Chez les Mursis

John Grinling

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3 commentaires sur "Chez les Mursis"

Traunig says:

02/06/2016 à 08:47

Spectaculaire ! Nous vivons sur la même planète, partageons le même ciel, les mêmes rêves pour notre progéniture. Morsi, Finlandais ou Napolitain, nos larmes ont le même goût de sel.

Mais c’est peut-être le rituel de la brosse à dents qui marque le plus clairement nos différences.

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pierre says:

02/06/2016 à 16:14

impressionnante photo… quelle est la fonction symbolique (?) ou religieuse (?) précisément de ce disque que cette mère de famille a dans la bouche ? l’enlève-t-elle à un moment ? ça n’inflige aucune blessure ? impressionnant

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- John says:
  
  03/06/2016 à 21:53
  
  Quelques imbéciles, qui sont les même qui expliquent la prohibition du porc dans l’Islam par le fait que la viande de porc ne se conserverait pas bien dans les pays chauds, dépeignent le port du labret comme une ruse pour échapper aux raids des marchands d’esclaves.
  C’est l’explication que ma donnée une femme Hammer au sujet de l’arrachage systématique des deux incisives inférieures dans sa culture, pour les hommes comme les femmes, qui me parait la meilleure : Les moutons, les ânes, les chameaux, les animaux possèdent toutes leurs dents. Nous les humains sommes différents. Nous prenons l’initiative d’ôter ces dents parce que ne nous ne sommes ni des chèvres ni des ânes.
  Chez les Mursi, la respectabilité d’une femme se mesure à la dimension de son labret, que seules les femmes de bonne naissance portent.