ

23/11/2015

J'ai toujours aimé De Chirico. Pour ses ombres interminables, pour la poésie de son regard. De passage à Palerme, je me souviens d'une scène ubuesque où je guidais un chauffeur de taxi (alors que je ne connaissais absolument pas la ville) vers une petite galerie qui exposait le Maître.
  • "C'è una Mostra di un pittore palermitano? " me demande le chauffeur...
  • "No, di De Chirico"
  • "De Chi ?" ...