• Se dit d’un phonème dont l’émission comporte une ouverture du voile du palais qui permet au flux d’air issu du larynx de s’écouler en partie (voyelles) ou totalement (consonnes) à travers les fosses nasales.

Pause sur L’A7. Je me trompe de parking et me retrouve tout petit au milieu des monstres.

Il disait :  » Je t’attendais … »

Mémoire; ce muscle cérébral :

 » Je t’attendais ainsi qu’on attend les navires/Dans les années de sècheresse… »

 » En Arles où sont les Alyscamps

Quand l’ombre est rouge sous les roses

Et clair le temps,

Prends garde à la douceur des choses… »

… ce mal qui vole les coeurs, les âmes et les souvenirs .Alzheimer.

Le copain Marc expose une série de portraits, très forts, de malades atteints par cette saleté. Et Laurence vient s’asseoir sous son image, ne sachant probablement plus ce qu’elle fait ici.Le moment est touchant, émouvant et  terrible.Je suis sous ex, et mon image est ratée , perdue dans le même brouillard que cette belle et vieille dame…

Lorsque vous posez un caméléon sur du tissu écossais il vous fait un bras d’honneur / François Cavanna.

…voir la vie sous un autre angle.

…la petite enfance d’Alfred.

Café ambulant dans les rues de Toulon, à l’initiative d ‘ Audrey et David. Longue vie à  » My Street Coffee  » !

…dans le Sud.

From Scotland.

Ce premier mai est pluvieux et gris. Vautré sur mon lit, j écoute en rêvassant un vieux Bowie.Un miaulement rauque me fait sursauter. Je ne L ‘ai jamais vu…IL est là dans ma chambre-une fenêtre ouverte, une porte entrebaillée, sans doute… Je plonge, halluciné,  mes yeux dans le regard de Ziggy Stardust. Oeil jaune, oeil bleu…IL se laisse caresser mais s’agace très vite .Un autre feulement m ‘intime l ‘ordre de LE suivre. IL visite, se frotte aux meubles, shoote dans un livre resté sur le sol, puis descend très vite les escaliers et se dirige vers le jardin.J ‘attrape au passage le boîtier prêté par Pascal. IL affûte ses plectres sur le tronc du vieux spondias. Je n ‘ai le temps que de deux clicks. IL est déjà au fond du jardin, saute sur la clôture et se retourne avant de disparaître.Un dernier raclement de gorge me dit :  » Planet Earth is blue/There’s nothing I can do… »

La fiction se nourrit du réel.Elle doit être, en tous cas, vraisemblable…