#noname 432 par P. Kempenar - une photo par jour

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#noname 432 par Pascal Kempenar

Pascal Kempenar
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2 commentaires sur "#noname 432"

Francis Traunig says:

27/04/2020 à 14:54

Chorégraphie de la misère du coin de la rue qui déploie ses signes pour interpeller : la canne, la sébile le pied bandé. Le treillis qui dit la guerre, celle des pauvres contre l’indifférence, tout ça articulé autour de ce J’ai faim pour ceux qui n’auraient pas compris.
Quelle image ! Quel monde !

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- Pascal Kempenar says:
  
  27/04/2020 à 15:13
  
  Merci Francis d’en « lire » autant…comme tu le sais la photo de rue se pratique, enfin pour moi, avec instinct. La conscience vient après, comme une séance de psychanalyse, tout se révèle à nous dans l’après. Oui quel monde, quelle société.

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