Les légendes de  /

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2013

balayer la covid

Premier et unique passage en ville, cette semaine, ville moyenne du sud, éteinte par la pandémie.


le dimanche 31 janvier


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el combustible de mi inspiración

Un stylo Caran d’Ache, des plumes, un contenant non-identifié, une déclaration d’Amour plastifiée, une pierre à la forme suggestive, un autre en forme de coquillage, de concha, rendent hommage à la mémoire de la disparue sur un ton animiste qui contraste joyeusement avec la sépulture de son voisin immédiat, le fameux JC qui voulut faire de Genève, en 1541, une cité modèle et y instaura une rigoureuse discipline. Et Borges, voisin direct de la Prostituée et de l’Intégriste dirait probablement :

El mundo real siempre ha sido el combustible de mi inspiración, sólo me falta el Tiempo, por desgracia.

Peut-être pas. Même si on a toujours cette petite envie de faire dire des choses aux morts pour nous rassurer d’être vivant.


le samedi 30 janvier


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bam

Rentrée mouvementée. Quelques secondes avant notre passage, un arbre s’écroule, engloutit la voiture devant nous dans son feuillage.

Instant suspendu… on s’approche, la voiture recule, sort du feuillage. Le conducteur est juste choqué. Ouf. Un peu de casse, beaucoup de vent, et une petite frayeur pour le conducteur.


le vendredi 29 janvier


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Dans son sommeil

tuée par son chat


le vendredi 29 janvier


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Devant…

 » Devant le musée du Louvre, un agent hurlait : Circulez ! Y a rien à voir. »


le vendredi 29 janvier


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Deciding if a $24 cocktail is worth it

On this side of the world, we are starting to feel normal again…
I forgot what a busy restaurant was like- loud, delicious, fun, expensive, bright and dark.


le vendredi 29 janvier


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Favourite child

Family dinner for mum’s birthday! But terry is always the star


le jeudi 28 janvier


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Suisse

On est bien en Suisse ici, me dit mon pote d’origine haut-savoyarde, quand s’ouvre la boite à chocolat en fin de repas.


le jeudi 28 janvier


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« Bruce »

Je marche depuis une bonne heure, pas grand chose dans le boitier, cinq clics à tout casser et la certitude que mes photos du jour ne valent pas tripette. Un peu dépité je me dirige vers la première station de métro, celle du Vieux Port, quand mon oreille est attirée par une voix sublime. Une piécette, un brin de discussion et je repars heureux, peu importe la photo.


le jeudi 28 janvier


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lorsque l’on

Témoignage du monde d’avant lorsque l’on pouvait sourire dans l’espace public sans être sanctionné pour non-respect des mesures sanitaires.


le jeudi 28 janvier


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Cossonay

Petite virée dans un théâtre. Vide.


le mercredi 27 janvier


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-Bouge pas, y en un à la cuisine, te l’amène.

-Vous verrez, vous verrez un jour ça sera votre tour, c’est vraiment pas un cadeau de devenir vieux, j’aimerais vraiment mourir maintenant.

-Tu veux pas d’abord manger le dessert

-Qu’est-ce qu’il y a ?

-Des pommes au four.

-Ah oui, c’est bon ça…

S’ensuit une conversation sur Jésus qui dit-elle, adorait les femmes, sur la planète terre qui aurait une forme de saucisse et sur le grand âge.

-Voilà, j’en ai assez. Le docteur m’a dit ne vous inquiétez pas, ça fera plouf et vous ne vous en rendrez même pas compte.

C’est pas toi qui décide.

-Oui mais ça suffit, je veux faire de la place aux autres. Tu sais, les japonais font Harakiri.

-Tu pourrais te faire Harakiri ?

-Ah oui, mais pas avec ce couteau, là, il est passé assez pointu.

-Bouge pas, y en un à la cuisine, te l’amène.


le mercredi 27 janvier


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Telle quelle ou auto … ?

Question que me pose Lightroom


le mercredi 27 janvier


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s’en foutre

on se promène, prend l’air, c’est à peu près tout ce qu’on fait avant le couvre-feu à 18 heures. En vacances dans le sud, une des rares occupations qui reste licite c’est se balader, partir randonner, se promener avec le chien qui s’en tape royalement, lui, de la situation sanitaire. Ce chien. On se promène, il fait un peu froid, presque doux pour un mois de janvier. Photographier n’est pas si simple : la lumière est blafarde, grise, on croirait que le paysage lui-même est tombé malade de la covid-19. C’est pas simple, pénible, ça dure, ce n’est plus tellement une parenthèse tout ça, on ne voit pas ce qui nous ramènera au monde d’avant, on se dit aussi que c’est sûrement une grande chance. On rentre les épaules, on termine la balade sans rien ajouter. On ne sait pas au fond. On ne peut guère savoir. Marcher fait du bien, toujours ça de sûr.


le mercredi 27 janvier


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un Alpha gonflé à la pompe à vélo

Tous les Sonyistes chambrés par Alpharumors depuis quelques semaines attendent avec impatience quinze heures GMT lorsque Sony dévoilera THE ONE NEVER SEEN.

