5, philo

12/05/2021

Plus jeune, le seul nom de Nietzsche et je me sauvais. Trop compliqué : « ho, y a pas marqué Einstein ». Déjà assez de mal à orthographier le nom. Puis l’âge venant, sur le conseil de Sacher Masoch, ami montilien, et king de Deleuze, j’ai lu le Nietzsche de Deleuze (aux PUF, 1965). Flash. Sacher me disait : prends-toi une traduction. Il avait raison. La quatrième de couv’ ici photographiée est celle d’un autre ouvrage facile à lire acheté il y a plusieurs années, que je reprends aujourd’hui, « S’affirmer avec Nietzsche » d’un agrégé de philosophie, Balthasar Thomass (chez Eyrolles). Roboratif !