Il y a plusieurs siècles, le rose était plutôt une couleur masculine car elle était considérée comme une sous-couleur du rouge, symbole de puissance.

Le rose, chez une femme comme chez un homme est une couleur qui permet d’adoucir notre image. D’ailleurs, de plus en plus de rugbymans et clubs de rugbys portent du rose, que ce soit dans leurs tenues de tous les jours, ou sur leur maillot.

Dans la Grèce antique, les attitudes et les points de vue sur la sexualité étaient très différents selon le sexe. La sexualité d’une femme était généralement entourée de stigmates et de soupçons, en particulier dans l’Athènes classique, car son rôle principal dans la société était de produire des enfants légitimes. La sexualité de l’homme, en revanche, était traitée de manière très libérale. Dans son ouvrage Contre Nééra, Démosthène déclare que « Nous prenons une courtisane pour nos plaisirs, une concubine pour recevoir d’elle les soins journaliers qu’exige notre santé, nous prenons une épouse pour avoir des enfants légitimes et une fidèle gardienne de tout ce que contient notre maison. »

Pour les hommes, il était socialement acceptable de prendre part à des relations sexuelles en dehors de leur mariage. Les hommes pouvaient à la fois engager des prostituées et avoir des concubines sans être considérés comme infidèles.

En 1808, Marie Paradis, servante à Chamonix, s’extirpe de la pauvreté en devenant la première femme à atteindre le sommet du Mont Blanc. Elle porte une jupe, a besoin de l’aide de ses compagnons de randonnée pour y parvenir et grimpe aux côtés de Balmat, le guide de haute montagne qui a réalisé la première ascension.

… si la porte est fermée.

Proverbe nigérian

400 km de courses en chien de traineau, 12’000 mètres de dénivelé positif