Et quinze heures zéro zéro arriva…

…on s’attendaient à un plein format ou à un compact tropicalisé APS C, mais nenni. C’est bêtement un Alpha gonflé à la pompe à vélo à 6’498 dollars (boitier seul).


le mardi 26 janvier


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Día 26

¿Unas carreras?


le mardi 26 janvier


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7h-20h00

7h-20h00 sous les lumières artificielles des panneaux led,  en studio mais pas de photo possible, rien ne doit sortir.

Pas de lumière du jour, mes photos des prochains jours seront un peu noires-nuit.


le lundi 25 janvier


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ce vieux monsieur qui

Au moment de préparer un jus d’orange, bien au chaud dans la cuisine, une voix chevrotante raconte :

…moi je me retrouve tout seul et je traverse le village derrière lui en pleurs, je suis mon père encadré par les soldats mais les gens ne disent rien, ne font rien, je pleure en les suivant mais un gars, le coiffeur, me met la main sur l’épaule et me dit : Viens avec moi, sinon tu te feras arrêter, viens, si y a du pain pour moi y en aura pour toi….

J’éteins la radio, m’assieds et reste un moment avec ce vieux monsieur qui s’est invité dans ma vie avec un bout de la sienne.


le lundi 25 janvier


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#noname 684

7H40, trajet métro/boulot. Avant de me décider à photographier cet homme en essayant de trouver un point de vue « digne », j’engage la conversation. Peine perdue, noyé qu’il est encore dans une confusion protectrice il ne m’entend pas. Il plie sa couverture très soigneusement, en prenant soin d’enlever les « bouloches » de laine. Début de semaine, déjà en colère et fatigué.


le lundi 25 janvier


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Día 24

Día 24 de enero, caminando por Los Héroes Cupido


le dimanche 24 janvier


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test test

La colle tient.

Prêt pour la version 90/190m cm


le dimanche 24 janvier


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Daniel

Domingo (Sleep’in)
« Un endroit accueillant pour passer l’après-midi. Repas, goûter et activités culturelles. »
Je suis passé ce dimanche à l’Église Sainte-Clotilde aider à organiser l’espace et me reposer. Le groupe de Piky est venu nous jouer les Gipsy Kings pendant que des repas chauds sont distribués par les bénévoles. Nous avons ensuite regardé un film et résolu des situations urgentes pour des personnes sans domicile fixe.

le dimanche 24 janvier


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devant soi

Vingt trois ans le vingt trois et vingt trois millions de mètres cubes de probables devant soi pour les vingt trois ans suivants.


le samedi 23 janvier


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Beach evenings

Summer finally decided to join us


le samedi 23 janvier


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Día 22

Laguna de patos, Xico-Chalco.


le vendredi 22 janvier


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Profil

Nouvelle image de profil du contact Francis.


le vendredi 22 janvier


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et

Père et fils


le vendredi 22 janvier


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22/01/2021

The perks of working from home


le jeudi 21 janvier


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20/01/2021


le mercredi 20 janvier


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!

Gogo toi-même !


le mardi 19 janvier


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Bacri

Photo Etienne Georges. NP. Sipa


le lundi 18 janvier


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inconditionnellement

Dans la sédition du jour, des conseils enfin avisés.

Aimez inconditionnellement !


le lundi 18 janvier


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Día 18

<3


le lundi 18 janvier


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17/01/2021

Jake et Elwood Blues ce dimanche à Sainte-Clotilde


le dimanche 17 janvier


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Día 17

Una rodada por Xochimilco, CDMX.


le dimanche 17 janvier


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J’ai vu que tu nous vois.

Plus de lumière, pas eu le temps de photographier aujourd’hui, sinon l’image d’une image (recadrée) prise par Lev  Ravin pour le Nyc Times.

J’ai vu que tu nous vois.

Let’s make Amercia great again !

