pour l’ami Bernard

06/10/2017

En clin d’œil à Bernard Jolivalt. A l’évocation d’un temps plus insouciant (non connu de l’auteur de ces lignes) où prendre une photo de passant dans la rue ne suscitait pas comme aujourd’hui, chez le photographié, cette suspicion très fréquente (l’auteur de ces lignes s’y est habitué) que se serait pour faire du fric sur son dos, ou lui nuire, d’une façon ou d’une autre. O tempora, o mores, o Internet !