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Proverbe
Les élans les plus fougueux, toujours le sont redevables au tronc.
Proverbe Meyrinois
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Boredom
Hier j’avais la flemme J’attends 23h59 pour photographier l’heure qu’il est avec pour titre « La der des ders ». Sur trois montres même. Sans carte mémoire caramba
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Aloe vera
Carlos au marché de Rive à Genève
se lance dans une courageuse et saine
entreprise ...
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Le choix d’Isabelle
Composition sur les images d'Isabelle Chapuis
http://isabellechapuis.com/
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Toutes des sorcières
A commencer par moi Barbara, prénom de la dernière sorcière brulée au Tessin. Et Cassandra, ma fille, gravée sur mon bras
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Quand le chat n’est pas là, les souris dansent.
Il y a un mariage aujourd'hui. Le marié est parti ce matin pour aller chercher sa promise qu'il va ramener ce soir au village. En attendant le jeune couple, les femmes mangent, chantent, boivent et dansent dans la maison qui les accueillera. Il n'y a que trois hommes: Un ivre mort qui dort au milieu des femmes un qui joue du tambour et Gabriel. Tous les autres sont partis du village avec le jeune homme ce matin, accompagnés d'une fanfare.
Les femmes qui dansent, elles aussi bien entamées par le processus de l'alcool de maïs qu'ils font eux-mêmes, se meuvent au centre du cercle des convives avec force et déshinibition.
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24/02/2016
Quelque chose les a fait rire : ma posture, genre schuss à ski, mon baratin de pacotille, mon portugais incompréhensible, ou alors ma braguette que j'avais oublié de fermer ?
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Méli-mélo
Que les rues de Kathmandu paraîssent calme après le tumulte incessant indien... Et quel bonheur de retrouver un peu de calme, relative soit-il.
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Au-dessous d’elles, la Limmat
Ach, Ja, Hello! kann ich... do you speak english... let me... Oh nice, laissez-moi, je peux parler français, je peux ?
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papalagui
Par un matin de mal de chien
Pour certains qui perdent leur sang
D'autres vont bouffer deux croissants
Et feuilleter leur quotidien
D'autres font marcher des sirènes
Simplement pour sauver quelqu'un
Par un matin de mal de chien
Simplement quelqu'un qu'on emmène
{Refrain:}
Je pensais pas que j'aimais mon papa
Au point d'écrire une chanson tendre
Pour lui dire que ça peut attendre
Qu'il peut partir une autre fois
Je pensais pas que j'aimais mon papa
Au point d'aimer les ambulances
Les infirmières et les silences
De nos visites faites à mi-voix
Dans les couloirs de l'hôpital
Un ami, fils d'un autre père
D'un autre monsieur qu'on opère
Dont le sort est aussi brutal
On frôle un peu la tragédie
On se dit quelques mots banals
Dans les couloirs de l'hôpital
On est là pour croire à la vie
{au Refrain}
Je venais pour le voir guérir
À peu près deux fois par semaine
J'avais la joie, d'autres la peine
D'être là plutôt pour mourir
Ou pour voir mourir un des leurs
Dans ces couloirs sentant la cire
Je venais pour le voir guérir
Et croiser d'autres gens en pleurs
{au Refrain, x2}
Sarclo
https://youtu.be/h9RuJZSc02o?t=9
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Rickshavala badmash hai
Avant de venir en Inde, beaucoup de gens nous ont dit "vous verrez, la première semaine va être horrible, vous allez détester".
En réalité, c'est plutôt l'inverse. La première semaine était certes éprouvante, mais emplie de fascination, d'étonnement et de questions à poser.
Notre dernière semaine, elle, nous renvoie sans cesse aux petits details, qui additionnés les uns aux autres, prennent une ampleur parfois désagréable. C'est un peu comme un grand frère qui taquine sa petite soeur susceptible, il n'y a pas de méchanceté en soi, mais elle finit par perdre patience et lui coller une baffe. Alors qu'ils s'aiment...
