oui mais

10/03/2017

Ode à mon grand pote de Bordeaux, âme sensible, homme engagé, grand lecteur de Montaigne et grand pourvoyeur de fonds d’écrans. Le cœur à gauche, bien sûr, jusqu’à ce que le mur tombe pour ensuite laisser les Lumières éclairer son chemin et celui de ceux qu’il aide. L’humain est bien trop vaste pour l’enferrer dans des niches dogmatiques.

Avec lui avons découverts au Mexique, en zone Zapatiste, le oui mais. Qu’il n’y a pas que les indiens et les Cowboys, les bons et les méchants. Mais que le monde est bien plus vaste en nuances et en complexités.

Viva Zapata, quand même, hasta la muerte !