Après on verra.


le samedi 16 janvier


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16/01/2021

L’astronaute
Ces idées noires qui m’envahissent
Ne m’empêche pas d’extraire
L’essence même de mes besoins
Sous tes mains j’ai trouvé de l’or
Tu es la lumière qui prend soin
De mes jours glacés mes froides nuits
Et sans doute plus encore…
Texte: Stephan Roisin

le samedi 16 janvier


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Día 15

Calle independencia.


le vendredi 15 janvier


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14/01/2021

Florin rêve d’aller un jour sur la lune.


le jeudi 14 janvier


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fêter en famille

Le Conseil Fédéral explique aux sourds et aux malentendants qu’il faut se serrer les coudes, penser à ceux qui souffrent et comprendre qu’un effort doit être fourni.

Par conséquent on ferme boutique !

Tous à la niche jusqu’à fin février et fêter, en famille, la première année du calendrier Pangolin.


le mercredi 13 janvier


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Día 13

Maricela Rivera, chida rodada


le mercredi 13 janvier


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fondus au fond

La neige, madeleine, bonhommes de neige fondus au fond de sa mémoire, fait rire la petite fille cachée dans l’adulte.


le mardi 12 janvier


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Día 12

Eduardo (Lalove) , un carnal sin igual.


le mardi 12 janvier


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pour tous…

Réjouis-toi de la vie car il est déjà plus tard que tu ne le penses, car Swatch ou Patek le Temps est le même pour tous…


le lundi 11 janvier


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Día 11

Agradable noche


le lundi 11 janvier


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d’Agata

Il est peu de photographes dont l’univers, me référant à ce que je connais et m’influence, me semble plus éloigné du mien que le sien. C’est ce qu’on se disait avec un copain après avoir passé en revue certaines de ses photos tremblées. Ces gens à la dérive, ces silhouettes étiques, rompues, flippantes.

Antoine d’Agata peut tenir des propos très forts. Par exemple, dans un article du journal Libération paru le 8 janvier 2021, cet entretien, titré « Pourquoi le noir et blanc ? » :

«Allez fouiller dans la biographie du photographe, jugez ses faits et gestes, disséquez ses motivations intimes, les risques encourus, sa part de responsabilité, la portée de ses gestes, prenez-le sur le fait. Le noir et blanc est une tradition putréfiée. Comme toute tradition, elle est un mensonge, un prétexte au confort et à l’absence de courage. Le noir et blanc n’est qu’un élément de langage qui masque le sens réel de la parole énoncée. Le style personnel, le rapport à la couleur, le sens de la composition sont insignifiants. Je ne ressens aucune affinité avec quelque technique ou esthétique que ce soit. Peu importe que l’image soit faite à la chambre ou avec un téléphone portable, peu importe la palette de gris ou de couleurs, la netteté ou le flou. Faire le choix du noir et blanc pour l’esthétique, plutôt que mettre à mal la pratique photographique, est une abjection, un leurre, une arnaque. La logique culturelle veut réduire la pratique photographique à l’apparence, mais la photographie peut être autre chose, une forme d’action qui, parce qu’elle ne requiert ni apprentissage ni savoir-faire, est le seul art immédiat qui autorise et requiert de chacun de prendre la vie à bras-le-corps, de se frotter corps et âme à l’essence de l’existence.»

C’est un peu plus chez lui qu’une invitation à regarder, fureter, flâner, s’arrêter, saisir une scène, une situation fugace et légère, bien plus qu’une simple relation ponctuelle avec un au-dehors ou quelqu’un de passage. Si ce n’est une image qui vous triture, allez voir ailleurs semble-t-il dire. Photographier procéderait d’une relation d’incandescence indéfiniment recommencée, à soi, aux êtres et aux choses. Mise en abîme de la scène photographiée, incrustation de ses propres démons sur le film ou le capteur, dans un contexte de situations difficiles, toujours, semble-t-il, et là où la souffrance exsude : il faut faire corps avec elle – pas seulement en témoigner, en être. C’est ici que mon univers, qui n’est surtout pas un dolorisme, s’éloigne du sien, mon chemin se situe ailleurs, la pratique de la photo étant chez moi un levier pour me sortir 1) la tête de l’hôpital psychiatrique où je travaille, même si je ne déteste pas du tout y être, mais la souffrance, je connais ; et 2) au-delà de ça, elle est une façon de vivre, une manière de me tenir loin de moi et de mes vieilles lunes. Dans un essai fameux Clément Rosset disait : « moins je me connais, mieux je me porte. » Aucune formule ne me rend plus joyeux. Avec un appareil photo, il se trouve que je ne m’intéresse plus trop à moi-même, ni au tragique, ni à la réalité. Le rire n’est jamais loin non plus, il y a une certaine forme de légèreté, de grâce, dans l’acte photographique, du moins on aimerait que ce soit ça – ce dont le monde hélas est bien dépourvu.