Alors que presque quotidiennement on nous demande systématiquement 500 roupies alors que le prix n'est en fait que de 50 et qu'on doit passer des heures à se battre pour éviter de se faire dépouiller, qu'on ne s'entend pas parler dans la rue tellement le boucan de la vie est assourdissant, qu'on veut tout le temps nous prendre en photo, même dans les moments les moins appropriés, que tous les jours on marche à travers les déchets en décomposition et qu'on voit des gens qui vivent quasiment dedans, on est un peu fatigués.
L'Inde est un pays extraordinaire, mais elle me taquine et j'ai envie de lui coller une baffe et de lui dire de me laisser tranquille. Mais je l'aime...
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Franchises
J'aime bien ton pull... Tu es de quelle origine ?
Bolivien mais je vis à Genève depuis 15 ans .
Tu habites par ici ?
Pas du tout. Je me suis trompé de bus, ça m'arrive très souvent (rire).
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Parisienne jaune
Une dame s’approche et me demande une cigarette. En échange, elle m'offre une "pose".
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16/02/2016
prise en allant acheter à manger vers 13h après le boulot , j'allais au supermarché du coin, et me suis un peu perdu pour UPJ - mais je me serais perdu sans - juste pour faire une photo ! au détour d'une rue je ne sais plus laquelle je suis tombé là sur ce monsieur assis dans cette trouée de lumière d'hiver, et clic...
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Shakespeare
-Y a des Gandhi en Afrique ?
-Oui, Mandela, et aussi Sankara
« Gloire au peuple, pouvoir au peuple, honneur au peuple au génie créateur libéré.
Le peuple de Haute-Volta est capable de construire, seul et de ses mains, les fondements matériels de son avenir.
C’est pourquoi notre combat quotidien Vise à débarrasser notre peuple de ceux qui l’ont toujours écrasé, exploité, méprisé, bâillonné. Malheur à ceux qui bâillonnent leur peuple ! »
Sankara, hélas, contrairement à Gandhi, se promenait toujours avec sa pétoire à la main. Et hélas a fait fusiller une brochette de ses opposants. Et hélas s'est fait flinguer par son perfide frère d'armes, Blaise Campaoré. C'est du black Shakespeare.
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le symdrome de Sugimoto
le symdrome de Sugimoto
depuis [...] je ne m'en suis jamais remise !
Toute ma vie je transformerai le lac en une vaste mer.
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Zut
Me suis dit : Zut, y a des gens qui vivent comme ça dans des environnements confinés, sans espoir, puis, en changeant un peu la perspective de mon point de vue, me suis mis à admirer la capacité de résilience de cette verdure cadrée par son socle minéral, avant de me rendre compte que c'est du plastok !
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Remarquez
Remarquez les regards. Ils viennent de voir une pépée balancée comme une danseuse du Crazy Horse. Et ils vont, au galop, lui courir après et souffler dans leurs instruments à vent comme des cerfs en rut.
Bon on est à Milan. C’est peut-être une coutume locale ?
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Au fond, UPPJ est ce qu’un homme peut…
Au fond, UPPJ est ce qu’un homme peut rêver de mieux : le compagnonnage avec son précieux ordinateur, un verre sur le coin de la table, et le temps d’être qui l'on est vraiment
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Pietro
Pietro est garagiste. A la retraite depuis une dizaine d’années. Un cœur en or. Toujours prêt à rendre service. A vouloir offrir un café. A arpenter la zone marchande de la rue du Mont-Blanc, où, se regroupent en conciliabules les transalpins qui ont donné leur vie aux entreprises du coin. Et ne veulent plus retourner en Italie. Alors ils s’animent entre eux, en été autour d’un banc, en hiver en grappes autour de ristretti. Ont presque tous des casquettes, ont tous presque la même taille, petite, semble tous avoir la même épouse, un peu ronde et gentiment autoritaire.
C’est un peu cliché, bien sûr. Mais aussi un peu ça.
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payer le fonctionnaire
Pour abattre un arbre, en Suisse, il faut faire une demande en trois exemplaires, payer un émolument pour payer le fonctionnaire qui va mettre son timbre au bas des documents, et replanter à ses frais la même espèce que l’abattue . Mais Éole et la neige s'en tapent. Ils dessouchent en piaillant...
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Nous, vus de dehors
Là, peut-être un peu en haut vers la droite, sur un de ces petits points, nous grouillons dans nos rêves.
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Francis s’y retrouvera
Il y avait une fois une image merveilleuse de Carole Villette intitulée Gland art. Francis disait tout comprendre. Ici encore une image à sa portée
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L’un n’empêche pas l’autre
Cohabitation du Coran, de Ganesha et de Jésus sur le parrebrise du bus. On est toujours vivants malgré la folie des conducteurs dans les virages en épingle qui montent dans les montagnes du Tamil Nadu. Il faut croire que cette cohabitation a vraiment un pouvoir particulier.
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Soif d’horizons
Tonio pose les plaques. Les larmes dans les yeux. Trente-cinq ans au service des passionnés de l’image. La disponibilité raidie par une présence constante, peut-être. Fatigué d’avoir dû s’habituer constamment aux diktats de la distribution, aux nouvelles manies des clients, surinformés par le web. Encore un petit commerce rayé de la carte urbaine. Victime de la conjoncture. Victime d’internet ?
Peut-être un peu de tout ça, mais la vraie raison, c’est que Tonio, 67 ans, a soif d’horizons.
Il va nous manquer.
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Ornements
J’ai parcouru hier des heures et des heures de pistes rugueuses pour arriver à Turmi le lundi, jour de marché. Quelle excellente surprise : les femmes Hamers venues des villages portent comme habit de simples peaux de chèvre, mais elles revêtent de nombreux ornements, de lourds colliers, des bandeaux de cuir décorés de cauris, des bracelets, des colifichets de toute sorte, et les cheveux tressés puis enduits de terre argileuse. Et ces populations venues d’un autre âge sont chez elles, à Turmi. Même les excentriques touristes qui les observent ne les dérangent pas, quand ils demandent l’autorisation de photographier et s’acquittent du prix à payer : 5 birrs par photo. Quelques femmes plus exigeantes, et les hommes surtout, demandent 10 birrs, à négocier. Mais en suivant le protocole, tout se passe simplement avec bonne humeur.
Je m’en suis donné à cœur joie, et même le prof d’école du coin, à qui j’avais donné par hasard un lift, m’a aidé à prendre des photos encore plus intéressantes, par exemple au bistrot local où tous les barbares venus des villages boivent après le marché une sorte de tala, de bière locale onctueuse et remplie de brins divers, que nous avons bien sûr bu aussi.
Après cette journée merveilleuse et si bien réussie, je débordais d’enthousiasme à l’idée voir ces photos si rares et, surtout, d’éditer les meilleures. Mais ma caméra n’avait pas sa carte mémoire, restée depuis le matin dans l’ordinateur. Toutes ces prouesses, tous ces bonheurs et les birrs donnés à droite et à gauche... pour rien… Aucune photo n’avait été enregistrée.
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Cobra temple
Après avoir traversé un minuscule tunnel dans les rochers nous arrivons au cobra temple.
Il paraît que des serpents dorment à l'intérieur de ce monticule coloré et qu'ils sortent la nuit pour boire du lait.
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Ô… la belle expo de Nicolas !
Dépêchez-vous, elle est éphémère ! Voir détails sur ce site, sous agenda
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Exposer c’est s’exposer
L'angoisse du gardien de but au moment du penalty...
Toute cette énergie, ces petits fours, ce champagne, cet accrochage, est-ce que je vais vendre? est-ce que ça plaît? est-ce que je continue?
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J-1
Nicolas se plie en deux pour préparer son vernissage qui aura lieu :
DEMAIN à 18 heures !
Où ?
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