le dimanche 10 janvier


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BúsquedaColectiv@sUACM

La unión de voluntades, permite que las ideas se transformen en acciones.


le dimanche 10 janvier


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09/01/2021

Malgré les difficultés et les urgences l’atmosphère est plutôt joyeuse ce soir au Sleep’in: l’action peut durer un mois de plus. C’est évidemment une très bonne nouvelle puisque malheureusement de plus en plus de personnes sont à la rue.
Une famille avec un bébé et deux enfants est arrivée ce soir à la paroisse. L’équipe de La Caravane est là pour la rassurer et trouver la meilleure solution possible.

le samedi 9 janvier


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!

Women’s power !


le samedi 9 janvier


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Alibi

Un alibi à ma paresse à affronter le gris et le froid , une pensée faussement profonde : ne pas toujours faire plus, se concentrer sur moins…

Aujourd’hui, ce vestige de Noël dont se joue le vent suffit à mon bonheur…


le samedi 9 janvier


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Il y a

“Il y a deux formes de destin : un destin vertical et un destin horizontal.”

Amin Maalouf


le vendredi 8 janvier


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Gâteau au choco …

…et Leo


le vendredi 8 janvier


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07/01/2021

av. Jean Jaurès blues – ou la fugace nostalgie d’un pays, les États-Unis d’Amérique, dans lequel on n’a jamais foutu les pieds.


le jeudi 7 janvier


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Errol Flynn

Balaguier. Une histoire locale , ou peut-être une légende , raconte qu’ici mouilla quelques temps le ZACA, la goélette d ‘Errol Flynn que celui-ci loua à Orson Welles pour le tournage au Mexique de La Dame de ShanghaÏ ( 1947 ) ; le bateau est très présent dans le film ; on y voit sur son roof, Rita Hayworth, blonde, prendre des bains de soleil. Le ZACA est à présent à Monaco. On dit qu’il est hanté par le fantôme de l ‘acteur. On y entend, la nuit, des bruits de beuveries et des rires de jeunes filles…

La vie, ce cinéma.


le jeudi 7 janvier


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Ediazv calaquero & Gero

Poniendo su esencia  y color, los compañeros profesionales en el dibujo, plasmas color y significado, sobre los muros de la querida Iztapalapa, sobre avenida Benito Juárez, en el Pueblo de Culhuacán, podrás admirar obras inigualables a lo largo de ésta avenida, dentro de los grandes talentos, tengo el honor de presentarlos ante Uds. a éste par de artistas.
Gracias , compas!


le jeudi 7 janvier


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Día 5

El comercio en avenidas principales, en colonias con mayor índice de contagios de COVID 19

en Iztapalapa CDMX


le mardi 5 janvier


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et au

Hommage au Noblex, au Fuji 6×17 et au XPAN.


le mardi 5 janvier


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Torres y San Antonio. (Iztapalapa)

UNA RODADA NOCTURNA ME LLEVO AQUÍ, « LAS TORRES, EMBLEMÁTICAS DE LA ALCALDÍA Iztapalapa (CDMX)


le lundi 4 janvier


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Día 3 ( COVID 19 )

Los perros salen sin cubrebocas.


le dimanche 3 janvier


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Mont Gelé

Bière du Mont gelé, par temps un peu gelé


le samedi 2 janvier


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#noname 661

Malgré le déluge, chercher la couleur.


le vendredi 1 janvier


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sur d’autres planètes

Un signe. Elle est presque vide. C’est extra. Cette force supérieure qui voulait nous mettre à l’épreuve doit avoir la gueule de bois, jeté sa bouteille par-dessus bord, pour aller semer la zizanie sur d’autres planètes.

Lassé.


le vendredi 1 janvier


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tôt

pas âme qui vive, la paix


le vendredi 1 janvier


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Fly me to the Moon ( River )…

En ce premier matin de 2021, tant attendu, Laïka, réincarnée, me lance un message que j’ hésite à interpréter…

Cette nouvelle année nous offrira t -elle d’ autres horizons lointains ? Serons-nous à nouveau confinés ? Devrons-nous chercher une nouvelle planète ?…

Trop de questions pour un premier janvier.


le vendredi 1 janvier


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Día 1

COD Mobile al inicio de año


le vendredi 1 janvier


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